Les communes de Dun-sur-Meuse et Doulcon, labellisées "Station Verte" du Val Dunois, livrent leurs secrets suivant leurs trois circuits, soit 1h de balade pour le circuit rouge "Forteresse de Dun-le-Chastel" ou le circuit bleu "Reconstruction et Art Déco" et 2h00 de balade pour le circuit vert "Vieille Meuse et Lac Vert". Ce circuit balisé en rouge, de nature, d'histoire et de culture, vous fera découvrir le magnifique panorama depuis ce que fut Dun-haut ou Dunum à l'époque gallo-romaine, puis Dun le Chastel à l'époque médiévale. Ne manquez pas de visiter l'église riche en mobilier dont 2 œuvres du sculpteur contemporain Jean Robert Ipoustéguy né à Dun, avant de suivre les remparts de l'ancienne forteresse.
Le parcours des remparts de la forteresse de Dun le Chastel peut aussi débuter au niveau de ce panneau.
La 5th Infantry Division, division fédérale, est l’une des plus actives dans la commémoration dès l’immédiat après guerre. Ses obélisques à quatre faces avec l’insigne de la division, le diamant rouge peint et une plaque informative en bronze, sont les plus nombreux. Un des mémoriaux divisionnaires prend une forme particulière, une rambarde de pont. Ce pont rappelle le franchissement de la Meuse par cette unité en novembre 1918. Les monuments de la 5th ID sont les plus nombreux en Meuse, d’où le surnom attribué par le général Pershing à l’unité, la « Meuse Division ». (sources : verdun-meuse.fr)
Cette petite porte ou plutôt poterne, fut construite en 1402 dans le but de créer un accès vers Dun-Bas. C'était un accès piétonnier appelé "chevée" (qui signifie montée abrupte). Le terme "chevaux" est sans doute une déformation du pluriel de "chevée".
Dun, dunum castrum, fut sans doute à l'origine un oppidum qui permit d'améliorer la défense des camps romains de la Côte Saint Germain et de la Côte du Châtelet, et de défendre le passage de la Meuse. Le village fortifié sur une butte isolée a conservé de nombreuses traces de son système défensif médiéval. Seul monument à avoir résisté aux conflits à travers les siècles, la majestueuse église Notre-Dame de Bonne Garde (XIVe) domine la vallée de la Meuse. Un parcours pédestre autour des remparts, d'une durée d'environ une heure, vous permet, au travers de panneaux illustrés, de découvrir l'histoire de la forteresse. Découvrez aussi des engins médiévaux, un jardin médiéval... Chaque été, un chantier de restauration est mené sur les remparts, tandis que l'association Dun le Chastel oeuvre durant toute l'année pour l'aménagement, le fleurissement et la valorisation du site. L'accès à l'ancienne forteresse et au circuit des remparts est libre et gratuit. Petit plus : un livret-jeux gratuit est disponible à l'Office de tourisme pour les enfants dès 7 ans. Des supports ludiques sont également disponibles pour découvrir en autonomie l'ancienne forteresse et l'église de Dun-Haut. Des visites guidées peuvent être proposées pour les groupes adultes, scolaires et centres de loisirs.
La maison de Tante Hélène est un petit gîte pour deux aménagé dans une très vieille maison sur les hauteurs de Dun-sur-Meuse. Sa vue magnifique, son calme et la nature verdoyante environnante sauront vous conquérir ! Linge de lit, linge de toilette et ménage inclus. Parking à proximité. Location la semaine (arrivée à 16h / départ à 10h30)
Le scorpion ou scorpio (lanceur de flèche) était une pièce d’artillerie romaine inventée en 50 av. J.‑C., (également connue sous le nom de baliste quand il lançait des boulets). Cette arme remarquable par sa précision et sa puissance était particulièrement redoutée par les ennemis de l’Empire romain. Il est situé sur le parcours du Chemin des Remparts de la ville-haute.
Un tonnelon (engin de siège médiéval) a été installé par l'association "Dun-le-Chastel" en 2015. Cet engin comportait un bras qui s’élevait en hauteur. A l'extrémité de ce bras était installée une grosse plate-forme sur laquelle les archers se plaçaient pour pouvoir tirer au-dessus des remparts.
Dun le Chastel, Dun, aujourd'hui Dun sur Meuse, fut une place forte importante, dont une partie des remparts subsiste encore. La porte principale défensive de Milly permettait l'accès des chevaux et des chariots vers la ville haute. La porte était munie d'archères, meurtrières et bretèches, qui sont encore visibles aujourd'hui sur les vestiges de l'enceinte.
Ancien calvaire situé à l'emplacement du prieuré Saint-Gilles tenu par des frères Minimes. Cette croix a été érigée en 1819 à l'emplacement de l'ancien prieuré des Minimes. En 1592, les moines durent se résigner à s'installer à l'intérieur des remparts du Chastel suite à l'incendie de leur couvent par le prince de Turenne.