En 260 km, 12 à 14 jours de marche, ce Chemin vers Rocamadour et Saint-Jacques-de-Compostelle, vous permet de découvrir les paysages et le patrimoine de la Creuse, de la Haute-Vienne, de la Corrèze et du Lot. Vous passerez par des lieux réputés ( Bénévent, Eymoutiers, Treignac, Tulle, Aubazine, Collonges-la-Rouge, Martel et la Vallée de la Dordogne) mais aussi des lieux moins connus mais tout aussi beaux et authentiques. Il est surnommé par ceux qui l'ont fait "Chemin de Paix, de Sérénité et de Beautés". Vous pourrez emprunter les deux variantes : Eymoutiers - Chamberet - Treignac (35 km) et Turenne - Collonges la Rouge - Martel (27 km).
Le nouveau guide 2017 est en vente via le site internet et dans les librairies, magasins de sports, Cultura, Fnac… (Prix : 15 €). Après Rocamadour, il vous permet de rejoindre le chemin du Puy à la Romieu en 9 étapes ou Cahors en 3 étapes.
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263 km
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max. 842 m
min. 106 m
6515 m
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Accessibilité | ||||
Styles : À la campagneTerroir Publics : SportifsRandonneurs aguerris Thématique : Patrimoine |
La collégiale Saint Etienne est issue de nombreuses campagnes de restauration. D'emblée, le visiteur sera séduit par la complémentarité entre l'austérité architecturale et le raffinement des parties sculptées, qu'enrichit le remarquable ensemble de verrières ainsi que les décors peints. De l'époque romane subsistent une nef très sobre ainsi qu'un clocher porche occidental, caractéristique de l'architecture romane du Limousin. Les premiers embellissements gothiques portent sur la façade sud du XIIIème siècle. Un portail limousin gothique à frises de chapiteaux se déploie sur toute sa largeur. Plus exceptionnelle, la rose est sans doute la première en Limousin dont le réseau réponde à une stricte définition rayonnante.
Départ de visite toutes les 30 min, 14h, 14h 30, 15h, 15h 30, 16h. Séance sur réservation conseillée pour les individuels et groupes au 05 55 62 31 43, de 25 personnes max. A travers six salles, grâces à des techniques issues du théâtre et du cinéma, ce parcours-spectacle vous remplira d'émotion et vous en dira long sur la Creuse. Au cœur de chaque espace, entièrement reconstitués, un jeu de projections, d'images, de sons, de parfums, animent et content l'histoire de Marion, jeune paysanne de la fin du XIXème siècle : la vie des maçons creusois, un mariage à l'ancienne, le laboratoire du pharmacien, le secret des plantes servant à distiller La Bénéventine, élixir des moines de l'ancienne abbaye à la recette mystérieuse... Depuis cette année, René, le fils de Marion, de retour de la grande guerre, vous accueille... Compagnon, charpentier et pèlerin
L’Abbatiale a une situation privilégiée sur le Grand Chemin de Saint Jacques de Compostelle et les reliques de l’apôtre Saint Barthélémy ont assuré un enrichissement rapide au monastère édifié en ce lieu dès la première moitié du XI° Siècle. Destinée à transmettre à travers les siècles la pensée traditionnelle à la fois religieuse, philosophique et sociale de nos ancêtres, remarquable livre de pierres, l’église de Bénévent l’Abbaye a eu la chance d’être élevée par des Moines maçons, Compagnons tailleurs de pierre, Charpentiers ou Maçons initiés, qui possédaient au-delà d’une remarquable technique, la philosophie de l’architecture - ce qui explique l’importance de la symbolique – et du nombre d ’ Or - dans ce haut lieu du pèlerinage. Les Compagnons et Pèlerins ont laissé sur l’ église les marques du Chemin.
Site recensé à l'inventaire ZNIEFF (Zone Naturelle d'Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique) du fait de la présence d'une faune et d'une flore rares et protégées. Le fond tourbeux de Friaulouse est le seul fond riche en espèces et habitats des Monts de Saint Goussaud. La végétation présente est un élément particulier du paysage. Au fil des saisons, par leurs formes et leurs couleurs, les plantes de tourbières offrent une physionomie originale, dont le plus bel exemple est celui de la Narthécie, de la famille des liliacées, dont les fleurs apparaissent en juillet et colorent la tourbière d'un jaune très dense. A reconnaître également par les fins connaisseurs : les droséras à feuilles intermédiaires et rondes (protection nationale), les fougères des montagnes et à moustaches ou encore les linaigrettes engrainées.
Remaniée au XVème et XVII ème siècle. Clocher séparé, carré à l'extérieur et rond à l'intérieur. Enfeu du XVème siècle en arc brisé, creusé dans le mur extérieur, qui abrite un gisant. 'Vierge de Pitié', statut en pierre calcaire du XVème siècle.
Venez découvrir le 3ème site inscrit du département de la Creuse (protégé pour sa beauté paysagère depuis 1939), et son histoire originale : celle des premières expérimentations locales de production et de transport d'électricité jusqu'à Bourganeuf. Chute de 15m de haut. 1,1km aller-retour (environ 30 min). Uniquement accessible aux piétons (non accessible aux personnes à mobilité réduite : nombreux escaliers).
Vers l'an 1000, avant la création de l'étang, une enceinte protégeait une motte castrale dominant le site. Au XVème siècle, elle est remplacée par la tour carrée, tour-porte, qui est au centre du remaniement défensif de l'enceinte. Aux XVIIème-XVIIIème siècles, un bâtiment d'habitation s'est greffé à cette tour pour donner à l'édifice son aspect actuel.
Cette église, dédiée à Saint Martin, fut incendiée par les Brabançons en 1184 et reconstruite au XVème siècle. Plusieurs chapellenies et vicairies y furent fondées. Le portail sud paraît être du XIIIème, et celui du nord du XVème. A l'intérieur, rétable du XVIIème, anciennes boiseries, chapelle du XVème siècle, et voûte du XIIIème siècle. Elle est totalement restaurée en 1863 et le clocher est construit en 1893.
Eymoutiers, Ville-Porte du PNR de Millevaches, a intégré le réseau des Petites Cités de Caractère en décembre 2018. Le concept est né au milieu des années 1970 pour valoriser des communes atypiques, à la fois rurales par leur implantation, leur population limitée, et urbaines par leur histoire et leur patrimoine. Ces villes, au riche patrimoine, autrefois centres administratifs, politiques, religieux, commerciaux, militaires, etc, ont souvent vu leurs fonctions urbaines se réduire après les révolutions administratives et industrielles de la France. L’ambiance montagnarde et la taille de la ville pourraient laisser croire au visiteur pressé qu’il se trouve dans un gros bourg. Pourtant l’architecture de la ville où se lisent les multiples fonctions urbaines raconte une histoire qui est loin d’être banale.
Le village de l'Eglise aux Bois est situé sur la plateau de MIllevaches à la limite du département de la Haute-Vienne. Il abrite une petite église entourée en partie par son cimetière, l'ensemble se trouve au milieu des prés avec pour décors la forêt. Un baptistère en granit, une statue de Saint-Christophe du XIIème siècle, et une pietà du XVème siècle sont classés Monuments Historiques.
La commune est traversée par la Turgotière des le XVIIIème siècle. Cette route a été étable par Turgot (grand intendant du Limousin et Ministre des Finances de Louis XVI) afin de faciliter les échanges Est-Ouest. A découvrir : l'église dédiée à Saint Jean Baptiste.
Le Lac des Bariousses de Treignac (99ha) est la destination idéale pour s'accorder une journée de détente ou sportive, en famille ou entre amis. Sur place, vous trouverez une plage avec baignade surveillée, des tables de pique-nique, des jeux pour enfants, un terrain de volley, un boulodrome, un restaurant snack. Il vous est également possible de loger face au lac au sein d'un camping 3 étoiles. La plage est rendue accessible à tous grâce à son accès PMR (tapirail) et un fauteuil de baignade amphibie TIRALO®. Avec la Station Sports Nature Vézère-Monédières, louez votre canoë-kayak, votre stand-up paddle, votre pédalo ou votre barque de pêche électrique. Initiez-vous également à tous les types de sports nature. Garant d’une bonne qualité environnementale, le Pavillon Bleu est hissé sur la plage du lac des Bariousses.
Construite au XIIIème siècle, elle est contemporaine de la ville murée. Elle fut reconstruite en 1484, après le sac de Treignac par Rodrigue de Villandrando (1438). Il venait récupérer les 1000 écus que lui avait empruntés Jean de Comborn. Elle comporte actuellement douze piliers, deux piliers ont été abattus en 1910 en raison des embarras de circulation dans le quartier de Notre Dame de la Paix. La charpente est en châtaignier et elle est couverte en ardoises de Travassac. Sur la droite se trouve un appentis grillagé où étaient enfermés les poids et mesures.
Bâtie au pied des Monédières, dans les gorges de la Vézère, Treignac est une cité médiévale avec son pont du XIIIème siècle, ses église et chapelles, sa halle aux grains, sa tour panoramique du XVème siècle et ses maisons à colombages. Elle a obtenu le label "Petites Cités de Caractère" pour son patrimoine architectural et naturel. Cette reconnaissance au niveau national va lui permettre d'entrer dans la cour des grands et de sensibiliser les Treignacois et visiteurs à ce patrimoine exceptionnel et insolite. Le clocher tors de la Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix en est un illustre exemple. Etape appréciée des pèlerins de Compostelle en route sur la Voie de Rocamadour, elle est également réputée pour ses eaux vives qui en font un spot mondial de canoë-kayak (Championnats du monde en 2022).
Le village est situé au coeur du massif des Monédières et la Voie de Rocamadour. Ne manquez pas l'église Saint-Salvy et son clocher porche. C'est l'endroit idéal pour les amoureux de Sports Nature!!! A tester : le parapente, randonnées pédestres et équestres ...
Etang de 1 ha. Baignade surveillée en Juillet-Août.
Dotée d’une splendide porche gothique (inscrit aux Monuments Historiques en 1926), l’église St-Jacques le Majeur et St-Laurent possède des parties plus anciennes qui remonteraient aux XIIIème et XIVème Siècles. De nombreux objets y sont exposés : - deux vierges en pierre et calcaire polychromes datant de la fin du Moyen-Âge - un retable du XVIIème siècle en noyer doré et peint, sculptés par les frères Duhamel.
Etabli aux pieds des Monédières et bordé de forêts, ce charmant petit village bénéficie d'un cadre naturel exceptionnel et d'une certaine quiétude au cœur de la Corrèze. Les nombreux points de vue et promenades aux alentours, ses maisons anciennes et ses délicieuses spécialités locales offrent de jolies découvertes aux touristes.
En 1681, le curé de la paroisse commande un tabernacle ; mais, en 1684, l'ouvrage n'était toujours pas livré. Trois statues (le Christ en croix, St Augustin et St Roch), le grand cadre à torsades et feuillages et les têtes de chérubins, sont les éléments subsistant de ce retable commandé à Pierre Duhamel en 1681. Il est vraisemblable que des peintures ou sculptures aient entouré le Christ. Le retable du maître-autel sert de support aux trois imposantes statues en bois. Le tabernacle actuel, tout comme le retable lambris, sont de la fin du XVIII° siècle.
Reconstruite fin XIXème siècle (1894) après destruction pendant la Révolution. En 1489, une église antérieure est construite à l'emplacement d'une plus ancienne datant, peut être, des Templiers. Le portail gothique est le seul élément qui subsiste. Le presbytère, en contrebas de l'église, était autrefois relié à celle-ci par une passerelle en bois. En 1793, l'église est démolie toute entière, sauf le portail, le curé, prêtre réfractaire, est emprisonné et les messes sont dites en cachette dans les sous sol des granges. Le portail a une certaine analogie avec ceux de Chaumeil et d'Eyrein.
Ce tabernacle est en bois de noyer foncé, autrefois recouvert de peintures polychromes. Cette œuvre est attribuée aux frères DUHAMEL (Pierre et Julien). Elle provient du château de La Rochette situé dans la commune de Pandrignes (près de Marc-la-Tour (19)). Ce tabernacle aurait été, à l'origine, dans une petite chapelle du château. Négligée, cette chapelle tomba en ruine et les boiseries furent recueillies dans le salon du château.
Site plein de charme au coeur des Monédières.
Au bord de la Corrèze, à 5 minutes à pied du centre-bourg du même nom, se trouve la chapelle Notre-Dame du Pont du Salut. Bâtie une première fois au XVe siècle, les restaurations des XVIIIème et XIXème siècles l'ont profondément modifiée. Le sanctuaire est le but d'un pèlerinage le 8 septembre en l'honneur de la Vierge dont la chapelle abrite la statue. Une statue en pierre polychrome venue d'Espagne, qui est vénérée chaque année.
Réalisé entre 1692 et 1714, ce retable est l'oeuvre de Jean Tournié, maître sculpteur de Gourdon, dans le Lot. Il fut restauré pièce par pièce par le maître Karoutsos en 1988. Un travail qui dura 3 ans. Comme la plupart des retables du XVII° siècle, il obéit à un schéma de composition dû à l'architecture italienne du XVI° s : structure en trois parties à 2 étages, surmontée d'un couronnement s'inscrivant dans un triangle, les ailes latérales étant bordées de colonnes torses ornées de pampres. Saint Martial y est représenté aux côtés d'autres personnages comme Saint-Jean-Baptiste ou Saint-Pierre. A gauche de la partie médiane est également représentées une célèbre scène biblique : Saint-Georges terrassant le dragon.
Vestige le plus emblématique du passé médiéval de Corrèze, la porte Margot, datée du XVe siècle, témoigne du riche passé de la cité. Elle pourrait tenir son nom de Marguerite de France, surnommée "Reine Margot", 1ère épouse d'Henri IV, fille de Catherine de Médicis. Au centre, une statue de St-Martial, le patron de la cité, accueille le visiteur.
L'église Saint-Laurent de Bar est relativement récente puisque ouverte ouverte au culte en 1885. De style néo-roman, elle est bâtie en granite de la région avec une couverture d'ardoises. Des éléments du parvis comme un fût de colonne (XI-XIIème siècle) ainsi qu'un clé de voûte du XVème siècle proviennent de l'église de l'ancien bourg de Bar le Vieux.
Les reliefs tourmentés de Bar sont formés par la confluence de vallées profondes : la Corrèze, la Menaude et la Vimbelle. Elles entaillent les plateaux pour finalement se rejoindre aux limites les plus basses de la commune. De nombreux sentiers de randonnée vous permettrons de découvrir la beauté et la diversité des paysages. Ce sera l'occasion pour vous d'aller découvrir en dehors du bourg, le site religieux de Chastres. Cette charmante petite chapelle a été construite sur une excavation où l'on aurait découvert une statue de Notre Dame.
Le viaduc du Pays de Tulle se situe au nord de Tulle, sur les communes de Naves et de Les Angles sur Corrèze. Il s'agit d'un des ponts les plus hauts de France en terme de hauteur libre et de hauteur des piles. En béton précontraint, il a été construit selon la méthode de l'encorbellement successif et enjambe la vallée de la Corrèze sur une longueur de 854 m et à une hauteur de 150 m. Cet ouvrage est basé sur un tracé entièrement courbe sur un rayon de 1350 m. Ce principe de courbe procure à cette structure un mouvement d'ensemble ample et dynamique.
Naves est située au nord-ouest du plateau qui domine la vallée de la Corrèze. Implanté à un croisement de routes antiques, le bourg se développa dès le VIe siècle suite à l’abandon de l’ancien site gallo-romain dont les vestiges sont visibles à Tintignac. La petite église Saint-Pierre-ès-Liens, au centre du village, abrite un monument remarquable : le retable des frères Duhamel, célèbres sculpteurs corréziens, réalisé entre 1680 et 1704. Classé monument historique, il est un des témoins les plus prestigieux de l’art baroque en Limousin.
Cette œuvre magnifique (qui d'après les spécialistes n'a pas d'égale en France) fut commencée vers 1690 et terminée en 1704. Elle a été réalisée par les frères Duhamel, deux sculpteurs tullistes. Le retable est entièrement sculpté dans du noyer et mesure quatorze mètres de haut sur douze mètres de large. Les panneaux du retable représentent les épisodes de la vie de Saint Pierre, patron de l'église, et les grands mystères du Christianisme. Ainsi, 10 panneaux représentent la conversion du centurion Corneille et la vie de Saint Pierre, et au-dessus de l'autel on remarquera 4 panneaux dont le thème principal est la vie du Christ. Surmontant ces panneaux, se trouvent 4 statues. On reconnaîtra à gauche Saint Jérôme l'ermite, lui faisant face Saint Jean-Baptiste prêchant dans le désert et en façade nous trouvons Saint Pierre reconnaissable de par ses clefs et Saint Paul tenant une épée.
Tulle, préfecture de la Corrèze, a une âme pure et authentique. Son cœur bat dans le quartier médiéval de l’Enclos, un dédale de ruelles et d’escaliers courant entre les maisons hautes aux balcons de bois. A deux pas de la cathédrale, la Maison Loyac est un chef-d’œuvre architectural du XVIe siècle. Connue pour sa dentelle, Tulle est également la capitale de l'accordéon qu'elle célèbre tous les ans lors du festival des Nuits de Nacre.
Entre Tulle et Brive-la-Gaillarde, Cornil étale ses vertes collines boisées de chaque côté de la rivière Corrèze. Bâti sur un site préhistorique, centre actif au Moyen Âge (on y battait la monnaie sous les Mérovingiens), assiégé durant les guerres de religion puis terre de Résistance, Cornil a connu des siècles d’histoire. De ce riche passé, subsistent aujourd’hui deux vestiges en équilibre sur un escarpement rocheux : l’église romane et le donjon du château, qui telles des sentinelles, surveillent la vallée de la Corrèze.
Situé sur la D.48 à 2,5 km au nord-ouest d'Aubazine, le site du puy de Pauliac offre un remarquable panorama de la région, avec, au nord, les Monédières, à l'ouest, la vallée de la Corréze et, vers le sud, les Causses. A proximité, des mégalithes verticaux délimitent une parcelle circulaire. Un sentier, tracé à travers les bruyères et les bois de châtaigniers, amène au sommet où l'on découvre une table d'orientation qui offre une large vue.
Ouvrage d'art exceptionnel du XIIe siècle d'1.5 km, tantôt creusé dans la roche, tantôt construit en encorbellement par les moines cisterciens de l'abbaye, le canal des moines court à flanc de rocher depuis sa prise d'eau sur le ruisseau du Coyroux. Il desservait viviers et moulins et apportait l'eau courante au monastère. Plusieurs possibilités de balades : aller-retour le long du Canal (1h30) ou boucles de randonnées (3h). Départ des balades près du lavoir au niveau de la Route de Tulle. Attention : site interdit aux animaux, vélos, motos et poussettes. Site non accessible aux personnes à mobilité réduite. Chaussures de marche conseillées. Visites guidées en juillet-août.
Abbaye cistercienne du XIIème siècle classée monument historique. Découvrez son histoire et celle de son fondateur Etienne d'Obazine. Visites guidées du cloître et sa fontaine monolithique, terrasse avec la vue sur le vivier où arrive le canal des moines, du scriptorium et de la salle capitulaire avec leurs voûtes harmonieuses, de l'ancienne cuisine avec son imposante cheminée, du couloir du 1er étage ancien dortoir des moines. Visites guidées uniquement, aux jours et horaires de visites.
Visite guidée toute l'année sur réservation pour des groupes de 5 pers minimum. Tarif 2€/pers Durée 1h
Remarquable pour son abbaye cistercienne du 12ème siècle, Aubazine vaut aussi le détour pour ses ruelles pittoresques, ses maisons anciennes décorées de pierres provenant des bâtiments de l’abbaye, et le souvenir de Coco Chanel. C’est à l’orphelinat de l’abbaye d’Aubazine que la future «Mademoiselle», puisa une partie de son inspiration. La jeune Gabrielle Chanel y passa 6 ans, entre 1895 et 1901. Sa vie austère dans l’abbaye cistercienne lui donna le goût des vêtements aux lignes épurées, une prédilection pour le noir, le blanc et le beige. Quant au logo de la célèbre maison, il suffit de regarder les entrelacs des vitraux de l’abbaye pour voir d’où viennent les deux C entrelacés ! À suivre : le sentier du Canal des moines, ouvrage d’art exceptionnel du 12ème siècle destiné à alimenter en eau viviers et bâtiments conventuels, construit par les moines de l’abbaye.
A voir portail du 13ème siècle, bénitier du 12ème siècle, et cloche en bronze du 17ème siècle.
Cuve baptismale, piéta du 15ème siècle ... demandez la clé à la mairie (la mairie est ouverte tous les matins du lundi au vendredi, en après midi les mardi et vendredi)
Collonges-la-Rouge offre un spectacle original et insolite, tant par la flamboyance de ses pierres que par la richesse de son patrimoine. Rouge des grès et lauzes aux nuances ocrées, bleu-gris des ardoises, vert des vignes accrochées aux murs forment la palette d'une petite cité de rêve. A partir du XVIe s., Collonges est devenu le lieu de résidence des fonctionnaires de la Vicomté de Turenne et des juristes de la châtellenie, d'où la présence de nombreux castels et tours en poivrière. Au XIXe s., la cité tombant en léthargie, le maire de l'époque, Charles Ceyrac, la lancé l'idée des "plus beaux villages de France", Collonges étant le premier village labellisé ! Votre visite sera ponctuée par la découverte de l'église du XIe s. fortifiée au cours des guerres de religion, de la chapelle des pénitents du XIIIe s., du château de Vassinhac, de la halle, de la maison de la Sirène...
Eglise St-Pierre des XIe et XVe siècle. Clocher limousin, octogonal à base carrée, XIIe à XIe s. Portail avec tympan sur le thème de l'Ascension, milieu XIIe s. Chevet plat, XIIIe s. , collatéral nord, XIVe - XVe s. ; chapelles sud, XVe s., piétà en bois, XVe s.
Le musée de la noix où il y a à boire et à manger, à 5 minutes de Collonges-la-Rouge, dans un village plein de charme ! Le musée : Dans la belle salle voûtée, le CIAN (Cercle International des Amis de la Noix) et ses treize membres vous racontent, par le son et l’image, la merveilleuse histoire de la noix. Les salles suivantes conservent son mystérieux « trésor ». 1h de visite. Départ toutes les heures. Le coin bistro : pour satisfaire les petites faims à base de produits locaux. Un restaurant.
Eglise St-Jean-Baptiste, XIIe et XIVe s. Portail à tympan polychrome, sculpté sur le thème de l'Adoration des Mages. Trumeau torsadé avec scène de chasse ; narthex ; coupole sur pendentifs. Accès libre. Visites guidées sur demande pour les groupes assurées par l'Office de Tourisme vallée de la Dordogne.
Joli village perché sur sa crête. Belles demeures bourgeoises, château avec son donjon carré du XIIème et son corps de logis du XIIIème. L'Eglise romane Notre-Dame-de-l'Assomption date des XIIème et XIVème siècles.
Le moulin de Beyssac est construit sur le Vignon et date du XIIIème. La Voie de Rocamadour le longe.
Martel est au croisement d'un axe antique Nord-Sud croisant un axe Ouest-Est où transitaient le précieux sel de l’Atlantique et le vin d’Aquitaine. Cet emplacement privilégié suscite l’intérêt des puissants vicomtes de Turenne qui en font le siège d’une châtellenie et, dès le début du XIIe siècle une cité marchande enrichie par le négoce du sel. A découvrir : - l'église : élément du système défensif de la ville, l'église est une forteresse. Le clocher-porche une véritable tour de défense. Le chevet est surmonté de chambres de guet et sa baie est défendue par une bretèche. C’est une construction de style gothique méridional, nef unique bordée de chapelles qui date du XIVème, puis poursuivie à la fin XVème siècle. - la halle construite à la fin du XVIIIème siècle à l'emplacement de l'ancienne maison des consuls. Sa charpente en châtaignier est remarquable. On y trouve des "conques" ou anciennes mesures à grains. - le Palais de La Raymondie, ancien Palais de Justice de La Vicomté de Turenne. Actuellement Mairie et Office de Tourisme.
Ancien village de pêcheurs, Gluges et adossé à de grandes falaises. Certaines maisons et l'église primitive sont semi-troglodytes. La Voie de Rocamadour longe et passe sous ces immenses falaises qui bordent la Dordogne.
La Voie de Rocamadour traverse se village du XVIe . Très belles demeures le long de l'unique rue. La halle a été érigée en ...2007 par un particulier sur un terrain privé. Construite à l'ancienne avec des matériaux multi-centenaires, la charpente repose sur six piliers monolithes du XVIIe . Le gouffre Saint-Geroges est l'une des trois résurgences de la rivière de Padirac qui sortent à Montvalent. Le Gouffre de Padirac se trouve à 11km ! La vasque d'entrée fait 30m de diamètre et 30 m de profondeur. Les premières explorations datent de 1948.
Dominant le canyon de l'Alzou, la cité médiévale de Rocamadour est un miracle d’équilibre. Fin de La Voie de Rocamadour en Limousin et Haut-Quercy.
Un Chemin de Saint-Jacques
Tél. : 06 76 82 23 05
unchemindestjacques@gmail.com
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