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Cyclo' - La Grande Traversée du Jura

Cyclo' - La Grande Traversée du Jura
Crédit : GTJ

Description

L’itinéraire de cyclotourisme de la Grande Traversée des Montagnes du Jura a vu le jour en 2006.
Le parcours, accessible en train, totalise 365 km entre la ville de Montbéliard (Doubs) au nord et Culoz (Ain) au sud, en passant par : Morteau, Pontarlier, Mouthe, Morez et Bellegarde-sur-Valserine. Il traverse le Parc naturel régional du Haut-Jura.
Cet itinéraire propose également 3 variantes qui permettent de franchir un col ou de découvrir une curiosité des Montagnes du Jura.
Pour tout renseignement sur la totalité du parcours : www.gtj.asso.fr

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 31/08/2023
366 km
max. 1194 m
min. 233 m
4873 m
Style : Découverte
Public : Cyclistes
Thématique : Patrimoine

Profil altimétrique

Point de départ

25200 Montbéliard
Lat : 47.51007Lng : 6.80148

Points d'intérêt

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Châtelblanc

A voir : La croix de la Combille du XVIe siècle inscrit aux monuments historiques en 1989. Châtelblanc est le premier village du département du Doubs sur cet itinéraire.

20-22 grande Rue 25240 Châtelblanc
- Doubs Tourisme -
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Chaux-Neuve

A voir : - Le Parc polaire : ce n’est pas un zoo, ce n’est pas non plus une réserve, c’est simplement un parc animalier d’un genre étonnant et séduisant. Dans un paysage qui fait penser au Grand Nord, on ne reste pas derrière une clôture à contempler de loin les cerfs, les rennes, les yaks, les mouflons, les chamois, les aurochs, les daims, les bisons d’Europe, les chevaux tarpan... , on va à leur rencontre. Ici, la visite qui ressemble en certains endroits du domaine à une balade dans la nature, se fait obligatoirement en compagnie d’un guide. Une équipe de soigneurs passionnés vous fera découvrir l’histoire et les origines de ses protégés, une immersion totale dans l’intimité de la faune eurasienne dans ce parc où l’animal est roi, où la complicité entre les espèces fascine les petits comme les grands. - L'église Saint-Jacques de Chaux-Neuve consacrée le 19 mars 1487 par Mgr Henri Potin évêque de Philadelphie, suffragant de Mgr Charles de Neufchâtel, archevêque de Besançon . Agrandie au cours du temps, la dernière modification (la construction du clocher) date de 1686. Église remarquable par sa richesse et son architecture intérieure, elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historique depuis 1926, de nombreux meubles sont classés monuments historiques (6 retables, baptistère, panneaux bois peints des 2 côtés, chaire, statues de St Pierre en albâtre, de St Joseph en bois polychrome, calvaire en bois, banc des fidèles..). Toute voûtée d'ogive avec culots très décorés, elle possède une décoration héraldique importante et variée en particulier un magnifique blason des Habsbourg propriétaires de la Franche-Comté pendant deux siècles et plusieurs blasons des Chalon. - Le stade de saut de 5 tremplins (de débutants à 90 m) construit en 1989, remodelé en 1995. Ce stade accueille quasiment chaque année une épreuve de coupe du monde de combiné nordique. Le grand tremplin a été agrandi en 2010 avec un point HS (Hill Size) de 118 m et un point K de 108 m au lieu de 90 m (saut record de 123 m). C'est un site de ski nordique de la région Franche-Comté. La compétition de ski de fond, la Transjurassienne, part de Lamoura, dans le Jura pour rejoindre le village d'arrivée, Mouthe 76 km plus loin.

14 rue de la Grande Fontaine 25240 Chaux-Neuve
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Village de Reculfoz

c'est le village des ancêtres de Pasteur. Nicolas Pasteur fut le premier Pasteur connu, il habitait à Reculfoz. En 1741, une croix religieuse en pierre fut construite au centre du village, actuellement c'est le seul monument religieux de la commune.

4 quartier Saint-Jean 25240 Reculfoz
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Village de Rondefontaine

De la commune on jouit d'un point de vue panoramique sur la chaîne des Alpes ainsi que sur le lac de Remoray et sur le lac de Saint-Point.

2 rue du Crêt 25240 Rondefontaine
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Remoray-Boujeons

Remoray a donné son nom au lac de Remoray, situé au sud du lac de Saint-Point dans la vallée des deux lacs sur la commune de Labergement-Sainte-Marie. Ce lac fait partie de la réserve naturelle nationale du lac de Remoray. L'ancien presbytère de Remoray, restauré en 1835 par l'architecte Pompée, est en cours de conversion en maison du patrimoine. Il abrite un papier peint panoramique classé, datant des années 1830 et représentant l'histoire de Joseph. Le presbytère est bordé par un jardin de curé. Un tableau dans l'église représentant la nativité de la Vierge, datant sans doute de la fin du XVIIIe siècle, et dont l'auteur est resté anonyme, a pu s'inspirer d'une nativité de la Vierge du peintre espagnol Murillo, du XVIIe siècle, conservée au musée du Louvre. À noter également une statue de la Vierge à l'Enfant, sans doute du XVIIe siècle. Plusieurs blockhaus construits par les Français avant 1939 au titre de la ligne Maginot, secteur fortifié dit « du Jura », se trouvent encore sur le territoire de la commune

2-4 grande Rue 25160 Remoray-Boujeons
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Le lac de Remoray

Lac d'altitude (850 m) situé en plein cœur des hautes-chaînes du massif du Jura qui occupe 95 hectares. Le lac occupe le fond d'une cuvette d'origine glaciaire qui appartient au système synclinal crétacé Remoray - Saint-Point. Autrefois relié au lac de Saint-Point, il en a été séparé à la fin de la dernière époque glaciaire par un cône alluvial créé par le Doubs au débouché des Gorges du Fourpéret. Sa superficie totale est de 426,69 hectares.On y recense 227 espèces d'oiseaux (dont 9 protégées au niveau européen), 48 espèces de papillons, 40 espèces de libellules. A proximité : La Maison de la Réserve à Labergement-Sainte-Marie

Grange du Lac 25160 Labergement-Sainte-Marie
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La Maison de la Réserve

Passionnée par la faune, la flore et la gestion des milieux naturels, notre association protège, gère et fait connaître un espace d'une très grande richesse : la réserve naturelle du lac de Remoray à Labergement-Sainte-Marie. Centre d'accueil pour tout public, interprète et relais des précieux milieux naturels du Jura, la Maison de la Réserve naturelle du lac de Remoray est un miroir de notre région et des hommes qui la gèrent. Tel : 03 81 69 35 99 Site web : www.maisondelareserve.fr/ Temps de visite : 1h30. Tarif : 6.50 €

28 rue de Mouthe 25160 Labergement-Sainte-Marie
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Labergement-Sainte-Marie

Le village apparaît après la fondation de l'abbaye cistercienne de Mont-Sainte-Marie. En effet, afin de mettre leurs terres en valeur, les moines font appel à des colons, ou "abergeurs", bientôt regroupés au sein de plusieurs villages, parmi lesquels celui de Labergement, desservi par l'église de Saint-Théodule. En 1966, l'aménagement touristique est amorcé par la création d'une berge sur les marais, puis en 1981, la mise en réserve du lac de Remoray. A voir : - La fonderie de cloches Obertino : elle existe dans le village depuis 1834 environ et est spécialisée dans la fonte de cloches en bronze. - L'usine électrique et gorges du Fourpéret : - La chapelle Saint-Théodule : - La statue de la liberté (fontaine) : ce monument-fontaine, qui compte parmi les huit fontaines-abreuvoirs du village, est érigé lors de la séparation de l'Église et de l'État. - Saint-Théodule, statue de 1 m 50 de hauteur, dans la chapelle Saint-Théodule : de nombreuses œuvres sont consacrées à ce saint patron de la première paroisse du village, édifiée vers 1250

11 grande Rue 25160 Labergement-Sainte-Marie
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Le lac de Saint-Point

Le lac de Saint-Point est le 3ème lac naturel de France, long de 7 km et large d’1 km. Il est l’une des traces du passé glacière des montagnes du Jura. Situé entre pâturages et forêts de sapins, il est le hot spot des plaisirs de pêche et nautiques du Haut-Doubs.

67 Grande Rue 25160 Malbuisson
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Port-Titi

Port-Titi est un hameau au bord du lac avec quelques cabanons construits par des amis pêcheurs au début du XXe siècle. Ce petit port a conservé ses cabanes de pêcheurs au bord de l’eau. En prime, barque et tradition de la pêche sont toujours vivaces. En hiver, le lac peut complètement geler et devient une patinoire naturelle. En été, on peut bien sûr s'y baigner. Pourquoi ce nom ? C’est Maurice-Maire Sebille, dit « Titi » qui a donné son nom au hameau. Cet habitué de la pêche au brochet est le premier à avoir construit sa maisonnette de bois sur la berge, en 1902.

Rue Maurice Maire Sébille 25160 Les Grangettes
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Village de Oye-et-Pallet

A voir : - L'église paroissiale Saint-Nicolas, construite en 1712 sur les bases d'une église ancienne datée de 1494, et son superbe clocher-porche de 1749. Retable réalisé en 1716, comportant un tableau non signé représentant Saint-Nicolas.

10 rue de la Fauconnière 25160 Oye-et-Pallet
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Pontarlier

Centre commercial, industriel, culturel et touristique du haut-Doubs, Pontarlier, située à plus de 800 m d'altitude, est la deuxième ville la plus haute de France après Briançon. Elle connaît une renommée mondiale pour son absinthe (dont elle est la capitale), réintroduite depuis décembre 2001, mais aussi pour son apéritif anisé « Le Pontarlier ». Elle se situe sur l'itinéraire franco-suisse de la Route de l'absinthe. Elle fait également partie du réseau des Plus Beaux Détours de France. La ville possède plusieurs parcs fleuris (le Grand Cours, la place Clémenceau notamment) et des monuments, telles la porte Saint-Pierre (un arc de triomphe surmonté d'un « haut » clocher), la chapelle de l'Espérance, l'église Saint-Bénigne témoignant de l'histoire de Pontarlier durant le Moyen-Âge. Le château de Joux, situé à proximité, est l'un des hauts lieux de l'histoire féodale et militaire du haut-Doubs. A voir : - La porte Saint-Pierre de Pontarlier (XVIIIe siècle) - Le portail de l'ancienne chapelle des Annonciades (XVIIIe siècle) - La chapelle de l'Espérance, encore appelée chapelle Notre-Dame de l'Espérance. Petit édifice de 7 m sur 5, de style néogothique et due à l'architecte Louis Irénée Girod. Cette chapelle, dominant Pontarlier, est inaugurée sur le mont Molar en 1861, en remerciement à la Vierge Marie pour avoir épargné à la ville l'épidémie de choléra de 1854. Elle est surmontée d'une statue de la Vierge à l'enfant, sculptée par Favier, mise en place en 1862. Abattue par la foudre en 2005, une copie à l'identique est remise en place en 2009. - Le kiosque de musique du (XIXe siècle) à la magnifique architecture. - L'église Saint-Bénigne de Pontarlier (XVe siècle), avec ses vitraux créés en 1976 par le peintre français Alfred Manessier. - Le musée municipal de Pontarlier, place d'Arçon.

7 rue de Morteau 25300 Pontarlier
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Village d'Arçon

A voir : Le stade de biathlon Florence Baverel. Il est équipé d'une piste de 1200 m et d'un stand de 25 cibles. Figurant parmi les toutes meilleures tireuses sur le circuit de la Coupe du monde de biathlon, Florence Baverel, native de Pontarlier, remporte aux Jeux olympiques de 2006 à Turin le titre olympique du sprint, devenant la première biathlète française à devenir championne olympique en épreuve individuelle (la première médaille d'or olympique de l'histoire du biathlon français est revenue en 1992 à l'équipe de France féminine de relais). Quelques jours plus tard, elle obtient avec ses coéquipières de l'équipe de France une médaille de bronze.

3-5 grande Rue 25300 Arçon
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Montbenoît

A voir : - L’abbaye de Montbenoît, seul ensemble religieux de cette importance conservé dans le Doubs, fut fondée au XIIe siècle suite à la donation du territoire Sauget aux moines par les Sires de Joux. On découvre l’église, dont la sobre nef du XIIe siècle contraste avec le chœur du XVIe siècle couvert d’une voûte flamboyante et richement ornée dénotant l’influence de la Renaissance italienne, le cloître des XIIe et XVe siècles, mais aussi la cuisine voûtée avec son imposante cheminée, sans oublier le cachot ou les oubliettes ! Dans l’église, les 42 stalles en bois sculpté, toutes différentes, sont particulièrement remarquables. - Le Saugeais comprenant 11 communes du canton de Montbenoit, la République du Saugeais s’étend du village d’Arçon à Gilley et de la frontière suisse au village de Bugny. Montbenoit est la capitale politique, et Gilley la capitale économique. Histoire : Au XIIe siècle, afin de racheter ses fautes, Landry Sire de Joux fait don de ce territoire inculte recouvert de forêts à l’archevêque de Besançon. Ce dernier fait appel à des moines de Saint-Maurice en Valais (Suisse), ainsi qu’à des familles de Savoyards afin de défricher la contrée et construire l’Abbaye. Ces colons d’origines diverses apportent avec eux leur patois, leurs traditions… La rudesse du climat, le manque de voies de communication expliquent le début d’indépendance des onze villages du Saugeais naissant. En 1947, le Préfet du Doubs, en visite à Montbenoît, déjeune à l’Auberge de l’Abbaye, tenue à l’époque par M. et Mme Pourchet. Pour plaisanter sur le Saugeais, M. Pourchet demande au préfet s’il a son « laissez-passer » pour circuler dans la « République » du Saugeais. Le Préfet lui répond que s’il s’agit d’une République, il faut un Président et nomme M. Georges Pourchet, Président de la République libre du Saugeais !

Chemin des Sœurs 25650 Montbenoît
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Grand'Combe-Châteleu

Le village est surplombé par le mont Châteleu qui culmine à 1 302 m. Il s’étend dans deux combes, l’une traversée par le Doubs, l’autre par le Theverot torrent capricieux et par le légendaire Beugnon. Le Beugnon est un petit ruisseau qui prend sa source dans une ferme du bas de Grand'Combe-Châteleu et qui après avoir traversé une partie du village se jette dans le Theverot. La légende dit que celui qui boit au Beugnon perd la raison. Dans ce village rural, essentiellement agricole par le passé, de nombres fermes comtoises typiques (tuyés, ancien matériel agricole…) sont parsemées de part et d’autre du village et dans les hameaux environnants, surtout au quartier des Cordiers, où trois sont inscrites aux monuments historiques (ferme Jacquemot…). - L’Association des Arts et Traditions populaires a créé un écomusée : les Fermes-Musées du Pays Horloger qui présente au public l'atelier du forgeron Louis Girard (XVIIe siècle) et la ferme Jacquemot (XVIIIe siècle). Une taillanderie, encore en état, peut se visiter. Il existe encore plus d’une dizaine d’exploitations agricoles. Toutes les fontaines sont conservées en eau. - L'église Saint-Joseph. bâtie au lieu-dit Rossignier de 1674 à 1676 par Pierre Moyse et consacrée en 1679, le certificat de cette consécration par l'archevêque Antoine-Pierre de Grammont est conservé dans un étui en fer blanc. Son chœur fut organisé en 1736 et 1739.

32 le Beugnon 25570 Grand'Combe-Châteleu
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Morteau

Petite ville du haut-Doubs, nichée dans une vallée au cœur du massif du Jura, elle doit son développement notamment à l'industrie horlogère qui apparut dans la région à la fin du XVIIIe siècle. La ville est également connue pour sa gastronomie, symbolisée par sa spécialité de renommée nationale, la saucisse de Morteau. Morteau s'enorgueillit de deux très belles maisons : - Le château Pertusier fut construit en 1576. La maison et son parc furent acquis par la commune en 1935. Cette habitation reste un des rares témoignages de la Renaissance dans le haut-Doubs. Il abrite depuis 1985 le musée de l'horlogerie. - L'actuel hôtel de ville (inscrit aux monuments historiques en 1978) fut bâti en 1590 par les sieurs Fauche. Occupé par les officiers de Saxe-Weimar, il ne souffrit pas de la guerre et passa dans les mains des Bénédictins, puis dans celles des frères Roussel. La commune en fit l'acquisition en 1791. Il abrite aujourd'hui une partie des services municipaux et aussi le fameux Livre noir, précieusement conservé dans le bureau du maire. C'est en 1454 qu'un notaire de la ville consigna dans ce livre tous les documents relatifs au prieuré. Il a pour dimensions 30 × 22 × 6, sa couverture est formée par deux planchettes de bois recouvertes de cuir gaufré noir. Il contient 54 chartes concédées de 1188 à 1514, des lettres de franchises, des sentences, des arrêts et des conventions. Emmené en Suisse lors de l'invasion suédoise, il put être récupéré intact après la guerre. - L'église Notre Dame de l'Assomption qui date des XVe et XVIIe siècles, est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1926.

9 avenue Charles de Gaulle 25500 Morteau
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Villers-le-Lac

La ville doit sa renommée à la superbe cascade du saut du Doubs haute de 27 m. Site naturel classé de France dont il est le premier en Franche-Comté, il est le point de départ des bateaux croisières et des calèches pour visiter le site et découvrir les paysages du Haut-Doubs, ses fermes pittoresques. Au départ de Villers-le-Lac, les bateaux croisières vous permettent d'admirer les gorges du Doubs et de faire escale sur le site du saut du Doubs. Le musée de la montre ancienne propose une visite guidée et présente les grandes époques de cet indispensable compagne de l'homme, de ses origines en 1500 à nos jours : montres de poche prestigieuses, évolution de la montre-bracelet, porte-montres, clefs, outils, machines et outils reconstitués, animés par dix automates grandeur nature, ainsi qu'un film relatant la fabrication des montres.

5 Place Maxime Cupillard 25130 Villers-le-Lac
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Le Barboux

Le chanoine Joseph Rousselot (1785-1865), né au Barboux, fut doyen du Chapitre de la cathédrale de Grenoble. Il fut l’un des deux commissaires nommés par l’évêque de Grenoble pour effectuer l'enquête ayant conclu à l'authenticité des apparitions de La Salette. Il publia plusieurs livres pour défendre la véracité de ces apparitions.

Le Village 25210 Le Barboux
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Grand'Combe-des-Bois

Dans le clocher de l'église se trouve un sanctuaire dédié à Notre-Dame de La Salette. Il fut bénit le 28 juillet 1863 par le chanoine Joseph Rousselot (1785-1865), doyen du Chapitre de la cathédrale de Grenoble, un des deux commissaires chargés d'effectuer l'enquête ayant conclu à l'authenticité des apparitions de La Salette. En 1887 fut érigé à l'extérieur de l'église un chemin de croix pourvu de statues grandeur nature représentant les différentes scènes de l'apparition. Depuis lors, la petite Salette de Grand'Combe-des-Bois est un lieu de pèlerinage fréquenté par les fidèles de la région, en particulier le dimanche le plus proche du 19 septembre, date anniversaire des apparitions.

12 rue des Jonquilles 25210 Grand'Combe-des-Bois
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Fournet-Blancheroche

A voir : - La ferme des Louisots (XVe - XVIe siècles), au lieu-dit les Louisots, avec sa maison-forte, autrefois appelée le "carré de franchise" de la famille Bouhélier. - La chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours, au lieu-dit les Louisots. - La chapelle Notre-Dame-du-Sacré-Cœur, au lieu-dit la Rasse. - Chez Nobis, lieu de culte clandestin des prêtres réfractaires pendant la Révolution, situé dans la forêt, à 400 m de la route des Cerneux-Monnots . - L'église paroissiale Notre-Dame-des-Victoires (XIXe siècle). - La mairie-école (XIXe siècle). - Le belvédère des Philiberts. - Le pont de Biaufond. - Le barrage du Refrain. - Les Échelles de la Mort.

12 rue Ulysse Robert 25140 Fournet-Blancheroche
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Les Echelles de la mort

Les Échelles de la mort, haut lieu de la contrebande. Le site remarquable des Échelles de la mort, dans la vallée du Doubs à la frontière Suisse, témoigne de la pratique passée de la contrebande dans les montagnes du Jura. Ce site chargé d’histoire, enclavé dans la haute vallée du Doubs ou « Vallée de la Mort », témoigne de la crainte suscitée jadis par ces lieux peuplés de légendes, où de nombreux accidents mortels se produisaient à l’occasion de la « bricotte ». Pratique généralisée sur la frontière franco-helvétique aux XVIIIe et XIXe siècles, la contrebande était en effet une activité lucrative. Dans ce site impressionnant, on peut encore gravir les échelles qui permettaient aux contrebandiers de transporter à dos d’homme diverses marchandises (farine, sucre, café, tabac, etc.) en déjouant la surveillance des « gabelous » (douaniers). La via ferrata des Échelles de la mort a ouvert fin juin 2008. Accès au sentier depuis le parking du barrage du refrain ou par le sentier débutant du parking de l'hôtel restaurant du Bois de la Biche, à Charquemont.

1012 Mortier 25140 Charquemont
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Charquemont

Charquemont est connu pour son économie liée à l'horlogerie. La plupart des emplois qu'occupent les habitants du plateau de Maîche se font dans l'horlogerie, soit en France dans les industries restantes, soit en Suisse. Une grande partie des travailleurs horlogers sont donc frontaliers. A voir : - Les échelles de la mort - Le barrage du refrain - La combe Saint-Pierre.

27 grande Rue 25140 Charquemont
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Village de Trévillers

A voir : - Les étangs du Bois du Roy. - La chapelle Notre-Dame-du-Mont-Carmel. - Le monument aux morts.

1 rue de la Poste 25470 Trévillers
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Village de Soulce-Cernay

C'est l'eau salée (aqua salsa) qui a donné son nom à la localité de Soulce Butunsulza en 1136.

D437C 25190 Soulce-Cernay
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Saint-Hippolyte

C'est dans cette ville que le Dessoubre se joint au Doubs. Mais ce qui fait sans nul doute l’originalité de Saint-Hippolyte est son église qui a accueilli durant trente quatre années le linceul qui enveloppa la dépouille mortelle du Christ : le célèbre Saint-Suaire. Ce drap, aujourd’hui exposé à la chapelle royale de Turin en Italie fut déposé et vénéré ici de 1418 à 1452. Chaque année, pour la fête de Pâques, une procession était organisée sur le champ de foire sur les bords du Doubs pour que les pèlerins puissent venir se recueillir devant la célèbre relique.

4 rue des Granges 25190 Saint-Hippolyte
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La chapelle du Mont

Sur les hauteurs de la ville, la chapelle Notre-Dame du Mont semble veiller sur les habitats de Saint-Hippolyte. Et cette croyance explique sans doute pourquoi tant de paroissiens lui rendent hommage à l’occasion de la fête de l’Assomption le 15 août. Cette chapelle, surplombant la ville, est en effet un lieu de vénération à la Vierge depuis plus de cinq siècles. Le nombre de pèlerins ne fit qu’augmenter au fil des siècles. Les habitants de Saint-Hippolyte, en accord avec les chanoines, construisirent d’abord un oratoire à l’emplacement de la chapelle actuelle. Une vénération décuplée quand, en 1595, des mercenaires dévastant la Franche-Comté furent noyés dans un épais brouillard en essayant d’attaquer la ville. Entendant beaucoup de bruit en contrebas, ils la crurent bien défendue. Les habitants de Saint-Hippolyte attribuèrent leur sauvegarde à Notre-Dame du Mont, ce qui accrut leur reconnaissance. On comptait même plus de dix mille fidèles au lendemain de la guerre de 1870. Cette chapelle est lieu de culte certes mais aussi de promenade : on domine la ville en découvrant les vallées du Doubs et du Dessoubre, les deux rivières qui se rejoignent au confluent, au pied de l’église. Autant de lieux sur lesquels on peut avoir une vue panoramique depuis la chapelle qui a donné son nom à la nouvelle paroisse. Elle est ouverte tous les jours de 9h à 18h.

Chemin de la Chapelle 25190 Saint-Hippolyte
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Village de Montécheroux

Célèbre, dans le monde, pour la qualité des pinces qui y étaient fabriquées, Montécheroux a compté jusqu'à 200 ouvriers répartis dans 15 ateliers. Il reste, aujourd'hui, un atelier de fabrication A voir : - Le musée de la Pince.

13 rue du Lomont 25190 Montécheroux
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Village de Blamont

Le marquis de Sade y situe une partie de l'action de son roman Aline et Valcour.

1 impasse des Violettes 25310 Blamont
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Audincourt

A voir : - L'église du Sacré-Cœur date de 1951 et est dotée d'une architecture moderne. Elle a été conçue par l'abbé Prenel avec l'aide de ses fidèles. Jean Bazaine y a réalisé la fresque de l'entrée et le baptistère et Fernand Léger la tapisserie de l'autel et les 17 vitraux de la nef.. - L'Église Notre-Dame de l'Immaculée Conception est l'une des premières églises construites en béton armé de France. Construite en 1932 d'après les plans du moine architecte dom Paul Bellot (1876-1943), elle abrite de lumineux vitraux réalisés par Valentine Reyre, créant des jeux d'ombre et de lumière. - Le château Peugeot héberge aujourd'hui le Centre régional d'éveil aux arts plastiques et à la bande dessinée. - Le château Thévenot est l'une des belles demeures à avoir survécu à la Révolution. Il abrite aujourd'hui une bibliothèque.

1B rue de Seloncourt 25400 Audincourt
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Montbéliard

La ville fit partie du Saint-Empire romain germanique et forma le cœur du comté puis de la principauté de Montbéliard (Grafschaft Mömpelgard) fondé par l'empereur Henri III du Saint-Empire. A voir : - Le château des ducs de Wurtemberg - Le musée Cuvier ou musée d'archéologie et d'histoire naturelle de Montbéliard du Château de Montbéliard - Le musée du Château des ducs de Wurtemberg et le musée Beurnier-Rossel présentent les aspects les plus intéressants de l'histoire de l'art propre au comté de Montbéliard. Ces musées présentent entre autres un aperçu des meubles de « style Montbéliard », d'une architecture unique en son genre qui reflète toute l'histoire du Pays et quelques meubles signés Couleru, célèbre ébéniste et enfant du pays. Une exceptionnelle collection (collection Jouffroy) de meubles de ce style est également visible au musée du château de Belvoir. - Le temple Saint-Martin - Le temple Saint-Georges - Le Près-La-Rose : grand parc arboré de 10 hectares et fleuri (+ de 100 variétés) où l'on peut se promener et flâner sur les bords de l'Allan ou se perdre dans le labyrinthe végétal. - Le Pavillon des Sciences (Centre de culture scientifique, technique et industrielle), exposition et parc de jeux pour petits. Le parc accueille également une méridienne géante ainsi que plusieurs cadrans solaires.

5 rue du Port 25200 Montbéliard
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83 rue de dole 25000 Besançon France

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