让我们通过库洛米埃纳布里旅游机构提供的一次感人的旅程,探索那些曾经引起亨利克·哈伊登-沃尔塞尔和让-朱利安·马塞等著名画家想象的郁郁葱葱的景观。这条自行车路线不仅提供了一幅自然美景的多彩画卷,还带领你深入了解丰富的文化历史,讲述着强韧和艺术的故事。沿着马恩河骑行,让它宁静的环境和富有故事的过去像那些艺术家一样激发你的灵感,创造出户外探险和文化尊敬的无缝结合。
这条自行车路径总长约27.1公里,海拔在50至84米之间变化。骑行者将遇到累计正向爬升高度在177至176米之间,对于中级骑行者来说提供了相对温和的挑战。这些数据表明这条路线既具有吸引力,又易于骑行,能够提供多样化的风景而不需要过多体力。这是一条理想的路线,适合那些希望既锻炼身体又欣赏地区风光的人。
无论是春季还是夏季,充分的准备都是关键。春夏之际,路线上盛开的花卉美不胜收,但要注意下雨天会导致路面湿滑。秋天带来了丰富的色彩,但白天变短,头灯可能会非常重要。冬季虽然严寒,但往往有天气晴朗适合骑行,但冰可能会成为一个危险因素。始终查看天气预报,保持水分补充,穿戴适当的装备。请记住,白天的小时变化在不同季节中差异显著,计划行程以确保安全。
萨西河畔萨西位于塞纳-马恩省的历史地区中心,它的深远传统不仅仅限于其优美的环境。这个地区绵延于马恩河的曲线之间,曾是众多艺术家的灵感源泉,见证了法国乡村迷人的魅力和丰富的历史。这里文化的痕迹可以从二战流亡火车的悲惨美和当地抵抗战士的顽强精神中看到,使其成为反思法国复杂历史的一个沉重地点。
萨西河畔萨西的气候以温和为主,季节变化明显。夏季适中温暖,偶有降雨,非常适合骑行旅游。春秋季节气温较凉爽但舒适,自然美景多样,尽管降水较为常见。冬季虽然寒冷,但与其他地区相比通常较温和,很少会妨碍户外活动。为了获得最佳体验,从春末到秋初是探索这个地区丰富多彩织锦时最宜人的季节。
27 km
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max. 84 m
min. 50 m
34 m
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可及性 | ||||
风格 : 漫步发现在乡村在城市 公众 : 家庭自行车手 主题 : 文化遗产 |
Au départ de la gare, empruntez l'Avenue du Général Leclerc sur 200 m puis prendre le chemin des Popelains situé à droite jusqu'à la rue des Pouplains puis le chemin de Luzancy en poursuivant par la suite sur le chemin de l'Usine jusqu'au pont de la Marne de Luzancy.
Après avoir traversé le pont, continuez sur la départementale 402 et prendre à gauche sur la route de Courcelles sur 1 km puis marchez tout droit en direction de la route de Saint-Aulde pendant 20 min avant de prendre le chemin des Jeunes vignes situé sur la droite.
Empruntez le chemin des Jeunes Vignes sur 700 m jusqu'au chemin de Single Pingat puis traversez par la gauche la rue des Grands Prés pour rejoindre les bords de Marne.
Afin de ne pas vous perdre, suivez le parcours de randonnée balisé jusqu'au village de Saint-Aulde.
Continuez sur le parcours de randonnée pendant 6 km jusqu'à la ville de La-Ferté-sous-Jouarre.
Empruntez le Pont Charles de Gaulle puis tournez à droite sur le Quai des Anglais et continuez tout droit sur 5 km en longeant la Marne jusqu'au hameau de Fay-le-Bac.
Continuez tout droit sur le chemin de la Marine pendant 700 m jusqu'au pont d'Ussy. Traversez le pont et empruntez le chemin directement à droite de façon à passer sous le pont tout en continuant à longer la Marne pendant 3 min jusqu'à la rue des Hôpitaux juste après la rue Saure sur la droite.
Empruntez cette rue puis tournez à gauche sur la D3E rue de Changis puis continuez toujours tout droit pendant 15 min jusqu'à l'arrêt final, gare de Changis - Saint-Jean.
Le 15 août 1944, le dernier train de déportés quitte la gare de Pantin pour le camp de concentration de Buchenwald pour les hommes, et celui de Ravensbruck pour les femmes. Le voyage s’effectue dans des conditions effroyables. À son bord : 2 400 résistants, dont 330 étrangers (américains, britanniques, canadiens ou encore australiens). Le 16 août, le pont enjambant la Marne vient d'être coupé par l'aviation alliée, ce qui ralentit toute progression. Durant toute la journée du 16 août, entre la plaine de Luzancy et la gare de Nanteuil-Saâcy, les prisonniers vont devoir, encadrés par les SS, transporter le butin de leurs bourreaux puis emprunter un train qui les conduira jusqu'en Allemagne. 65 % d’entre eux n’en reviendront jamais. Quelques noms parmi les déportés du "dernier convoi" témoignent d’une grande diversité d’appartenance à la Résistance. Parmi eux : Florentine Auribault d'Émerainville, le marquis De Roy de Villecerf, Maurice Braun, chef du réseau Ernest Publican, l'abbé Hénocq, René Piketty, directeur de la "Générale meulière" de La Ferté-sous-Jouarre.
Ce café de politique collaborative comprend bon nombres de choses, tel que : - Les consommations servies, café, thé, infusions et jus de fruits, issues du commerce équitable, de l'agriculture biologique ou du terroir local. - Il dispose d'un stock de 2000 ouvrages et publications, dont une partie destinée aux enfants. - Une DVDthèque fonctionnant sur le principe collaboratif : on dépose et/ou on emprunte. - Une salle d'exposition présentant différentes formes d'expressions artistiques : peinture, gravure, céramique, sculpture, photographie... - Une salle du café culturel est réservée aux ateliers participatifs animés par des membres de l'association pour adulte et enfant. C'EST DÉJA ÇA Café culturel associatif Adresse : 17 rue Chef de Ville - 77730 Saâcy/Marne Tél : 01.60.32.39.87 E-mail : cafelibrairie@cestdejaca.fr HORAIRES Lundi : fermé Mardi : fermé Mercredi : 10h - 19h30 Jeudi : 10h-13h Vendredi : 10h30 - 19h30 Samedi : 10h30 - 19h30 (en soirée : 20h45-23h45) Dimanche : 10h30 - 13h
Vous pouvez remarquer, par le biais de cette photographie, l'exemple même de cadre paysager que pouvait peindre Jean-Eugène-Julien Massé, peintre de paysage postimpressionniste.
En 1879, après avoir passé trois ans dans un bataillon de chasseurs à pieds en Algérie, Jean Massé suit les cours des Beaux-Arts d'Amiens, puis de Paris dans l'atelier de Boulanger. Vers 1882, Jean Massé s'installe à Luzancy et devient l'élève du peintre Alexandre Bouché. Inspiré par la campagne Briarde, les bords de Marne ou encore la Bretagne, la touche subtile nuancée de gris colorés fait frémir les feuillages et la lumière de ses compositions, à la manière des maîtres du paysage du XIXe siècle. Galerie de Crécy ©
La photographie représente la vision de l'artiste peintre Massé au début du XXe siècle au bord de la Marne, date évoquant la fin des combats de la Première Guerre mondiale.
André Planson, artiste peintre, est né le 10 avril 1898 à La Ferté-sous-Jouarre. Il fera ses études au collège de Meaux. Planson était conscient de ses attaches avec sa ville natale, comme il le disait lui-même, « le fait d'avoir les yeux sur un beau paysage de Marne, calme et cadencé, baigné d'une lumière souvent délicate, a certainement déterminé en partie ma vocation ». Ses parents, distillateurs à La Ferté-sous-Jouarre sur le quai qui porte maintenant le nom de leur fils, étaient hostiles à la carrière aléatoire de peintre, ce qui ne l'a pas empêché de réaliser son rêve.
A la carrière, le carrier cassait la pierre et le façonnier taillait celles destinées à la menuiserie. Puis à l'atelier, le fabricant taillait les carreaux pour les assembler au ciment et les cercler. Le dresseur éveillait la pierre pour la rendre "coupante, mordante, moelleuse ou grasse", puis le rayonneur creusait des sillons ou rayons qui permettaient d'évacuer la farine prise entre les deux meules, la courante et la gisante. L'équilibrage de la meule était confié au chargeur, qui a utilisé du plâtre jusqu'à la fin du XIXe siècle, puis du ciment dans lequel il scellait des boîtes à plomb permettant au meunier de réajuster l'équilibrage au fur et à mesure de l'usure. Le travail des ouvriers était très difficile et les hommes étaient atteints de silicose ou de tuberculose. Des éclats de silex ou de métal de la pigette (pioche du carrier) se logeaient sous leur peau, ce qui leur donna le surnom des "mains bleues". Les meules étaient embarquées sur la Marne par le port aux Meules. Le quai est d'ailleurs construit avec des meules cassées. A cette hauteur se trouve une ancienne fabrique, dont il ne reste que les auvents et le mur sur la rue. L'activité de l'industrie meulière déclina à partir de 1880, avec l'apparition dans la minoterie des cylindres métalliques, pour disparaître au début du XXe siècle.
Le 4 novembre 1928, en présence des maréchaux Foch et Milne ainsi que du lieutenant général Sir William Pulteney, les autorités procèdent à l’inauguration de ce monument portant, gravés dans la pierre, les noms de 3 888 soldats britanniques tombés entre août et septembre 1914 et dont les tombes restent inconnues. Le choix de la ville de la Ferté-sous-Jouarre pour l’implantation de ce mémorial aux disparus n’est pas un hasard. La cité a été l’un des lieux de combats les plus éprouvant pour les soldats de la British Expeditonary Force en 1914. Après deux jours d’affrontements, c’est à quelques centaines de mètres en contrebas du site de ce monument que les Britanniques parvenaient finalement à franchir la Marne sur un pont flottant, dans la nuit du 9 au 10 septembre 1914.
Séjours à Fay-le-Bac, 1955 - 1956. C'est durant cette période que les liens que le peintre Henri Hayden a entretenus avec le jeune artiste Pierre Célice, auquel il a prodigué ses conseils, se soudent. À la mort de son mari, Josette Hayden lui confiera le soin de veiller sur l'oeuvre d'Henri.
Cette toile représente l'abstraction et la libération de la couleur selon Hayden, grâce à la force de caractère de ce paysage qui nous offre mille couleurs et reliefs à notre guise.
Voici l'un des nombreux panoramas qui ont inspirés le peintre polonais Hayden dans les années 1950, lorsqu'il décida de se retirer en province avec sa femme, fuyant l'après-guerre. Ils descendirent à Ussy-sur-Marne, dans une modeste auberge appelée "L'hôtel des Pêcheurs". C'est là qu'Henri peint le bistrot de cet auberge, non loin de ce point de vue éblouissant.
En 1953, Raymond Suillerot exposa cette oeuvre dans sa galerie à Paris, et lui propose un contrat ainsi que de le représenter sur le marché parisien. Dans ces années, Hayden peint également beaucoup de natures mortes : "ses gammes". il traite ses sujets également par soustraction, allégeant au maximum la composition, laissant place au jeu chromatique, à la recherche du dépouillement et de la synthèse à travers les paysages de la Marne qu'il parcourt sur un périmètre somme toute assez réduit.
Il s'agit d'un site désigné au titre de la Directive des Animaux pour la protection de sa biodiversité.
Il s'agit d'un espace naturel protégé désigné au titre de la Directive des Animaux.