La Corrézienne VTT

L'abbaye bénédictine a été fondée au IXe siècle par Rodolphe de Turenne, Archevêque de Bourges. Il y installa des moines de Solignac. C'est au début du XIIe siècle, que la communauté fut affiliée à l'ordre de Cluny. C'est un édifice aux proportions majestueuses, de style roman Limousin, en grès ocre pâle, construit selon les plans d'une grande église monastique de pèlerinage. Il est dominé par un clocher-donjon. Cette abbatiale est surtout connue pour son remarquable tympan sculpté du début du XIIe siècle représentant le retour du Christ à la fin des temps 'la Parousie' avec, au centre, un Christ en majesté. Ce tympan fut sculpté par des tailleurs d'images toulousains.

L'abbatiale de Vigeois est un des plus précieux témoins de l'art et de l'architecture romans en Bas Limousin. Construite de 1082 à 1121, ce monument a vécu au plus près des difficultés de la période médiévale (pillages, attaques et incendies). C’est au travers des précieuses chroniques rédigées par le moine Geoffroy de Breuil, prieur de Vigeois, de 1170 à 1184, que l’histoire du monastère est connue. Le résultat de plusieurs attaques sera la disparition complète de la nef, qu’on réédifia dans un style néo-roman entre 1866 et 1868. L'édifice est classée au titre de Monument Historique le 12 juillet 1886.

Créé en 1990, l’arboretum de 8.5 ha présente une collection de 1500 espèces d’arbres et d’arbustes avec étiquetage pédagogique. On peut également admirer plusieurs arbres centenaires tels que le tilleul, le sorbier, des charmes, des frênes et des chênes. L’Arboretum est agrémenté de cinq étangs où vivent les oies et les canards. Sur le parcours sont dispersés des sculptures et objets d’art. Visites libres et gratuites.

Parc agricole et paysager de 6,5 ha, MH, labellisé "Jardin Remarquable" et "Arbre Remarquable de France" dans un environnement urbain, conçu au début du XIXème. Il allie paysages romantiques à l'anglaise avec pièce d'eau, volière, vallonnements et bosquets, points de vues et perspectives. On y trouve volière de granit, oratoire de pierre, bassin bordé par une funéraire gallo-romaine en granit, kiosque en bois au point culminant du parc. De très beaux arbres constituent un des intérêts du site dont un séquoia, élu arbre de l’année 2017 pour la Nouvelle Aquitaine et un tulipier de Virginie parmi les plus imposants de France. 370 espèces d'arbres ou arbustes sont représentés. Promenade champêtre au long des 3 km d'allées Cathédrale végétale aux 8 troncs, orgues de verdure, couronne de buis et topiaires. Poissons et tortue animent l'étang.

Massif forestier de 600 hectares avec landes et bruyères sur le Puy du Vareyron culminant à 915 m. Une collection d'une soixantaine de feuillus et de conifères plantés en 1982 sur 6 hectares compose l'arborétum.

Lovée au bord de la Dordogne, Argentat sur Dordogne a été durant des siècles un grand port de commerce. Du quai Lestourgie partaient les gabares chargées de bois, de cuir et d'huile. Vous prendrez beaucoup de plaisir à flâner le long des quais pavés à l'ancienne pour admirer les maisons de pêcheurs chapeautées de lauze, les façades nobles et leurs tourelles. La rue Sainte-Claire compte quelques belles demeures, tel l’hôtel de Turenne.

Inauguré en 1958, c'est le plus petit des barrages sur la Dordogne, mais aussi un ouvrage original. Loin des constructions spectaculaires précédentes, il exploite l'eau en douceur et la filtre comme dans un sablier. Hauteur 35 m. Retenue 9 km. Pas de visite intérieure du barrage.

Cité médiévale bâtie sur la rive droite de la Dordogne, labellisée "Un des Plus Beaux Villages de France", Beaulieu a été surnommée "la riviera limousine" grâce à la douceur de son climat propice à la culture de la fraise. On y vient d’abord pour son abbatiale Saint-Pierre remarquable, dont le portail, chef-d’œuvre de l’art roman représentant le retour du Christ à la fin des temps, peut se comparer à celui de Moissac. On flâne avec bonheur dans les ruelles, on compare les façades coiffées de tourelles, décorées de médaillons et d’angelots, comme la maison d’Adam et Eve, on rêve devant la Chapelle des Pénitents et son clocher-mur qui se reflète dans les eaux de la Dordogne. A proximité, on peut embarquer sur une gabare de mai à octobre, pour revivre l’épopée des gabariers qui descendaient jusqu’à Libourne livrer leurs chargements de bois pour la tonnellerie bordelaise.

Partez à la découverte du village de Bugeat, au cœur du Plateau de Millevaches, terre de granite. Découvrez ses ruelles, ses maisons typiques en granit, ses sculptures contemporaines, son église et ses vitraux.

La visite du bourg vous entraînera vers l’Eglise romane du XIIIème siècle et sa châsse. Après avoir remarqué les vestiges gallo-romains situés au square du Dr Roux, vous vous plongerez dans les mystères de la nature en visitant la Maison de l’Arbre (sentier botanique, arboretum, fructicetum, jardin animalier…). Vous pourrez ainsi y pratiquer de nombreux sports tels que l’équitation, la natation, l’accrobranche, le VTT, la randonnée pédestre. À visiter également : le Mont Ceix et sa chapelle.

Ancienne chapelle d'un couvent des Capucins construit en 1643 à la demande de l'épouse catholique du 'frondeur' Frédéric-Maurice de Turenne. Belle toiture en lauzes du Quercy. Aujourd'hui salle municipale qui accueille des événements publics ou privés (réunions, expositions, concerts...). La chapelle est ouverte uniquement pendant l'été et dans le cadre des expositions qui y sont organisées, et sur demande auprès de la Mairie.

La chapelle a été construite au XIIème siècle. Après avoir été partiellement endommagée pendant la Guerre de Cent Ans, elle a été restaurée grâce au prêt contracté par le consulat auprès d’une riche famille. Elle a été vendue comme bien national à la Révolution. En 1820, elle a été rachetée par la confrérie des Pénitents bleus. Celle-ci disparaît à la fin du XIXème siècle, après avoir eu une grande influence dans la cité. La chapelle est avant tout remarquable pour son magnifique clocher-mur à cinq baies avec emplacement des cloches. Le chevet de la chapelle est simple avec son triplet d’absidioles et ses moulures limousines.

La chapelle du Saillant est la seule en France à être entièrement décorée de vitraux de Marc Chagall. Passionné par l’œuvre de cet artiste, Guy de Lasteyrie du Saillant, descendant des bâtisseurs de la chapelle, lui a commandité cette œuvre. Les six panneaux ont été réalisés entre 1978 et 1982 par les peintres verriers Charles Marq et Brigitte Simon à Reims à partir des maquettes de Chagall qui a fait les finitions, notamment les nombreux effets sur la grisaille. Les vitraux évoquent les valeurs premières de l'homme dans la nature. L'artiste a joué sur la lumière par un dialogue entre les fenêtres colorées et les fenêtres en grisaille. Derrière l'autel, "la Création" : le vitrail représente un simple paysage où l'eau, la terre et l'air sont illuminés par le feu de l'Esprit créateur. Deux bouquets de fleurs multicolores s'épanouissant comme un feu d'artifice lui fait face dans la rose

Elle se situe dans le village de Barsanges. Portail très sobre du 12ème siècle, clocher-mur à deux baies. Voir à l'intérieur une remarquable cuve gallo-romaine provenant du site des Cars et réemployée en cuve baptismale. Sur le pourtour se développe une scène de chasse au cervidé et au sanglier.

Château du XVème siècle, entièrement restauré. Situé à 3 km de Clergoux, dans un magnifique écrin de verdure et entouré d'étangs, le Domaine de Sédières, propriété du Conseil départemental de la Corrèze, vous propose toute l'année, la pratique d'activités physiques et de loisirs de pleine nature. De nombreux parcours vélo de route et VTT vous sont proposés depuis la base vélo loisirs labellisée pour explorer les alentours. Vous pouvez aussi profiter de parcours balisés de randonnée. Pour une balade plus ludique, tentez la chasse au trésor gratuite proposée par Terra Aventura, l’application de géocaching qui fait fureur auprès des familles ! Et selon la période de l’année, vous pouvez aussi pratiquer une tyrolienne de 160 mètres de long ou du tir à l’arc, mais aussi participer à des ateliers de construction et de mise en vol de cerf-volant.

Le château de Turenne, site d’exception entre ciel et terre, situé en Corrèze, à 15 kilomètres au sud de Brive la Gaillarde, est une étape obligatoire de votre circuit touristique. Construite sur un éperon rocheux à 350 mètres de haut, la forteresse est visible de toute part. Depuis la cour du château, les points de vue sont époustouflants. Vous apprécierez aussi son beau bâti médiéval, comme les deux grandes tours du XIIIe siècle, qui se dressent fièrement au-dessus du charmant village de Turenne, classé parmi les plus beaux villages de France. Profitez des paysages et du jardin suspendu grâce à la restauration du Kiosque Gourmand (d'avril à octobre : glaces, snacking, service de boissons/09 juillet-22 août : Déjeuners et Dîners dans le ciel) 2024: Turenne rebat monnaie! Animation autour de la frappe du Denier Raymondin / Expositions sur les monnaies locales et celles de l'avenir

Collonges-la-Rouge offre un spectacle original et insolite, tant par la flamboyance de ses pierres que par la richesse de son patrimoine. Rouge des grès et lauzes aux nuances ocrées, bleu-gris des ardoises, vert des vignes accrochées aux murs forment la palette d'une petite cité de rêve. A partir du XVIe s., Collonges est devenu le lieu de résidence des fonctionnaires de la Vicomté de Turenne et des juristes de la châtellenie, d'où la présence de nombreux castels et tours en poivrière. Au XIXe s., la cité tombant en léthargie, le maire de l'époque, Charles Ceyrac, la lancé l'idée des "plus beaux villages de France", Collonges étant le premier village labellisé ! On se presse pour admirer les maisons nobles et les castels du 16ème siècle, superbement restaurés dans les années 80.

Cette croix est posée sur un soubassement formé d'un bloc de pierre. Elle est entièrement inscrite dans un cercle ajouré, de section carrée, aux angles émoussés. Sur la face nord est sculptée l'effigie du Christ crucifié. La tête, dont les traits sont à peine visibles, est dans la proportion du 1/3 de celle du corps. Il est vêtu d'une longue robe descendant jusqu'à mi jambe. La croix peut être d'époque romane ou être plus récente s'il s'agit d'une reprise de techniques anciennes.

La commune possède quelques belles croix de chemin. Une légende est liée à deux d'entre elles, les plus anciennes,sans doute du XVème siècle. L'une est à proximité de l'ancien presbytère, l'autre a été transportée dans le cimetière. Elles auraient été élevées par un charretier qui, un jour de grand froid, aurait réussi à traverser les étangs gelés, tandis que son chien s'y serait noyé. Elles ont la même facture: long fût à pans coupés, montant et traverse de la croix à extrémités fleurdelisées. La 1ère de ces croix porte de petits personnages parmi lesquels on reconnaît difficilement un pélerin tenant son bâton (?), et un personnage portant un manteau gravé d'une croix, peut-être un chevalier de Malte. La croix du cimetière porte un décor de fleur de lis.

Croix de la fin du 15e siècle, portant une sculpture rudimentaire représentant une crucifixion. La décoration des abouts est obtenue, pour chaque bras, par quatre crochets placés sur les diagonales.

A la Saulière, remarquable croix maltaise du 15ème et 16ème siècle, à long fût. Sur l'avers : Christ en croix aux jambes croisées. Au revers : Vierge à l'enfant sculptée sur le fût et non au niveau de la croix comme habituellement.

Elle se situe au sud-ouest du bourg, près du pont sur la Vienne, en bordure de la route de Saint-Merd les Oussines. Elle repose sur un socle taillé en forme de bélier accroupi. Sur la table, dont la forme évoque celle d'un petit édifice religieux à fronton et arcatures polylobées, sont sculptés d'un côté un Calvaire, de l'autre une Vierge à l'enfant. Sur les petits côtés, des personnages sont présentés sous arcature. Peyrelevade compte une trentaine de croix monumentales dont trois classées par les monuments historiques. visite libre et gratuite.

Le village médiéval de Curemonte est bâti tout en longueur sur un éperon rocheux, au sud de la Corrèze. La densité des constructions militaires, les trois châteaux et les maisons nobles témoignent de l'importance de la cité entre les XIVe et XVIIe s. Celle-ci bénéficiait alors de larges franchises dans le cadre de la vicomté de Turenne. Raymond de Curemonte participa à la première croisade aux côtés du vicomte de Turenne. Ses descendants construisirent plus tard le château de Saint-Hilaire. C'est le plus ancien avec son corps de logis du XVe s. et ses deux tours carrées à mâchicoulis. La famille des Plas qui occupait un autre château les supplanta progressivement. Leur château se distingue par ses tours rondes du XVIe s. La famille des Escaravage s'installa sur un troisième site à La Johannie. On prendra le temps de parcourir à pied la cité, sans toutefois pouvoir visiter les châteaux.

L'église primitive d'Ayen était située à Ayen-bas, elle appartenait à deux époques architecturales, elle comptait de nombreux contreforts et entre eux, étaient situés douze tombeaux ou enfeus, sépulture des seigneurs d'Ayen ou des environs. En raison de son mauvais état, l'ancienne église est détruite à la fin du XIX° siècle. Une nouvelle construction voit le jour à Ayen-haut, ornée de certains éléments de l'ancienne église : venez découvrir ce nouvel édifice.

Construite au 12e siècle puis modifiée au 14e, l'église primitive comprenait un chœur rectangulaire à chevet plat, une nef de deux travées carrées et un petit portail sur la façade sud. Au 14e siècle, le chœur et la première travée de la nef furent voûtés d'arêtes nervées. Une petite chapelle seigneuriale fut ajoutée au sud et un clocher pignon fut élevé sur la façade ouest.

L'église de chasteaux, édifiée sur un piton rocheux, offre de son porche une vue incomparable sur le Lac du Causse. " L'église de Chasteaux, par sa position dominante, est un très intéressant exemple d'architecture religieuse de la Corrèze. Même si la paroisse est ancienne, l'état actuel montre une construction paraissant remonter à la fin à la fin du XVe siècle : voûtes croisées d'ogives à nervures prismatiques et clefs de forme bien ronde. "

L'Eglise romane dont les vantaux de la porte d'entrée sont décorés de pentures (classées) en fer forgé du XIIIe fait face aux vestiges du château de Peyroux.

L'église, de construction romane, date du XIIème siècle. C'est un édifice avec une coupole sans dôme, aux arcatures géminées sous arcades et aux corniches saillantes. Elle comporte deux chapelles latérales, construites plus tard. Celle du sud est la plus ancienne, celle du nord ne remonte qu'à 1732 ; quelques habitants de la paroisse s'étaient engagés à financer les travaux en s'y réservant le droit de sépulture. On enterrait certaines familles nobles sous les chapelles et des enfants sous la sacristie jusqu'en 1778. Pour des mesures d'hygiène, cette tradition a été supprimée en 1778. Les dalles de ces sépultures ont été arrachées à la Révolution et ont servi ensuite à refaire les marches de l'escalier. On peut remarquer une croix restant sur la première marche. Emma Laffon et Michel Soulié ont offert un vitrail pour la chapelle du nord: St Michel terrassant le dragon, à l'occasion

Dépendait au Moyen-Age de l'abbaye de Solignac et était dédiée à un saint limousin, St Junien. L'édifice actuel porte la marque du XIIIème ou du XIVème siècle. Les voûtes de la nef se sont effondrées (traces d'arrachements bien visibles), mais celles de la travée du choeur subsistent. La clé est sculptée d'une image d'évêque bénissant, peut être St junien. Chapiteaux à crochets et boules. Portail occidental à frise-chapiteau de type limousin, clocher-mur à deux baies.

L'église romane du 12ème siècle est située à l'extérieur du bourg, au Puy d'Yssandon : clocher-mur, choeur en hémicycle orné d'arcatures, châpiteaux sculptés. Accès libre, de 10 h à 17 h.

L’église faisait partie d'un vaste prieuré dépendant de l’Abbaye de "la Chaise Dieu" (Auvergne). Les guerres de religions au XVIème et au XVIIème siècle ont marqué cet édifice de l’Art Roman, dont il ne reste aujourd’hui que le choeur et le transept débordant. Pour se protéger et contrer les éventuelles attaques, l’église fut fortifiée dès le XIVème siècle : tour de guêt et tours défensives furent ajoutées. A l'intérieur, un déambulatoire, typique des églises de pèlerinage, entoure le chœur à arcades surhaussées. La légèreté de l’élévation et les décors sculptés sont remarquables. Un Christ XIIIème s. mérite également l’attention. Visites libres. Des visites guidées sont proposées sur réservation (payant).

L’église de Saint-Solve a été, comme beaucoup, en grande partie reconstruite dans la seconde moitié du XIXe siècle (architecte Rogemont). De l’édifice ancien a été conservée la façade qui abrite dans une niche une belle statue en bois du XVIIe siècle inscrite au titre des monuments historiques. A l’intérieur, au cours des travaux du XIXe siècle, le mobilier ancien a été conservé : le confessionnal, daté de 1746, la chaire à prêcher ainsi que de beaux autels latéraux. Celui de droite est surmonté d’un tableau représentant la remise du Rosaire. Ces objets sont inscrits au titre des monuments historiques.

Construite dès le XIIème siècle, l'église Saint-Martial est d'origine romane. Mais elle fut détruite à plusieurs reprises et reconstruite, ce qui explique la présence d'élément gothiques. Son clocher est de forme très particulière. Il est de style dit "anglais", à savoir avec une forme hexagonale sur une base carrée. A l'intérieur, le retable baroque est l'élément le plus incontournable. Daté du XVIIème siècle, il est l'oeuvre des frères Tournié. Des scènes bibliques comme l'Annonciation ou Saint-Georges terrassant le dragon y sont représentées, ainsi que Saint-Martial en évêque.

L’église Saint-Pierre d’Uzerche est un témoin majeur de l’art roman en Limousin, classé Monument Historique dès 1840. Cette ancienne abbatiale bénédictine date des XIe et XIIe siècles, et reprend la forme typique des grandes églises de pèlerinage. A noter, la particularité de son clocher, dit à gâbles, partant d’une base carrée et se terminant par un plan octogonal. L'édifice est doté de trois tours de fortification témoins de la guerre de Cent Ans. La crypte du XIe s., est unique en bas-limousin et reprend les dimensions et la disposition du chœur, du déambulatoire et des chapelles. Autrefois, les pèlerins venaient y vénérer les reliques de Saint Léon et de Saint Coronat.

L'église de Noailhac a un choeur roman orné d'arcatures. Les chapiteaux sont de facture très archaïque (Adam recevant la pomme d'Eve, Daniel dans la fosse aux lions). La nef - trois travées du XVe siècle - est voutée d'ogives et flanquée de deux chapelles dont les clefs de voûte sont aux armes de Noailles. On remarquera la cuve baptismale (XIIe siècle) en grès rouge, à décor de damier, et un retable polychrome (XVII°).

Précieux témoin du premier art roman en Bas-Limousin. Après avoir fondé le monastère d'Arnac, Guy de Lastours donne l'église de Segonzac aux moins de cette dernière. La majeure partie de l'édifice porte la marque du XIe siècle. Fragments d'un important retable baroque et peintures murales sur la voûte du choeur de Nicolas Katkov artiste ayant fuit la Russie soviétique vers 1920.

Dédiée à St Dulcet dont le corps fut transféré en Limousin pour y être enseveli. L'édifice actuel, attesté du XIIème siècle, a subi de nombreuses transformations à la suite de plusieurs incendies (1590, 1818, 1881). Le clocher fut reconstruit en 1660. Seules subsistent de l'édifice ancien la travée du chœur avec ses arcatures latérales et les voussures du portail occidental, à arcatures polylobées. Un Trésor a été aménagé sous son clocher. Parmi les 3 châsses-reliquaires médiévales présentées, la châsse de St Dulcet est la plus remarquable. C'est l'œuvre d'orfèvres limousins du XIIIème siècle, en émail champlevé. A côté du portail, une pierre tombale médiévale est présentée dressée telle une croix monumentale, sur un soubassement.

L'église Saint-Roch de Sornac (fin XIIes pour son choeur et clocher) est l'édifice roman le plus imposant du Plateau de Millevaches versant corrézien pas ses dimensions. La nef fut d'ailleurs agrandie deux fois au XVIe et XVIIIe siècle. Le premier titulaire de l'église fut Saint-Martin, puis ensuite Saint-Roch. Le retable imposant aux enluminures, polychromies, chapiteaux et corniches du milieu du XIXe siècle a été restauré en 1993 par de jeunes artistes spécialisés. Les statuettes de saints qui finissent de l'orner et le tabernacle à la polychromie plus accentuée datent du XVIIe siècle d'un retable antérieur. De nombreuses croix sont à découvrir à l'intérieur et autour de l'édifice. Sa tapisserie d'Aubusson est une reproduction d'un extrait de la 3ème pièce de la tapisserie d'Angers illustrant le texte de St-Jean. Elle a été réalisée par le Maître lissier André Chaulet Aubusson et offer

Au détour des sentiers, Espagnac vous dévoile la richesse de son passé autour de son église du XVème siècle, restaurée et illuminée. A l'intérieur, découvrez la châsse, les statues en bois polychrome ainsi que des peintures murales en trompe l'oeil. Son parvis accueille tous les samedis soirs de la saison estivale un marché villageois, ainsi qu’un marché de Noël pour les fêtes de fin d’année. Ne manquez pas également la gare du Tacot, qui rend hommage à l'ancienne voie de chemin de fer métrique, qui reliait Tulle à Ussel. Durant l'été, une exposition vous permet de découvrir son Histoire.

Pour accéder au fameux « dolmen » d’Espartignac, suivez le chemin qui mène à la motte féodale du château la Blanche. En contrebas se trouve « la maison du loup » appelé à tort dolmen, cet abri permettait la surveillance d’un passage à gué sur la Vézère situé sur l’itinéraire de la route des métaux. Selon la légende, la fontaine Saint Martial, située au cœur du village, serait la réponse du Saint à une pauvre femme qui aurait refusé de le désaltérer. Dans l’église, un sarcophage de forme trapézoïdale date de l’époque mérovingienne. Face à la mairie se trouve le point de départ de la randonnée « du P.O.C. et du Dolmen ».

Situé sur la commune, l’étang des Prades est alimenté par un petit ruisseau sauvage, le Dognon. Abritant un ancien moulin récemment restauré, c’est un véritable havre de paix pour les amoureux de la nature. Les animaux sauvages y ont leurs habitudes, les plus patients pourront y observer le héron cendré, les canards, les bergeronnettes des ruisseaux et grises, le martin-pêcheur et les chanceux y observeront peut-être la Loutre venant se délecter de quelques écrevisses. Les amateurs de pêche à la ligne aussi ne seront pas en reste, en prenant une carte journalière ou annuelle (jour/5€, annuelle/30€) auprès de la société de pêche du village il sera possible d’aller titiller les truites et autres poissons. L’étang est accessible toute l’année par tous (berges stabilisées tout autour, bancs et tables de pique-nique) et se situe au bord de la route départementale 159 en arrivant sur Sain

Deux hectares. Baignade surveillée de 11h à 12h et de 14h à 19h en juillet et août. Pêche, jeux d’enfants, location pédalos et kayaks. Randonnées. Bâtiment d'accueil ouvert toute l'année. Horaires d'ouverture : Basse saison : 9h00 - 12h00 et 13h30 - 17h00. Haute saison : 9h00 - 12h00 et 14h00 - 19h00. La location du matériel se fait qu'en été et la vente de carte de pêche (8€/jour, 15€/semaine, 30€/saison) de mars à septembre.

Lac de 33 ha : baignade surveillée de mi-juillet à mi-août de 14h à 19h, pêche, jeux pour enfants. Hameau de 8 gîtes au bord du lac (renseignements à la mairie). Salle de réception et cuisine disponibles à partir de 4 gîtes loués. Connexion internet. Un gîte pour les personnes à mobilité réduite.

Depuis la nuit des temps, l’eau s’est vu attribuer des valeurs symboliques, magiques, spirituelles. On peut facilement imaginer les interrogations mystérieuses que peuvent susciter les sources, ces lieux d’où l’eau semble sortir de terre sans raison. De nombreuses sources sont liées à des vertus : on les appelle en Limousin les Bonnes Fontaines.La fontaine la Bachellerie fait partie des trois Bonnes Fontaines, ou fontaine guérisseuses, que l'on peut trouver autour de Sornac.

Appelée aussi fontaine Sainte-Maume, la fontaine St Sagittaire date de 1896.Vous la découvrirez en longeant la voie romaine sur votre gauche après le chalet communal. Sur votre droite, se trouve sa chapelle construite en même temps en la mémoire du St-Sagittaire martyr des tout premiers siècles de la chrétienté. A quelques enjambées, se trouve la ligne de partage des eaux en Loire et Garonne. Chaque année, au mois de mai, elle fait l'objet d'un pèlerinage. La source est réputée pour soigner les maladies des yeux. L'eau partant de la fontaine est un des premiers affluent de la Vienne

Pour une politique intégrée de la gestion de l'environnement - la forêt de Mirambel - projet du géolab Limoges par l'équipe " paléo-environnement et géoarchéologie" Dans le cadre des journées nationales de l'archéologie La forêt de Mirambel située sur la commune de St-Rémy, est l'une des plus grandes forêts anciennes du Limousin (environs 1000 hectares), puisqu'il s'agit d'un Site d'Intérêt Écologique Majeur sur le territoire du PNR de Millevaches en Limousin. Sentiers de randonnées pédestres disponibles en Office de tourisme ainsi qu'à la maison du Parc (PNR Millevaches).

Situé dans le village de Servières, ce four à pain a été restauré et remis en état de fonctionnement par l'association la Pierre Levée.

Familièrement baptisé le "Tacot", le Transcorrézien a circulé en Haute-Corrèze pendant plus de cinquante ans, entre 1912 et 1959. Le trajet de 114 kms à l'époque durait 8 heures et reliait Ussel/Tulle. Le Tacot passait par une quinzaine de petites gares. Route Historique / Route du Transcorrézien. Au début des années 2000, le Syndicat Intercommunal du Transcorrézien (aujourd'hui dissous) a entrepris la restauration d'une partie de ces gares, trésors du patrimoine corrézien. Des sentiers de randonnée ont même été aménagés sur le trajet de l'ancien train à vapeur. De nos jours pour les découvrir, il suffit de suivre les indications "Route du Transcorrézien". C’est la seule gare transformée en habitation. Bien que privée, elle se voit de la route.

Familièrement baptisé le "Tacot", le Transcorrézien a circulé en Haute-Corrèze pendant plus de cinquante ans, entre 1912 et 1959. Le trajet de 114 kms à l'époque durait 8 heures et reliait Ussel/Tulle. Le Tacot passait par une quinzaine de petites gares. Route Historique / Route du Transcorrézien. Au début des années 2000, le Syndicat Intercommunal du Transcorrézien (aujourd'hui dissous) a entrepris la restauration d'une partie de ces gares, trésors du patrimoine corrézien. Des sentiers de randonnée ont même été aménagés sur le trajet de l'ancien train à vapeur. De nos jours pour les découvrir, il suffit de suivre les indications "Route du Transcorrézien".

Divisé en deux galeries, le gouffre de la Fage présente de belles draperies aux couleurs variées, des ponts de calcite richement décorés, une multitude de stalactites, colonnes et figures fantastiques et un gisement paléontologique. Classé site NATURA 2000, il abrite également une des plus importantes colonies de chauve-souris d'Europe. En visite libre, un aménagement à la fois ludique et pédagogique permet à chacun de découvrir les merveilles du monde souterrain, à son rythme. Un mini parcours spéléo et bac de fouilles attendent les enfants. Photos autorisées en visite libre. Parking gratuit, tables pique-nique, bar avec vente à emporter, boutique. Le Gouffre ne bénéficie pas d'un accès handicapé . Nombreux minéraux, bijoux en pierres naturelles et souvenirs divers vous attendent dans la boutique. Prévoir de bonnes chaussures et une petite épaisseur (Température de 12°C).

Petit jardin paysager de charme, attenant à l'église de la commune. En accès libre toute l'année.

Nazareth est un tout petit village-rue du XIV eme siècle, sur les Chemins de St Jacques et Rocamadour. On peut y voir : - Prés de l'église un panneau d’interprétation raconte l'origine "croisée" du village - Une ouverture basse sur la façade permettait à chaque maison d’accéder à l'eau qui affleure. - Une maison présente une montée d'escalier avec un double évier sur le palier (XVIIIeme) - Une chapelle ex-voto du XII eme est dédiée à ND de Nazareth. - Une histoire insolite est racontée sur un panneau d'interpretation, au fond du village, relatant la création un Kibboutz de 1933 à 1935. - A quelques kilomètres, le camp des Suspins, habité par les maquis durant la 2nde guerre mondiale. - En quittant le village vers Jugeals, l'église St Gilles abrite une fresque et des peintures du XVeme - Un four à pain à Jugeals

Accès à la plage par le camping du lac de Feyt. Suivre le fléchage "plage", ne pas marcher sur les emplacements tente/caravane et chien tenu en laisse obligatoirement. Possibilité de location de canoë 10€/h, stand up paddle 10€/h, pédalos 15€/h. Location de VTT électrique 25€ la 1/2 journée. Baignade surveillée avec jeux gonflables uniquement juillet et août. Pêche autorisée, vente de carte fédérale à l'accueil du camping.

Lac de 410 ha avec labels "Pavillon bleu d'Europe " et "Handiplage" : Baignade surveillée de 10 h30 à 12 h30 et de 14 h à 19 h en juillet-août, pêche, jeux d'enfants. Bases nautiques (juillet-août) avec voile, planche à voile, location canoë et kayak, ski-nautique, jet-ski, bateau à pédales, barque de pêche, balades en bateau sur le lac. Location vélo électrique au camping . 2 golfs 9 trous à proximité. Station Sports Nature.

Lac de 230 ha : Baignade surveillée sur 2 plages, pêche, jeux d'enfants. Ecole de ski-nautique label F.F.S.N. Base de loisirs (toute l'année) : planche à voile, optimist, dériveur, catamaran, canoë-kayak. Tir à l'arc, VTT, parcours d'orientation, escalade et escalad'arbres, parcours dans les branches. Initiation, enseignement, stages avec ou sans hébergement. Hébergement collectif. Centre de Vacances et Classes Vertes. LABEL STATION SPORTS NATURE.

Plan d'eau de 15 ha : Baignade surveillée de 13 h à 19 h en Juillet-Août, jeux d'enfants, location bateaux à pédales, Tiralo. Planche à voile autorisée. Sentiers de randonnée autour du lac. Tyrolienne. Buvette. Pour la pêche le plan d'eau est classé en 1ère catégorie et dispose d'un ponton PMR. On y pêche principalement la truite, la tanche et les poissons blancs. Des déversements réguliers ont lieu en truites arc en ciel. Aire de service pour camping-cars.

Plan d'eau de 18 ha : pêche, aire de jeux pour les enfants, pumptrack, course d'orientation, circuits VTT, stade VTT, possibilité de faire le tour du plan d'eau.. Station sport nature à 2.5 km proposant location VTT et activités. Animaux acceptés sous conditions : vaccination et tenus en laisse.

Au sud-ouest de Brive-la-Gaillarde, le lac du Causse se situe dans cadre naturel exceptionnel. D'une superficie de 84 ha, il permet la pratique de nombreux loisirs nautiques. Baignade surveillée de 11 h à 19 h en Juillet-Août, pêche, jeux d'enfants. Club de ski-nautique. Base nautique (ouverte toute l'année sauf vacances de Noël) avec planche à voile, optimist, dériveur, canoë-kayak, stand up paddle, surf-bike, aviron et bateau à pédales. Location, initiation, perfectionnement, stages sans hébergement. Centre VTT. En tant que centre de préparation aux Jeux Olympiques, le Lac du Causse a reçu la délégation suisse d'aviron du 9 au 21 juillet. Une reconnaissance de l'excellence de ses installations.

La commune est traversée par la Turgotière des le XVIIIème siècle. Cette route a été étable par Turgot (grand intendant du Limousin et Ministre des Finances de Louis XVI) afin de faciliter les échanges Est-Ouest. A découvrir : l'église dédiée à Saint Jean Baptiste.

Au Sud-Ouest de Brive-la-Gaillarde, le Causse et son lac vous attendent pour un moment de détente ou de sports. Lieu idéal à 10 minutes du centre-ville de Brive pour faire une balade à pied, pique-niquer sur la plage ou bien s'adonner à des activités nautiques. A disposition en saison : locations de canoë, paddle, pédalos, VTT, initiation à l'escalade. C'est aussi le lieu privilégié pour pratiquer l'aviron. De nombreux rendez-vous sportifs (triathlon, courses d'orientation, courses pédestres...) y ont lieu tout au long de l'année. À ne pas manquer, le site de la Montagne Pelée et sa vue imprenable, le village de Chasteaux d'où vous verrez le lac d'en haut. Un vaste réseau de sentiers de randonnée balisé permet de découvrir ce secteur.

Notre élevage d’Alpagas et notre filature se situent au cœur de la Xaintrie Noire, en Corrèze, à 30 min de Beaulieu-Sur-Dordogne, à 15 min d'Argentat. Nichée au creux d’une colline, dans un site naturel très privilégié, notre exploitation se situe à proximité immédiate des Tours de Merles. Venez découvrir qui sont ces animaux au regard si doux, au sourire enjôleur ; ce sera l’occasion de les approcher de très près lors du nourrissage. Vous apprendrez aussi les secrets de la transformation de leur fibre magnifique, celle que l’on nomme à juste titre « la Fibre des Dieux » et vous assisterez en direct à plusieurs étapes de la métamorphose de la fibre en fil et en feutre.

Projet collectif conduit par des bénévoles, avec pour "arme" haches et scies, ces billes de bois abandonnées ont repris vie sous forme de sculptures. Site naturel artistique, art brut, art spontané sans prétention culturelle, sans démarche intellectuelle mais véritable jardin contemporain. Ce site en libre accès est ouvert tous les jours. Simple visiteur, vous êtes les bienvenus. Un peu plus de temps, envie de participer, inspiré, vous pouvez devenir acteur de ce projet. En passant par le haut du bourg du Saint-Setiers, sur la route de Sounaleix. Accès libre.

Les Fermes du Moyen Age est un site de plein air où ont été remontées d'authentiques bâtisses formant un village du XVe siècle! Ce village, toujours en construction, témoigne de la vie rurale des gens de Xaintrie (blotti entre vallée de la Dordogne et volcans d'Auvergne). Vous entrerez dans plusieurs fermes entièrement meublées datant de la fin du XVe siècle ainsi que les bâtiments annexes comme le moulin, la chapelle ou le logis du notaire. Vous serez étonné par les parfums et l'ambiance qui y règne, par les animaux domestiqués dans leurs étables ou les prairies, par les cuisines noircies qui sentent la fumée, sans oublier les jardins riches de plus de 350 plantes.

Situé sur le plateau de Millevaches, les trois moulins à farine de Razel ont la particularité d'être implantés sur un même site. Tandis que les habitants de Razel et Chaumeil construisirent le moulin collectif du centre, deux familles plus aisées bâtirent les deux autres. Aujourd'hui restaurés, ils vous livrent les secrets de leur mécanisme. Plusieurs sentiers de randonnées permettent de les découvrir.

Argentat-sur-Dordogne a été durant des siècles un grand port de commerce. Du quai Lestourgie partaient les gabares chargées de bois, de cuir et d'huile. Vous prendrez beaucoup de plaisir à flâner le long des quais pavés à l'ancienne pour admirer les maisons de pêcheurs chapeautées de lauze, les façades nobles et leurs tourelles.

Au Vieux Bourg de ST Geniez ô Merle se trouvent les ruines de l'ancienne église des XIVe et XVe siècles, classée au titre des Monuments Historiques depuis 1969. Située au flanc d'un promontoire, elle était précédée à l'Ouest d'un clocher-peigne à plusieurs baies, et était terminée à l'Est par un mur droit aux armes de Merle. Le patron en était St Geniez, le comédien honoré le 25 août. Sa destruction fut amorcée par la foudre qui lors d'un orage, anéantit la toiture. La ruine se suivit rapidement, aidée par des pilleurs de pierre. Avant 1897, c'était l'église de l'ancienne paroisse de Saint Geniez ô Merle. L'église actuelle de St Geniez ô Merle fut construite en 1899, remplaçant celle de l'actuel "Vieux Bourg" dont le hameau est devenu un site protégé.

Castrum du XIIème siècle surplombant la rivière Maronne, les Tours de Merle se situent à la frontière du Limousin, de l'Aquitaine et de l'Auvergne. Dans un parc de 10 ha, ce joyau du Limousin médiéval vous invite à découvrir son impressionnante forteresse et ses différents points de vue exceptionnels, un jardin de plantes cultivées au Moyen Âge, la rivière Maronne et ses chemins ombragés, une boutique de produits locaux et bien d'autres choses encore... Pour les enfants, arpentez les chemins dans les pas des seigneurs de Merle, un jeu d'énigmes jalonnant le parcours de visite est proposé, à partir de 6 ans. En période de vacances, visites guidées et animations " naturellement médiévales " !

En poussant la porte de l’église St-Yrieix (14e et 15e siècles) vous découvrirez le tombeau du marquis Philippe de Meilhards, maréchal de camp de Louis XIV ; dans le chœur, un retable, œuvre du maître-sculpteur Antoine Cruveilher, dont la récente restauration a permis la mise au jour de fresques sur des tons d’ocres et de rouges. Au cœur du village, admirez le château, qui rayonna surtout au Moyen-Age, et fut reconstruit au 18e siècle après un incendie. Le riche passé de Meilhards se traduit aussi par l’existence au lieu – dit Laurière de mines d’or, exploitées de l’époque gallo romaine jusqu’au début du 20e siècle. Au sud du bourg jaillit l’eau limpide de la fontaine Sainte –Radegonde réputée miraculeuse. Cette source dont la vénération est d’origine païenne, a été christianisée et une chapelle fut construite. L’étang de la Besse, réservé à la pêche, est un lieu propice à la déten

L'histoire de Meyssac est intimement liée à la Vicomté de Turenne. Place forte depuis le XIIe siècle, Meyssac offre un riche patrimoine culturel avec ses maisons à colombages du XVIe siècle autour de l'église fortifiée à porche roman et de la halle aux grains du XVIIe siècle.

Cette chapelle du cimetière abrite une mise au Tombeau. C'est un artiste inconnu du XVe siècle qui est l'auteur de la superbe sculpture en pierre polychrome. Ce chef-d'oeuvre de pierre est mis en valeur par un spectacle son et lumière fort en émotion, conté par Jean Piat.

Le moulin de Bétinac, situé sur la commune de Valièrgue, est l'un des dernier, voire le dernier moulin à vent de Corrèze. Contruit en 1840, il a été restauré dans les années 70, puis au début des années 2000 et est aujourd'hui en bon état de marche.

Malgré une étymologie qui fait de Neuvic un « nouveau bourg » (novus vicus, en latin), l’histoire de la cité est ancienne. Il semblerait que celle-ci soit issue d’un déplacement de population. En tous cas, Neuvic est connue depuis le XIè-XIIè siècles comme une cité dépendante du vicomté de Ventadour, au château impressionnant, et au renom littéraire prestigieux, lié aux troubadours médiévaux. Neuvic a ses fortifications, dont les vestiges se devinent encore dans la plus ancienne rue, ses portes d’entrée, son église, remaniée au XVè après les destructions de la guerre de Cent Ans. Le bourg a aussi sa charte de franchises. Au milieu du XIXè siècle, Neuvic se signale par la présence d’une ferme-école, élément local d’un système d’enseignement agricole voulu par la IIè République. Fondée par Jean-Hyacinthe d’Ussel sur sa ferme des Plaines, il la dirigera jusqu’à sa mort en 1891. Elle sera

Caché au cœur d’une nature généreuse, le petit bourg de Pandrignes présente un habitat typique de la moyenne montagne limousine : maisons surélevées aux caves presque enterrées avec des greniers eclairés de fenestrous. L’église Saint-Pardoux qui domine le village abrite un buste reliquaire datant du XVIIe siecle.

L’arboretum Chamberet est constitué d'une collection de 105 espèces d'arbres couvrant une vingtaine d'hectares. De nombreux feuillus et conifères de notre patrimoine sylvicole y sont représentés, ainsi que des essences plus exotiques, tels que le Ginkgo biloba ou l'Araucaria du Chili. Découverte de milieux naturels protégés (1 tourbière, 1 saulaie et 1 mare). Sentier de l'Arbre et de la Nature. En suivant le sentier, vous trouverez différentes bornes sonores qui raconteront des petits contes en fonction du lieu où vous vous trouverez. Parc animalier avec plusieurs espèces de poules, oies, canards, moutons, chèvres, alpagas, faisans, cochons. Possibilité de pratiquer différentes activités physiques : Parcours de santé et de course d'orientation toute l'année. Mini-golf, swin golf, disc golf. (Location matériel uniquement à la Maison de l'Arbre) Accès gratuit et libre toute l'année.

Du latin « petra ficta » désignant la pierre plantée, le village de Pierrefitte se niche au cœur d’un paysage valonné ou l’eau a creusé des gorges étroites et profondes donnant naissance à des sites naturels remarquables comme la cascade du Daro. Sur la petite place du village, l’église Sainte-Marie abrite une belle pieta polychrome du XVe siècle.

Vous pourrez découvrir les joies de la pêche (carte de pêche disponible à la journée en vente dans les commerces du village ou à l’accueil du camping ouvert du 10 juillet au 20 août). Une baignade avec plage située à l’entrée du camping pourra compléter votre séjour. Accès à la plage à 50m avec espace multisports Parc Sports Loisirs (baby-foot, table de ping-pong…) et petite aire de jeux pour enfants. Prêt gratuit de jeux gonflables dont paddle sous la responsabilité des parents l’été. A proximité, sur place, camping à caractère familial et gîtes communaux où l’on s’adonne à la pêche, à la baignade à la randonnée ou encore au VTT et toutes les activités sport nature.

Plan d'eau de 5 ha avec une eau de baignade contrôlée et de très bonne qualité. Baignade surveillée de 14 h à 19 h en juillet-août. Jeux d'enfants, jeux gonflables sur l’eau, location de paddles et pédalos, mini-golf, pétanque, balades poney et cheval (en période estivale). Plage accessible aux PMR. Parcours d'Activités Physiques et Sportives Etalonné (PAPSE) et circuits pédestres dans une forêt de 100 ha et nombreux circuits à proximité .... Brasserie ouverte toute l'année, buvette, bar à cocktails, crêperie, soirées festives et à thème ... Un camping "Le domaine des Forges" est implanté sur le site.

A 500m du site historique et touristique des Tours de Merle, sur la D13 reliant les communes de St-Geniez-ô-Merle et St-Bonnet-les-Tours, point de vue sur le 2ème pont d'Europe à ossature bois, unique en son genre qui a remplacé le pont suspendu construit à la fin du XIXème siècle à travée unique. Les caractériqtiques de cet ouvrage d'art reposent sur un franchissement à 30 m au-dessus de la Maronne (affluent de la Dordogne), 250 tonnes de bois de pin Douglas, 56 m de portée, 6 béquilles de 25 m de haut en croix de St-André, une chaussée de 10m de large. Le pont de Merle est ouvert à la circulation depuis 1999 et représente une illustration de la filière bois de la Corrèze.

Pont peut-être d'époque carolingienne, emprunté par le chemin rural de Varieras à Pérols sur Vézère. Il comporte une seule arche en arc surbaissé, trois passages d'eau sur le côté gauche et un petit avant-bec constitué de blocs de granit taillé. Il est emprunté par plusieurs sentiers de randonnée.

Pont médiéval du 16ème siècle "à becs" sur la Vézère avec six arches ogivales. Il fut autrefois à péage et à pontonage. Au pied du pont, une aire de pique-nique avec des jeux pour enfants a été aménagée côté Allassac.

Ce petit village vous offre un superbe point de vue sur Les Monédières ainsi que les gorges de La Vézère. Asseyez-vous un instant à l'ombre des Tilleuls de Sully avant de découvrir ses fours à pain qui reprennent leur activité lors de la fête annuelle du Four le 2ème week-end de Septembre.

Le site archéologique des Cars est l’un des plus remarquables sites antiques du Limousin. Entre landes et forêts, sur le Plateau de Millevaches, une villa et deux tombeaux-temples nous racontent une histoire vieille de presque 2000 ans. On ignore l’identité des propriétaires. Mais est-ce là le plus important ? Tenez, par exemple, le site est sans défense et affiche un luxe démesuré : étonnant, non ? Signe probable d’une longue période de paix et de richesse… Des surprises, il y en a pour toutes et tous, petits et grands, amoureux de l’Histoire, curieux des techniques de construction, de l’agriculture, de la gestion de l’eau, des rites religieux, du patrimoine, des énigmes… et même de l’hygiène ! Ainsi, tout au long de la visite, le site des Cars nous parle de nous presque autant que de la période impériale romaine.

Le petit bourg de Saint-Paul, niché aux cœur du plateau des Étangs, vous séduira par le charme et l’authenticité de ses maisons construites avec la pierre et l’ardoise du pays. Découvrez l’église Sainte-Madeleine et la fontaine dite miraculeuse qui, chaque année, fait l’objet d’une procession.

Situé sur une butte (320 m), aux confins du Limousin et du Périgord, Saint-Robert a conservé un cachet médiéval qui en fait "un des plus beaux villages de France". Il a servi de cadre au feuilleton télévisé tiré des romans de Claude Michelet. De l'église romane, il ne reste plus que le chœur et le transept. La nef a été détruite lors des guerres de Religion. A côté du clocher octogonal, au-dessus de la croisée, lanterne des morts polygonale et tour carrée défensive ajoutées au XVIe s. Saint-Robert a un charme très médiéval avec ses vieilles demeures seigneuriales, ses ruelles étroites et les vestiges de portes fortifiées. Il fut le siège d'une cour des Appeaux.

Au cœur du village de Salon la Tour, se dresse un imposant donjon du XIe siècle, bâti sur une motte féodale. De belles demeures limousines sont venues se blottir aux pieds de cette tour protectrice.

Point de vue remarquable sur les gorges de la Cère aux confins de la Corrèze, du Lot et du Cantal.

Le barrage hydroélectrique EDF du saillant, haut de 28 mètres, est en service depuis 1929 et niché au cœur d’une zone classée Natura 2000. Le site hydroélectrique est équipé de quatre groupes fonctionnant en continu qui produisent l'équivalent de la consommation annuelle en électricité des villes de Tulle et Malemort. Ce patrimoine industriel est au croisement de plusieurs boucles de randonnées existantes(GR 46, GRP des gorges de la Vézère). Deux sentiers de randonnées aménagés vous permettront de circuler sur les rives de la Vézère, de vous approcher de l'usine hydroélectrique et du barrage pour découvrir l'histoire du site et ses richesses environnementales. Une fenêtre de visualisation, installée au niveau de l'usine hydroélectrique, permet d'observer les turbines en action. Des visites guidées sont proposées par le Pays d'Art et d'Histoire en Juillet-Août.

La table d'orientation surplombe le village médiéval de Curemonte classé "un des plus beaux villages de France". Elle offre une vue panoramique sur les vallées de la Sourdoire, du Maumont et de la Dordogne.

Table d'orientation à 747 mètres d'altitude accessible par le nord du bourg en direction de Saint-Fréjoux. Panorama sur le Plomb du Cantal et le Puy de Sancy.

A proximité des tilleuls de Sully, profitez d'un panorama saisissant sur le massif des Monédières et les Gorges de la Vézère. Table d'orientation sur place.

A la sortie du bourg d'Ayen, prendre la D39 en direction de Brive, tourner sur la gauche en direction de la route des puys. Au sommet de la butte d'Ayen, on peut communier avec la nature en admirant des paysages à vous couper le souffle à partir des tables d'orientation (point de vue à 360°) : les monts d'Auvergne, la Montagne limousine et, plus proches, le Puy d'Yssandon, les viaducs de Vignols et de Hautefort. La table d'orientation a fait peau neuve et vous permettra de lire le paysage avec sous-titrage !

La table d'orientation est située sur la tour ronde dite de César sur le site du Château. On accède à son sommet par un escalier à vis. De là, on peut admirer un large panorama bien au-delà de la vallée de la Dordogne vers le sud et par temps favorable jusqu'aux monts du Cantal. Site privé, entrée payante.

Située sur le Plateau de Millevaches dans le village de Saint-Setiers en Haute-Corrèze entre la Mairie et le Col de la Croix de la Mission sur la D174E1. Vues sur les Mont d’Auvergne et Plomb du Cantal . Altitude 747m

Accès par la D.134 entre le Saillant et Voutezac. Depuis la table d'orientation de Vertougit on découvre un large panorama d' Aurillac jusqu'à Périgueux.

Sur la D.39, à proximité du bourg de Juillac, en direction d'Ayen. Point de vue sur l'Yssandonnais, Saint-Robert et le bassin de Brive.

Accès par Merlines et le village de Lagarde. Belvédère aménagé avec vue sur les gorges, le viaduc du Chavanon, les monts d'Auvergne et du Cantal. Table d'orientation et tables de pique-nique.

La table d'orientation du Mont Audouze offre un panorama sur les volcans d'Auvergne, le Puy-de-Dôme, le Sancy, le Mont-Bessou et le plateau de l'Artense.

Le Puy d'Yssandon offre un panorama remarquable embrassant le Bassin de Brive, les Monédières, les Monts d'Auvergne, les Causses et les plateaux périgourdins, repérables grâce à la table d'orientation. Le plateau du sommet de la butte offre de multiples points de vue, on aperçoit également les vestiges de l'ancienne enceinte féodale. Le bas des versants est planté de noyers tandis que les parties abruptes sont colonisées par des chênes pubescents et des pins ; sur le versant sud et est, la forêt est moins dominatrice, elle laisse de grands espaces aux prairies, à la vigne, aux pruniers et aux noyers.

Accès par la D.20 puis la D.183 entre Neuvic et Liginiac. Le Puy de Manzagol domine le lac de la Triouzoune en face de Neuvic. De la table d'orientation, la vue plonge sur le pont de Pellachal, pour s'égarer plus loin à l'horizon des Monédières.

Accès par la D.21 entre Eygurande et Couffy-sur-Sarsonne. Table d'orientation sur le Puy du Vareyron dans le massif des Agriers, massif forestier de 600 hectares avec landes à bruyères. Collection d'une soixantaine de feuillus et de conifères plantés en 1982 sur 4 hectares. Point de vue sur le Limousin et les Monts d'Auvergne. Accès libre.

Vestiges d'une forteresse féodale (XIe et XIVe siècles), le site des Carbonnières est composé de deux tours carrées (la tour sud à vocation défensive et la tour nord à vocation résidentielle) et d'un village abandonné en 1951. Vous vous laisserez facilement embarquer par votre imagination dans ce décor et vous percerez peut-être le secret de la belle Catarina... La visite est libre et en autonomie grâce à un parcours balisé sur place d'environ 40mn (3.5km). C'est accessible en famille avec quelques dénivelés.

Turenne ne manque pas de panache avec la silhouette élancée de son donjon de calcaire, une avalanche de toits d’ardoises et de tourelles audacieuses. On reste baba devant la richesse du patrimoine : l’église et son retable en bois doré, les hôtels particuliers des 16 et 17èmes siècles, à admirer en suivant l’itinéraire fléché pour n’en rater aucun. Et bien-sûr le château, ou plutôt ses ruines imposantes : les remparts, le donjon du 13ème et la Tour César. D’en haut, le panorama est inoubliable !

Sur les derniers contreforts du Plateau de Millevaches, entre Sarsonne et Diège, Ussel, cité des Ventadour illustre bien le passé médiéval de la Corrèze. Églises et maisons des XVIe et XVIIe siècles. Église Saint-Martin avec choeur et chevet roman du XIIe siècle, chapelle des Pénitents bleus avec retable du XVIIIe siècles de Paul Delimosin. Maisons des XVIe et XVIIe siècles : résidence des Ducs de Ventadour, maison des prêtres communalistes (XVIIe siècle), tour Soubise (XIVe-XVe siècles). Côté loisirs, le centre touristique de Ponty avec son lac, la Station Sports Nature Haute-Corrèze, le centre équestre et un vaste réseau de sentiers de randonnée permettent la pratique de nombreuses activités.

L'origine de cette ville fortifiée, lovée dans un méandre de la Vézère, remonte à la nuit des temps. Les Gaulois déjà, habitaient Uzerche. Au Xe siècle, son monastère était tout puissant et son abbaye bénédictine rayonnante. L’abbatiale Saint-Pierre, reste un témoin majeur de l’art roman limousin avec son clocher octogonal typique. La cité hérissée de tours, truffée de passages voûtés, ornée de demeures semblables à de petits châteaux, forme un ensemble architectural remarquable et rare, d’où le proverbe « Qui a maison à Uzerche a château en Limousin ». La réhabilitation de la Papeterie a donné naissance à un pôle culturel d’exception, signé par l’architecte Jean Michel Wilmotte. Un espace entièrement dédié aux graffiti est devenu le temple corrézien du street art. Uzerche, surnommée la « Perle du Limousin » fait partie depuis 2010 des "100 Plus Beaux Détours de France".

Les ruines de l'ancienne église marquent l'emplacement d'un prieuré qui dut être autrefois un ermitage. Les vestiges montrent la structure d'une petite église romane composée d'une nef sur plan carré prolongée par une abside à trois pans. Elle est bordée, au nord, par un bas-côté terminé par une absidiole à trois pans et, au sud, par une sacristie.

Les Viaducs ferroviaires de Vignols sont au nombre de 7. Ils ont été construits entre 1873 et 1875. Leur construction a permis la 1ere liaison directe entre Brive et Limoges. De nombreux sentiers pédestres vous permettrons de les découvrir.

L'un des trois viaducs de l'A89 sur le canton d'Eygurande. Prouesse technique et esthétique, le viaduc du Chavanon a une longueur de 360m et surplombe la vallée sauvage du même nom. Trait d'union entre le Limousin (commune de Merlines) et l'Auvergne (commune de Messeix), il utilise une technique révolutionnaire unique en Europe : pont suspendu avec deux câbles axiaux et deux pylônes en V renversé de 70m de haut.

Le Vieux Pont appelé aussi "Pont des anglais" enjambe la Vézère au niveau d'un ancien passage à gué. Si la date de sa construction reste incertaine, ses caractéristiques apparaissent comme antérieures au 14 e siècle. D'une longueur de 45 mètres, il est composé de 4 arches épaisses alternées en amont par des avants bec en amandes et par des contreforts plats en aval. Classé Monuments Historique depuis 1969.

C'est sur une colline en rive gauche de la Vézère, que s'accrochent les maisons de cette charmante bourgade. L’abbatiale de Vigeois, érigée au XIIe siècle, présente une splendide série de chapiteaux sculptés d’un grand intérêt iconographique. Dans la cour de l'école, l'If millénaire est labellisé Arbre Remarquable de France. A 2km du bourg s'étend, sur 15 hectares, le lac de Pontcharal.