Une invitation d’un site remarquable à l’autre vous attend, le temps d’une balade entre l’étang de la Forge et la forêt d’Araize.
32 % du parcours sur goudron
Peu farouche, la pie bavarde doit peut-être son nom de voleuse à son attirance pour les objets brillants…Mais pas n’importe lesquels ! Des expériences menées avec des papiers brillants de différentes couleurs nous enseignent qu’elle ne s’intéresse qu’à ceux dont les teintes lui rappellent les gros coléoptères dont elle raffole !
Observez ces trous d’eau ! Aujourd’hui, ils constituent de véritables écosystèmes pour les batraciens, leur origine provient du travail de la brique : des zones chaotiques et humides, d’où on extrayait la terre nécessaire à la fabrication de briques. Attention danger, ne pas s’y aventurer.
En passant dans le village de Saint-Morand, vous constaterez l’utilisation de la brique locale dans les constructions. En effet, il existait une briqueterie dont on peut voir les anciennes installations notamment le séchoir à briques, grand hangar avec une couverture très basse, ainsi que les ruines des fours situées derrière le séchoir.
Sur l’initiative de la section des Jeunesses Agricoles Catholiques d’Eancé et de son aumônier, une croix d’un beau dessin, a été érigée sur un tertre en face du village de La Poissonnière, d’où elle domine la vallée. Le dimanche 19 décembre 1937, journée d’études et de récollection de la section Jaciste de la paroisse, à la fin des Vêpres, toute la paroisse s’y rendit en procession. Délégué par Mgr l’Archevêque, M. l’Abbé Cloche bénit solennellement la croix sur le piédestal de laquelle se détache un écusson portant les lettres insignes J.A.C.1937.
Il n’est pas rare d’apercevoir des éoliennes à eau qui ont encore toute leur place pour abreuver les animaux ou bien alimenter en eau les endroits isolés sans arrivée d’eau courante comme dans ce champ. D’abord fabriquées avec du bois et même de la toile pour les pales, les éoliennes “modernes” ou éoliennes “multipales” sont fabriquées aujourd’hui avec des métaux qui ne rouillent pas et sont pratiquement les mêmes depuis des décennies.
Le pont d’Yvay enjambe le Semnon. En ancien français, ive d’aigue désigne l’eau. En gallo-roman, yvel désigne un réservoir d’eau. Une léproserie a existé au village d’Yvay car à cette époque, les lépreux étaient isolés des villes.
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