沉浸在法国皇族和古代历史的丰富画卷中,漫步于圣日耶尔曼·安莱的古朴街道。这条由旅游局设计的旅程揭示了见证了几个世纪法国历史的中世纪建筑和皇家住宅。随着你揭示了具有丰富故事的圣日耶尔曼城堡,现在是国家考古博物馆,让石子巷道低声讲述过去的故事。感受到过去时代的本质,融入现代的魅力,为你提供离巴黎不远的宁静逃离。
这条线路全长约2.91公里,穿越历史地标,海拔波动几乎不可感知,最高处达到92米,最低处达到85米。总的正向高度变化仅为7米,使得步行旅行十分便捷。旅游局提出的这条直接而又丰富历史内涵的路线,是一次不需要过多体力挑战而带来启发性的散步。
无论季节如何,圣日耶尔曼·安莱的步行路线都非常迷人。在春季和秋季,温和的天气与建筑美景相得益彰,使得这两个季节成为探索的理想时机。夏季提供了较长的日照时间供人延长漫步,但要记得随身携带水。冬季应确保保暖。舒适的步行鞋是全年必备的,始终留意当地咨询,了解可能的交通可达性或开放时间上的任何突发变化。
圣日耶尔曼·安莱坐落于伊尔德法兰西地区,是法国遗产的象征。它的历史可以追溯到12世纪以前,作为皇家避难所和法国历史中的关键地点。圣日耶尔曼城堡和拿破仑三世将其改建为著名的考古博物馆,突显了这座城市在各个历史时代的持续影响力,是其坚韧和在国家叙事中的历史意义的证明。
圣日耶尔曼·安莱拥有温和的气候,夏季凉爽,冬季凉爽。进行历史探索最宜的天气条件通常出现在春末到秋初(5月到9月),这段时间气温宜人,降雨适中。这一时期凸显了城市的自然景观和建筑壮丽,因此推荐您计划在这个时间窗口进行游览。
Dénommée ainsi depuis 1640 en l’honneur de capitaines gouverneurs de la ville, et également car elle comportait une salle où se réunissaient les habitants. – N° 16 : Voici la plus ancienne maison de la ville. Avec ses pans de bois, elle est typique de la fin du Moyen-âge. Sa façade a été restaurée. – N°18 : Hôtel des Maréchaux de Villeroy. Propriété de Nicolas de Neuville, gouverneur de Louis XIV, puis de son fils François, gouverneur lui-aussi mais de Louis XV.
A l’entrée de cette rue, on trouvait un grand abreuvoir, détruit au XVIIIème siècle pour faciliter la circulation des coches, les voitures publiques ancêtres des diligences. – N°24 : Hôtel dit « De la Feuillade ». Il a appartenu au Duc de la Feuillade. Grand admirateur du roi Louis XIV, il fit ériger en son honneur une statue Place des Victoires à Paris. – N°23 : Hôtel de la Marquise de Maintenon. Favorite puis seconde épouse de Louis XIV, elle achète cette maison en 1680. L’imposant balcon en fer forgé date de 1880. – N°22 : Hôtel de Montausier. Propriété du Duc de Montausier, gouverneur du fils aîné de Louis XIV. C’est également dans cette demeure qu’a séjourné le futur Maréchal Lyautey de 1887 à 1891. Il n’était alors que Capitaine.
Cette rue est appelée ainsi depuis 1700 car elle était le lieu de départ des coches, ces voitures publiques qui circulaient en direction des villes voisines, notamment Paris et Versailles. – N°17 : Hôtel de Guise : cet hôtel particulier fut la propriété d’Henri II de Lorraine, duc de Guise, le petit-fils du « Balafré ». Albert Alain, célèbre organiste de Saint-Germain-en-Laye, est également né dans cette maison.
Elle porte ce nom depuis le Moyen-âge car on y trouvait le marché de la viande. Cette rue était fermée par une grille la nuit pour empêcher les vols.
Son entrée se trouve entre les n°40 et 42 de la rue de Paris. Elle doit son nom à Regnault Larcher, ancien archer du roi Philippe Auguste qui y a fondé une Maison Dieu. Ce petit hôpital accueillait les habitants pauvres de Saint-Germain-en-Laye ainsi que les pèlerins et les voyageurs.
Cet étroit passage se situe sur l’emplacement de l’ancien couvent des Récollets. Les Récollets font partie de l’ordre des Franciscains et étaient initialement protégés par Henri II et Catherine de Médicis
Nommée ainsi en hommage au philosophe des Lumières qui a vécu deux mois à Saint-Germain-en-Laye en 1729. – N°2 à 6 : L’Hôtel de Fieubet. Gaspard de Fieubet, conseiller du roi Louis XIV, a acheté puis embelli cette maison. Cette demeure a été remaniée au XIXème siècle contrairement à la demeure suivante (n°8) qui est restée dans son état du XVIIIème siècle.
N°19 : Hôtel de Folard, chevalier, soldat et stratège militaire du XVIIIème siècle. A droite de la porte, un repère de niveau, coiffé de la couronne et du berceau royal, signale l’altitude à laquelle nous sommes : 65,838 mètres au dessus de la Seine. Sur la place Saint-Pierre, la fontaine Colbert était à l’origine située en face du Château. Restaurée, elle a été déplacée ici et inaugurée en 1989.
Elle porte ce nom depuis 1700, en référence à une famille de notables : un de ses membres fut notaire sous Henri IV, un autre fut « Garde Manteau », c’est-à-dire officier forestier sous Louis XIV. – Au n°6, la façade comporte une petite niche abritant Saint-Christophe. En face, une grille en fer forgé permet de découvrir les jardins de l’Hôtel de Créquy, dont l’entrée se situe entre les n°10 et 12 de la rue de Paris.
Les marchés avaient lieu dans cette rue depuis leur création par François Ier en 1526. A la fin du XVIIIème siècle, il fut décidé de les déplacer sur l’actuelle Place du Marché Neuf, qui se situe entre les rues de Pologne et de Poissy.
Le terme de « louviers » fait l’objet de plusieurs hypothèses. Il peut s’agir de la déformation du mot « louvetier », l’officier de la Cour chargé de la chasse aux loups, ou encore faire référence à des marchands drapiers originaires de la ville de Louviers en Normandie. – N°15 : L’Institut Saint-Thomas-de-Villeneuve, plus ancien établissement scolaire de la ville, toujours en activité. – A la hauteur du n°34, dans le renfoncement, une niche abrite une statue de Saint-Pierre.
Nommée ainsi depuis 1618, sans doute en référence aux nombreux chevaliers vivant à Saint-Germain-en-Laye accompagnés de leurs écuyers. En face de l’école, découvrez le blason de la ville de Saint-Germain-en-Laye : il se compose d’un berceau sur fond bleu et or, avec une fleur de lys. L’inscription «5 septembre 1638» rappelle la date de naissance de Louis XIV qui naquit dans notre ville.
N°11 : La chapelle de l’Institut Saint-Thomas-de-Villeneuve, précédemment cité (voir étape 12) avec son péristyle à 4 colonnes ioniques construit en 1788. – N°24 et 26 : Hôtel d’Henri d’Orléans, duc de Longueville, marié en seconde noce à une grande beauté du XVIIème siècle, Anne-Geneviève de Bourbon, la soeur du Grand Condé et du Prince de Conti. La demeure a été entièrement remaniée au XIXème siècle. – N°27 : Immeuble du XVIIIème siècle resté intact depuis sa construction. Les balconnets sont d’époque Louis XV.
N°16: Hôtel de Ville de Saint-Germain-en-Laye, installé ici en 1842 dans l’ancien Hôtel de la Rochefoucauld datant du XVIIIème siècle.
N°11 : Hôtel de Noailles. Cette somptueuse demeure des trois ducs de Noailles, gouverneurs de la ville jusqu’à la Révolution Française, fut construite par Jules Hardouin-Mansart. Mozart y a séjourné en 1778.
Ainsi appelée en référence à Roger de Nézot, conseiller municipal de Saint-Germain-en-Laye à l’époque de l’occupation prussienne (1870-71). – N°9 : L’Hôtel de Bontemps, premier valet de chambre et homme de confiance de Louis XIV.
Face à vous : - Le Château-Vieux, abritant aujourd’hui le Musée d’Archéologie Nationale. - Les jardins du Domaine National. - L’Eglise Saint-Germain et son péristyle à 6 colonnes ioniques. N’hésitez pas à poursuivre votre visite !
Résidence royale depuis Louis VI le Gros, au XIIe siècle, Saint-Germain-en-Laye fut à la fois un séjour de plaisance et un lieu de pouvoir des rois de France. La résidence royale traversa de sombres années : le Château-Neuf fut rasé, le Château-Vieux devint un pénitencier militaire. En piteux état et promis à la destruction, il fut sauvé grâce à la création, par Napoléon III, d'un musée d'archéologie.
Dans la cour, découvrez le magnifique escalier à balustres en bois, le seul encore visible à Saint-Germain-en-Laye. Il date de la fin du XVIIème siècle. Empruntez l’escalier et montez jusqu’au premier étage. Vous voici au musée Claude Debussy. Le compositeur est né ici le 22 août 1862. Ses parents habitaient un modeste appartement au rez-de-chaussée et géraient un magasin de faïence et de porcelaine. Les étages étaient occupés par d’autres familles.
Revivez au temps du roi Louis XIV, dans l'un des nombreux hôtels particuliers que compte la ville de Saint-Germain-en-Laye, en vous rendant dans celui de la duchesse de Noailles. Construit par Jules Hardouin-Mansart, premier architecte du roi Louis XIV, à la demande du duc de Noailles, entre 1678 et 1682, cette demeure fut ensuite séparée en deux en 1832 lors de la création de la rue d'Alsace. Aujourd'hui la propriétaire des lieux vous fait visiter sa merveilleuse bâtisse durant les beaux jours. Vous pouvez y apercevoir des salons ornés de boiseries du 18ème siècles, ainsi que des sculptures ornant les jardins, classés à l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques, tout comme ses toitures et façades.
Quatrième église construite sur le même emplacement que le petit prieuré d'origine, l'église Saint-Germain a connu de nombreux rois et de remaniements au cours des siècles. Elle fut tout d'abord édifiée par Robert le Pieux vers 1020, puis incendiée en 1346 par les Anglais du Prince Noir. elle fut donc reconstruite sous le règle de Charles V, avant de s'écrouler en 1681. Louis XIV ordonna donc l'édification de la troisième église qui vit le jour en 1683. Louis XV la trouva trop petite, il décida donc de bâtir la quatrième église, qu'il souhaita orientée vers le château et non vers l'Orient. La première ayant été posée en 1766, avant la Révolution, elle fut finalement achevée en 1829. Elle est ornée de différentes œuvres remarquables comme un bas-relief, copie de la déposition de Parme, signé par B. Antelami, la chaire au départ conçue pour une chapelle du château de Versailles, deux orgues classés Monuments Historiques, le grand commandé par Louis XIV à A. Thierry et l'orgue de choeur réalisé par Aristide Cavaillé-Coll, des fresque d'Amaury Duval, des peintures de Paul Véra, artiste saint-germanois, ... L'église abrite également le tombeau de Jacques II Stuart. Destitué du trône d'Angleterre, il fut accueilli par Louis XIV en 1688 et s'installa au château Vieux de Saint-Germain, jusqu'à sa mort en 1701. Louis-Philippe fit construire le mausolée en 1835 et la reine Victoria offrit la décoration des murs aux armes des souverains anglais.