À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter

Oups... Il semblerait que Cirkwi n'ait pas l'autorisation d'utiliser votre position.

Description
Carte
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

La Grande Boucle

La Grande Boucle

Description

21 kilomètres* de découvertes historiques, artistiques, visuelles ou culturelles. La Louvière sous toutes ses coutures, comme vous ne l’avez jamais vue.

En quelques coups de pédale, vous passerez de la ville à la nature.
Vous croiserez des lieux insolites et des oeuvres d’art, au passé fascinant, séduisants au présent, prêts à vous raconter leur histoire.
Vous prendrez votre dose de nature en parcourant les berges du Canal du Centre historique ou en observant la faune et la flore de la réserve naturelle des Etangs de Strépy.
Vous n’oublierez jamais les majestueux ascenseurs à bateaux classés par l’UNESCO ou le géant de Strépy-Thieu que vous apercevrez en chemin.

La Grande Boucle, c’est un circuit adapté à tout le monde, original et hétéroclite, qui dévoile les richesses, parfois insoupçonnées, de la cinquième ville de Wallonie.

* Ou 14 kilomètres via le raccourci passant par Bois-du-Luc (n°18)

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 23/04/2018
29 km
min. 99999 m
Style : Balade
Public : Famille
Thématique : Culturel

Profil altimétrique

Point de départ

21/22 Place Jules Mansart , 7100 La Louvière
Lat : 50.47495Lng : 4.18493

Points d'intérêt

image du object

Maison du tourisme du Parc des Canaux et Châteaux

20 ans après la naissance officielle de La Louvière, et 17 ans après la fondation de la première Maison du Peuple de Belgique à Jolimont, la Maison du Peuple de La Louvière est inaugurée en 1889, dans la foulée de la création du Parti Ouvrier Belge (l’ancêtre du PS) en 1885. Voisine du cinéma « Impérial » sur la Place des Martyrs devenue Place Mansart en 1924, la Maison du Peuple sera profondément remaniée entre 1927 et 1928. Désaffectée, elle passera aux mains de divers propriétaires avant de devenir le siège de la Maison du Tourisme (2001) et de la Maison des Associations (2005). La maison du Peuple ainsi que la Place Mansart ont été le siège d’évènements sociaux et politiques importants : le « Fusil brisé » (1921) ainsi que les grèves de 1893, 1902, 1912-1913, 1932, 1936. Lors de la « grande grève » de l’hiver 1960-1961, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont écouté le militant syndical André Renard évoquant les « réformes de structures » en Wallonie. Aujourd’hui, il n’y a plus de Maison du Peuple à La Louvière.

21/22 Place Jules Mansart 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

La place Jules Mansart et ses noms de villes

C’est la place la plus ancienne de notre Ville, touchant au « Drapeau Blanc » et à l’ancienne barrière (de péage) du Cerisier. Elle fut provisoirement « place de l’Eglise » avant la création officielle de La Louvière en 1869, donc quand la localité dépendait encore de Saint-Vaast. Au fond de la place, et tournée vers le « Drapeau Blanc », existait un petit édifice religieux : l’ « église de Baume » construite en 1852 sur un terrain offert par Abel Warocqué (La Louvière a failli s’appeler « Abelville »). Petite et fragilisée par les dégâts miniers, elle sera démolie en 1873. La place des Martyrs: Appelé aussi « place du Marché » dès 1849, cet espace ne comportera plus d’église car, conformément au plan conçu par Amand Mairaux, un nouvel édifice religieux sera inauguré en 1870 : l’actuelle église paroissiale Saint-Joseph, face à la place Maugrétout. Par contre la « place du Marché » comprendra désormais la Maison du Peuple de La Louvière, terminée en 1889, mais l’ancienne maison communale, alors située dans un café de la « place du Marché » (aussi dénommée « Grand-Place »), sera transférée sur la place devenue communale suite à l’inauguration en 1869 de la nouvelle maison évidemment communale. Perdant à la fois la petite église et la maison communale, les riverains de la place seront déçus, d’où la nouvelle appellation « place des Martyrs » pour la future place Mansart Jules Mansart: Député du Parti Ouvrier Belge (le futur Parti Socialiste créé en 1885), et conseiller communal dès 1895, Jules Mansart devient Premier Echevin de La Louvière l’année suivante. Il n’était pas question alors de nommer un bourgmestre socialiste car le gouvernement belge est, depuis 1884, catholique homogène. Mansart ne sera donc « que » bourgmestre faisant fonction de 1896 à 1903, avec une courte interruption de 1898 à 1899. Voilà pourquoi la place des Martyrs deviendra en 1924 la « place Jules Mansart ». Les noms de villes sur la place Jules Mansart: Sur la Place Jules Mansart, des noms de villes ont été gravés dans la Pierre Bleue. Il s’agit des régions natales des habitants d’origine étrangère ayant vécu ou vivant toujours à La Louvière et enregistrés à la commune entre 1944 et 1967. Ces gravures ont été réalisées dans une réflexion autour de la mémoire, de cette période qui a connu une grande vague de l’immigration. Sur cette même Place, se trouvent également des étoiles en laiton, rappelant à la fois le costume du Gille, le renouveau et étant au nombre de cinq : les cinq continents.

2-26 Place Jules Mansart 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Le monument de la Louve

La Cité des Loups se devait de comporter un monument évoquant un animal aussi légendaire que redouté. Mais il était plus glorieux d’évoquer la louve romaine qui a nourri Romulus et Remus que de rappeler le souvenir sinistre du loup hurlant à la lune. Paul Pastur ne disait-il pas que « le wallon est le latin du pauvre », les terrils de nos vieux charbonnages ne sont-ils pas sans évoquer les 7 collines romaines et le canal du Centre ne serait-il pas un Tibre louviérois ? Dans notre région, deux fermes d’époque féodale portent le nom du loup : la « Petite » et la « Grande Louvière », cette dernière relevant de l’abbaye d’Aulne dont Saint-Vaast était un prieuré… De cette ferme subsiste la chapelle de la Grande Louvière. Elle date de 1531. Et il faut rappeler que le toponyme « Menauloup », le repaire du loup, est à l’origine du nom de La Louvière… comme pour d’autres villes comme Louviers en France, sans oublier le vin prestigieux du « Château La Louvière « bordelais. Quoi qu’il en soit, le monument de la Louve sera inauguré en 1953 sur la place devenue place… de la Louve… Il est l’œuvre du sculpteur Darville qui a réalisé le projet de l’architecte Depelsenaire. Précisons que le socle de la statue est orné d’un médaillon représentant « Djobri » et son épouse « Djobrette », deux fleurons de notre patrimoine wallon. Enfin, ajoutons que, au moins à deux reprises, la statue a été ébranlée par des chauffards dont les véhicules ont heurté son socle.

32 Rue de la Loi 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Le Centre Daily Bul and Co

Ce n’est pas par hasard qu’une rue louviéroise s’appelle « Daily Bul », après avoir été la rue Jules Thiriar, car la notoriété du « Daily Bul » a dépassé le cadre de notre Ville. Par exemple, le « Daily Bul » figure en bonne place dans la librairie de la Fondation Maeght à Saint-Paul-de-Vence. Toutefois, il faut préciser que le Centre Daily Bul (D.B.) est, quant à lui, situé rue de la Loi. Fondé en 2009, le Centre D.B. est installé dans une maison de maître datant de 1895. Centre d’archives, lieu d’expositions et d’éditions, le Daily Bul, par son nom curieux, est une émanation des réflexions, voire des délires talentueux d’André Balthazar, de Pol Bury puis d’Achille Chavée pour ne citer que ceux-là. Balthazar et Bury ont créé en 1952 l’ « Académie de Montbliart » sur le territoire de Sivry-Rance. Mais c’est à La Louvière qu’ils fondent, en 1957, le « Daily Bul », un titre de revue et d’éditions. Ce nom curieux reflète la volonté désinvolte de ses auteurs de créer un contre-pouvoir humoristique, une équipée de mots et d’images, digne du surréalisme louviérois. Son emblème, une coquille géante d’escargot, sera redessiné par Pierre Alechensky.

- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Le MILL (Musée Ianchelevici)

C’est dans l’ancien Palais de Justice (Justice de Paix et Simple Police), sur la place communale, que le Musée Ianchelevici a été installé en 1987. Il rend hommage au sculpteur roumain (bessarabien plus exactement) Idel Ianchelevici (1909-1994) dont l’œuvre louviéroise la plus célèbre est certainement la statue de l’ « Appel » réalisée en 1939, quand la guerre menaçait. L’artiste lançait un appel à la paix. D’abord située au boulevard Mairaux, la statue se dresse face au débouché de l’autoroute. Mieux connu sous son sigle nouveau, le MILL est le Musée Ianchelevici La Louvière. Son rez-de-chaussée est consacré aux œuvres de l’auteur de l’ « Appel ». Quant au niveau supérieur, il présente des expositions provisoires aux thématiques diverses. Le Musée gère aussi plus de 1000 pièces provenant des collections de la Ville de La Louvière et qui illustrent les grands mouvements artistiques belges et donc du Hainaut : surréalisme, impressionnisme, réalisme social, etc… Polyvalent et ludique, le MILL a obtenu en 2013 le « Prix des Enfants ».

22 Place Communale 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Le Théâtre

Si l’activité théâtrale a toujours été intense dans la Cité des Loups, il faudra du temps pour disposer d’un bâtiment théâtral digne de ce nom. Déambulations Vers 1868-1869, existait le théâtre ambulant de Charles Delaux et il avait alors été question de transformer en théâtre la vieille « église de Baume », située à la Place des Martyrs (future Place Mansart). L’édifice religieux sera démoli en 1874. Plusieurs salles, souvent provisoires ont ensuite abrité des représentations théâtrales à la rue Nicaise, et dans des salles de cinéma Enfin, un vrai théâtre communal, sur la place communale Œuvre de l’architecte Paul Emonts, il a été inauguré en 1960 et Il pouvait accueillir un millier de spectateurs. Enfin, un nouveau théâtre communal, au même endroit Après de nombreux et longs déboires, et 9 ans de travaux, le nouveau théâtre a été inauguré le 15 novembre 2017… Il ne comprend plus de balcons pour offrir une vue meilleure aux 954 spectateurs qui bénéficient désormais d’un tout nouveau système acoustique (Documentation : Archicentre). Pour plus d’informations, rendez-vous sur cestcentral.be.

22-24 Place Communale 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

L'opéra urbain Décrocher la lune

«Décrocher la lune», le premier opéra urbain participatif de Belgique, est né à La Louvière, imaginé par Franco Dragone, pour le passage au nouveau millénaire. Le spectacle anime tous les trois ans le centre-ville louviérois, porté par des professionnels et des centaines de bénévoles. Un événement spectaculaire au cours duquel Sancho, le célèbre géant, atteindra la lune, au sommet de l’église de la place Maugrétout.

9 Place Communale 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Le monument de la Paix

C’est à l’occasion des fêtes célébrant le centenaire de La Louvière en 1969 que le sculpteur M. Stievenart a réalisé le monument de la paix. Edifiée devant l’ancienne Maison communale sur la place forcément communale, face au boulevard Mairaux, l’oeuvre se dresse désormais à proximité de l’Hôtel de Ville inauguré en 1971 . En 1969, La Cité des Loups fête, non seulement son jubilé, mais aussi son titre de « première ville belge de la Paix ». Réalisé en petit granit, le monument a été bien décrit par Marcel Bougard dans « La Louvière, panorama des Arts et des Lettres, 1975 » : « Une force tranquille émane de ces deux hommes pareils, unis fraternellement par une même pensée : LA PAIX… ».

23 Place Communale 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

L'Hôtel de Ville

Datant de 1971, l’édifice actuel succède à la première maison communale, inaugurée en 1869, l’année de la naissance officielle de la Commune de La Louvière ; mais la construction de cette maison avait été décidée dès 1866, quand La Louvière n’était encore, officiellement, qu’un hameau de Saint-Vaast. C’est l’extraordinaire et rapide développement économique louviérois (on parle même de « ville-champignon ») qui explique la volonté d’Amand Mairaux, bourgmestre de Saint-Vaast, de créer une nouvelle commune. Mais l’expansion de cette nouvelle commune se continuant, la nécessité de remplacer la première maison communale par un bâtiment mieux adapté s’imposera dès 1911. Toutefois, les deux guerres mondiales retarderont longtemps la concrétisation du nouveau projet. C’est seulement le 25 février 1971 que l’Hôtel de Ville sera inauguré à l’emplacement de l’ancienne maison communale… Très vite, la fusion des communes de 1976-1977 confèrera au nouvel édifice une importance accrue. C’est Paul Emonts qui en a été l’architecte. Depuis peu, une passerelle relie l’Hôtel de Ville à la toute nouvelle cité administrative ouverte en 2015.

5 Place Communale 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

L'avant-dîner

Cette œuvre rend hommage aux acteurs essentiels de notre carnaval que sont les tamboureurs. Il s’agit d’une sculpture en acier d’abord présentée devant le Musée Iancelevici, lors de l’exposition « Le blues de l’acier », avant son installation devant la cité administrative en 2017. Robert Michiels C’est l’artiste louviérois auteur de « l'avant-dîner ». Autodidacte né en 1933, il incarne l’esprit surréaliste de la région du Centre, notamment par son sens de la narration décalée et goguenarde. Il aime parcourir les chantiers, les usines, les ferrailleurs, pour rechercher les matières premières de ses œuvres assemblées, de manière insolite, avec des clous, ou soudées. Une de ses créations : « Le Fil » (1966) décorera plus tard le hall du CHU- Tivoli inauguré en 1976, l’année où Robert Michiels inaugure aussi, et devant le même CHU, une autre de ses sculptures : « Solidarité ». Détenteur de plusieurs prix, il a obtenu celui de la « Jeune Sculpture Belge ».

1 Avenue Fidéle Mengal 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Le centre Keramis

Inauguré en mai 2015, le « Centre de la céramique de la fédération Wallonie-Bruxelles » se veut « un espace d’art et de culture, de recherche et de création dédié à la céramique ». Des anciens bâtiments de la faïencerie Boch-Frères, créée en 1844, subsistent les installations abritant les célèbres « fours-bouteille » aménagés vers 1860. Ces fours ont été restaurés grâce à un cofinancement de l’Union Européenne, de la Wallonie et de la Ville de La Louvière entre autres. Mettant en valeur les collections de céramique, le Centre rend aussi hommage aux travailleuses et aux travailleurs de la faïencerie « Royal Boch » définitivement mise en faillite en 2011, dans des conditions scandaleuses. Rappelons que la création de « Boch Frères » est une des origines du développement de La Louvière. L’œuvre d’Emile Desmedt à La Louvière Polyvalent, le tournaisien Emile Desmedt est sculpteur et céramiste. Homme de la terre, il travaille aussi le métal, le papier, le bois et le verre. Evocatrices, ses Formes et ses Sculptures s’inspirent de la nature primitive : les graines, les œufs… Alchimiste moderne, Edouard Desmedt allie ses matériaux à la recherche de « l’organicité du naturel ». On peut voir, au « Musée Keramis » deux de ses « Racines » primitives dont l’une a subi l’épreuve du feu. Sa croûte en terre cuite s’est craquelée naturellement. Près du Musée, il réalise un « four-sculpture » consumé par un feu intérieur destiné à évoquer une graine germant naturellement.

4 Boulevard des Droits de l'Homme 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Capteur de ciel

Ce titre un peu énigmatique désigne l’œuvre qui orne le rond-point du Bosquet depuis 2005. Cet ensemble monumental mobile est dû à un artiste louviérois mondialement connu : Pol Bury (1922-2005), qui a vécu dans notre Ville dès 1961. Artiste polyvalent, il fut un adepte de plusieurs mouvements. Ainsi, il a été attiré par la peinture surréaliste, puis abstraite, puis géométrique. Membre du célèbre groupe « Cobra », il s’intéressera ensuite à la recherche cinétique : le mouvement dans l’art : meubles « nouveaux », œuvres mobiles (avec moteurs, poulies)… Les matériaux utilisés sont, notamment, l’acier inoxydable et le cuivre poli. Le « Capteur de ciel » louviérois semble pointer trois doigts métalliques vers l’infini, dans une sorte d’incantation à regarder vers le ciel, disent les spécialistes. Le « Capteur » comprend trois cylindres de 75 centimètres de diamètre, d’une hauteur variant entre 3 et 3,5 mètres de hauteur. Ils sont complétés par une sphère en acier inoxydable, faisant une rotation motorisée d’un tour par minute. Un autre « Capteur de ciel » de Pol Bury existe dans la ville anglaise de Bristol. L’artiste a aussi réalisé la « Fontaine à boules » face au Château Gilson de La Louvière… et une autre de ses fontaines est exposée dans le parc de la Fondation Maeght à Saint-Paul de Vence en France.

70 Rue Sylvain Guyaux 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Le centre aquatique

La disparition de l’ « Ilot Dambot » (le nom donné au quartier proche de la minoterie Dambot) et son remplacement par la nouvelle piscine du « Point d’eau » ont bouleversé complètement l’aspect de cet accès à La Louvière depuis Houdeng. Ce bouleversement avait été initié par l’aménagement du rond-point du Bosquet orné d’une œuvre de Pol Bury en 2005. Créée en 1956 par l’architecte Paul Emonts, l’ancienne piscine située rue Toisoul ne répondait plus aux nécessités de notre époque. Depuis 2008, le centre aquatique du « Point d’eau » présente aux baigneurs une offre diversifiée : piscine olympique, bassin ludique pour enfants et toboggan aquatique semblant sortir du mur de façade, face au rond-point du Bosquet. En réalité, le « Point d’eau » comprend deux toboggans, un espace surf, une piscine à vagues et organise des cours relatifs à divers sports aquatiques. C’est un bureau d’architecture spécialisé de Louvain qui a conçu le projet de cette nouvelle piscine.

105-129 Rue Sylvain Guyaux 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

L'ascenseur hydraulique n°1

Entre La Louvière et Thieu, quatre ascenseurs hydrauliques à bateaux fonctionnent depuis plus d’un siècle. Construits entre 1882 et 1917, chacun d’entre eux rachète une dénivellation de l’ordre de 17 mètres et fonctionne grâce à une seule source d’énergie : l’eau ! En 1998, ces ascenseurs ont été classés Patrimoine de l’Humanité par l’UNESCO.

Rue Tout-Y-Faut 7110 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

La Cantine des Italiens

On sait que le protocole belgo-italien de 1946 a prévu l’arrivée massive de travailleurs italiens dans les charbonnages de Belgique, surtout en Wallonie. En 1974, on dénombrait en Belgique plus de 300 000 immigrés italiens, dont 100 000 siciliens. Avant la fusion des communes, La Louvière comptait, toujours en 1974, 4792 Italiens pour une population de 23210 habitants. L’actuelle « Cantine des Italiens »: Si une première cantine a existé dans l’entre-deux guerres sur le site d’Houdeng-Goegnies, les bâtiments de l’actuelle « Cantine des Italiens » ont été construits en 1946 suite aux instructions des dirigeants des Usines Boël, afin d’héberger les ouvriers recrutés en Italie pour travailler dans ces usines. Ces ouvriers venaient souvent du nord de la péninsule italienne. En 1947, 223 personnes « habitent » ainsi en bordure du canal du Centre (aujourd’hui canal « historique ») et des usines Boël, dans quatre blocs sommairement construits comprenant chacun huit logements de 30 m2 et entourant une cantine. Paradoxalement, les installations de la cantine semblaient relativement plus confortables par rapport aux logements sommaires des autres baraquements de Maurage et Boussoit, entre autres. Réservés aux seuls célibataires, les bâtiments de la cantine ont été habités pendant 20 ans et se complétaient de potagers entretenus par les travailleurs, qui avaient signé en Italie leur contrat de travail avec les établissements Boël. Ceux-ci payaient les frais de voyage en supplément de salaire pendant les trois premiers mois et garantissaient une occupation régulière pendant au moins un an. Suite au déclin industriel, les bâtiments de la « Cantine » ont été désaffectés, avant que la province de Hainaut ne les réhabilite pour en faire le Centre d’interprétation de l’immigration dans la région du Centre. Vous pourrez également y louer des bateaux électriques sans permis.

90 Rue Tout-Y-Faut 7110 Houdeng-Goegnies
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Ascenseur hydraulique n°2

Un ascenseur hydraulique fonctionne comme une balance à plateaux. Chaque bac est rempli d’eau et peut contenir une péniche jusqu’à 39 mètres de longueur. Afin d’assurer le balancement, 30 centimètres d’eau sont ajoutés dans le bac supérieur le rendant ainsi 75 tonnes plus lourd que le bac inférieur. En ouvrant une vanne mettant en communication les cylindres dans lesquels coulissent les pistons visibles du chemin de halage, le bac le plus lourd élèvera le plus léger.

Place de la Tannerie 7110 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Ascenseur hydraulique n°3

C’est à l’ascenseur n°3 que vous pourrez découvrir la salle des machines assurant le fonctionnement des ascenseurs hydrauliques n°2 et 3.

Rue Beau Séjour 7110 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Site minier du Bois-du-Luc

Inscrit sur la Liste du Patrimoine mondial de l’Humanité depuis 2012, le site minier du Bois-du-Luc est un témoignage exceptionnel de l’ère industrielle. Exceptionnel de par l’intégrité et l’authenticité de son héritage patrimonial, illustration éloquente de l’impact de l’industrialisation aux niveaux technique, paysager, architectural et social. Le site minier appartient à l’histoire d’une société charbonnière qui se distingue par sa longévité. Née en 1685, elle ferme ses portes en 1973. Aujourd’hui, il abrite notamment le Musée de la Mine et du Développement Durable.

2 Rue Saint-Patrice 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Raccourci Grande Boucle (pont tournant de Bracquegnies)

Grande Boucle: 21 km (vers l'ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu et les étangs de Strépy) Raccourci: 14 km (vers le site minier de Bois-du-Luc)

207 Rue du Stokou 7110 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu

L’ascenseur « Géant » doit sa dénomination aux deux noms des communes sur lesquelles il se situe, c’est-à-dire la limite des territoires du Roeulx (Thieu) et de La Louvière (Strépy-Bracquegnies) et fait partie du Canal du Centre à grand gabarit (1350 tonnes) qui s’étend entre Mons et Seneffe, sur une longueur de 27 kms. Sa construction représente le dernier maillon des travaux de modernisation du Canal du Centre qui faisaient suite à la loi dite des 1350 tonnes, programmant la mise à grand gabarit des principales voies navigables du pays. L’ascenseur funiculaire remplace, à lui seul, deux écluses et les quatre ascenseurs hydrauliques à 300 tonnes sur le Canal du Centre historique. C’est le plus grand ascenseur à bateaux d’Europe.

68 Rue de la Chapelle Bertrand 7110 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Ascenseur hydraulique n°4

Voir descriptif des ascenseurs n°1 et n°2.

1-3 Rue du Manoir Saint-Jean 7070 Le Roeulx
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Ferme Delsamme

A peu de distance de la place de Strépy, tout près de l’ancienne maison communale, vivait une « dame Delsamme » qui a laissé son nom à la ferme où elle vivait. Bâtie sur un plan carré, et remontant par certains bâtiments au 18ème siècle, cette « cense » se caractérise par le cadran solaire ornant son porche. Elle rappelle que la Hainaut a toujours été un terroir agricole, indépendamment de l’industrialisation. Respectant l’idéal « bio », les exploitants pratiquent le maraîchage « bio » (fruits et légumes), l’épicerie « bio » (fromages, produits laitiers, céréales, boissons…) et vendent des paniers « bio », tout en proposant de manger au « restaurant à la ferme ». Ainsi, la ferme Delsamme est une Entreprise de Formation par le Travail dont l’épicerie fournit des produits frais et de saison, tout en permettant de retrouver des légumes oubliés comme le topinambour et le rutabaga.

16 Place de Strépy 7110 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Les étangs de Strépy

Les étangs de Strépy, c’est un coin de verdure d’une richesse insoupçonnable à quelques kilomètres du centre-ville. Ils abritent une réserve naturelle dotée d’une faune et d’une flore remarquable, portant le label NATURA 2000. Sur place, il est possible de pique-niquer, de pêcher, de profiter d’une aire de jeux ou encore du Chalet des Etangs proposant une petite restauration.

Sentier de Prés 7110 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Pré-RAVeL - Ligne 422

Vous empruntez ici une portion de l’ancienne ligne 422, une balade très attachante qui vous emmène vers deux mondes différents. En effet, la ligne 422, ancienne ligne de tram La Louvière - Binche, relie deux cités hennuyères de premier ordre. Deux villes différentes par leur patrimoine, leur architecture, leur caractère. D’un côté Binche, fille du Moyen-âge et de l’autre La Louvière, fille de la Révolution industrielle.

116 Rue Victor Gondat 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

Centre de la Gravure et de l'Image imprimée

Cette belle institution occupe un bâtiment datant du début du 20ème siècle et qui abrita successivement une piscine, une usine et des boutiques. La rue de ce Centre débouchait sur la vieille église dite « de Baume » édifiée au fond de la future place Mansart ; voilà pourquoi cette ruelle s’est débord appelée « rue du Curé », avant de devenir, pour d’autres raisons, la « rue des Amours ». On ne peut qu’être épris du Centre de la Gravure et de l’Image imprimée actif dès 1984, avant d’être inauguré officiellement en 1988. Ses responsables sont prestigieux : André Balthazar, le premier directeur, et Catherine de Braekeleer qui lui a succédé en 1995. Agrandi en 2011, le Centre se veut un lieu didactique et ludique consacré à diverses activités, celles d’un musée (entre autres) présentant des expositions et des collections (9000 estampes et 2000 affiches), sans oublier l’organisation de stages pour enfants et adultes, les ateliers, les conférences et 7 mallettes pédagogiques. Il s’agit d’éveiller l’imaginaire artistique, en s’aidant aussi d’une bibliothèque composée d’un millier de livres. Depuis 1989, le Centre décerne chaque année le Prix de la Gravure et de l’Image imprimée, et il a lui-même reçu le Prix des Musées en 2013.

10 Rue des Amours 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter
image du object

CENTRAL

C’est en grande partie à un échevin disparu en 1988 que CENTRAL (anciennement Centre Culturel régional du Centre) doit d’être au « centre de tout »… Devenu Echevin de la Culture, entre autres, après la fusion des communes de 1776/1977, le maurageois Jean-Pierre Hubert a réalisé un travail considérable de pionnier dans la toute nouvelle entité louviéroise. Soucieux du patrimoine, de l’éducation permanente et des valeurs démocratiques, il a initié une série d’institutions culturelles dans notre Ville et dans notre entité, par exemple : la Maison de la culture (1978) berceau de CENTRAL avec ESCIFS (Etudes Socio-Culturelles, Information, Formation, Services)… Citons aussi le Musée des Arts plastiques, futur Musée de la gravure, Antenne-Centre (devenue ACTV) et le partenariat avec le Théâtre Communal de La Louvière créé en 1960… Cette liste n’est certainement pas exhaustive. Le Palace: C’est dans cette vieille maison très rajeunie que CENTRAL est installé. Mais le Palace louviérois est un élément essentiel de notre patrimoine. Ce fut d’abord « Le café de l’Union », puis un café-cinéma : « L’impérial » avant de devenir en 1922 le « Palace », un des plus importants dancings de la région reconverti en cinéma dès 1955. Né au début des années 2000, CENTRAL est une institution culturelle louviéroise essentielle.

19 Place Jules Mansart 7100 La Louvière
- Hainaut Rando -
Consulter

Auteur de la donnée

Image Hainaut Rando
proposé par Hainaut Rando
Digue de Cuesmes 29/1 7000 Mons Belgique

Notes et avis

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter