Jusque dans les années 1980, l’alpage était laitier. Les deux halles destinées à accueillir les bêtes sont encore visibles. Jadis, il s'agissait d’une montagne « à fruit commun ». Plusieurs troupeaux étaient rassemblés et gérés de manière communautaire. Une équipe assurait le gardiennage, la traite et la confection du fromage sur l'alpage. Aujourd’hui, quelques vaches non laitières pâturent encore mais elles ne sont plus gardées.