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Reculée et grotte de Corveissiat

Grotte de Corveissiat
Grotte et reculée de Corveissiat
Grotte de Corveissiat
Grotte de Corveissiat
Grotte de Corveissiat
Grotte de Corveissiat
Grotte et reculée de Corveissiat
Grotte et reculée de Corveissiat
Grotte et reculée de Corveissiat
Grotte et reculée de Corveissiat

Description

Emblématique des montagnes du Jura, les reculées sont des mondes à part. Partir sur ce sentier et aboutir face à face avec cet imposant porche est toujours spectaculaire ou longer ce torrent jusqu'à la rivière d'Ain au milieu de la mousse reste magique.

Site classé au titre des paysages
Espace Naturel Sensible de l'Ain - ENS

Distance de 6 km
Temps : 1h30 - Dénivelé : 200 m - Balisage : Jaune
Parcours : Descendre. En bas, à droite pour le porche de la grotte Quitter le site par escaliers. Descente jusqu’à la passerelle (cascades et falaises), la traverser et rejoindre l’ain (0h20) . Après la montée à gauche jusqu’au croisement, à droite pour le retour.

Grotte :
La grotte se visite sur rdv pour les groupes ou les mercredis de l'été lors des visites guidées de l'association gestionnaire (Agek)

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 20/12/2023
6 km
1 h 30 mn
max. 407 m
min. 288 m
200 m
Styles : RandonnéeBaladeÀ la campagneInsoliteMontagne
Publics : FamilleRandonneurs occasionnelsScolaire
Thématiques : CulturelPatrimoine

Profil altimétrique

Point de départ

Départ au parking du belvédère route de Thoirette , 01250 Corveissiat
Lat : 46.238263Lng : 5.486813

Points d'intérêt

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Belvédères de Chatillon - Corveissiat

Deux Magnifiques point de vue sur la vallée de l'Ain et la reculée de la Balme. Accès pedrestre uniquement - Suivre le circuits n°80. Depuis le stade de Corveissiat ou la ferme des Combettes

Chemin des sports 01250 Corveissiat
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Rivière d'Ain, ENS de l'Ain

L'Ain est une rivière qui prend sa source (une exsurgence karstique) en Franche-Comté, dans une vallée étroite et boisée, et se jette dans le Rhône après avoir parcouru 189,9 km1. Elle a donné son nom au département de l'Ain.La rivière d’Ain, de son ancien nom « Igneus » prend sa source dans le Jura et déroule ses méandres jusqu’au Rhône. Son cours sinueux et profond a été assagi et élargi par les retenues des usines hydroélectriques. L’Ain, frontière naturelle entre les hauts plateaux et les premiers chaînons du Jura, a longtemps été difficile à franchir ; peu de ponts résistaient à ses caprices et quelques bacs la franchissaient. Elle servit au flottage des bois (sur des radeaux de grumes de bois attachées « les Navoys ») et au transport des marchandises vers Lyon. Site exceptionnel sur le plan paysager, les berges de l’Ain dessinent un ensemble discontinu de hautes falaises. Haut lieu pour l’escalade et le parapente, ces corniches calcaires constituent aussi un refuge pour les oiseaux rupestres. Empruntez ces routes captivantes qui serpentent le long de la rivière, soit en haut des falaises, soit en fond de vallée. Profitez des points de vue, des barrages, des ponts, des cascades et de la proximité de l’eau. Toute la partie haute de la rivière d'Ain bénéficie du label ENS du Département de l'Ain depuis 2019. La Rivière d’Ain au niveau de Corveissiat a été labellisé "ENS" par le Département de l'Ain dès 2015 avec la grotte et la reculée. Véritables joyaux naturels et paysagers du Département de l'Ain, les sites bénéficiant du label ENS « Espaces naturels sensibles » sont gérés de manière à préserver la biodiversité qu’ils accueillent et aménagés pour l’ouverture au public (sauf exception due la fragilité des milieux).

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Barrage de Cize-Bolozon

La centrale hydro-électrique de Cize-Bolozon construite sur l'Ain entre 1928 et 1931, était prévu pour l'alimentation des usines du Creusot et de Decize, le surplus pour les compagnies qui fournissait Gueugnon, Bourges, Dijon, Lyon.À l'époque de la construction du barrage de Cize-Bolozon, les sociétés d'électricité avaient chacune leurs usines, leurs lignes électriques et leurs clients. La centrale hydro-électrique de Cize-Bolozon construite sur l'Ain entre 1928 et 1931 par la société "l'Energie Electrique Rhône-Jura" était prévu pour améliorer l'alimentation des usines métallurgiques du Creusot et des houillères de Decize, le surplus étant revendu à la "Compagnie Bourguignonne de Transport d'Energie" qui fournissait Gueugnon, Bourges, Dijon, Lyon et voulait renforcer ses débouchés vers la région parisienne. Cette usine était la plus importante de la vallée de l'Ain. Actuellement sa production, comme celle de la plupart des autres usines de la vallée s'en va sur le réseau régional 63 000 V. La construction du barrage à travers une rivière aussi capricieuse qu'était l'Ain à l'époque n'a été rendue possible que par la confection d'enceintes circulaires en palplanches. Les crues nombreuses et exceptionnellement violentes du printemps et de l'été 1930 ont à plusieurs reprises noyé le chantier, mais la pugnacité des hommes a vaincu les déchaînements de la nature. Avec ses superstructures, le barrage est typique des constructions de cette époque. Sa disposition était rendue nécessaire par le type de vannes plates de 60 tonnes roulant sur des trains de chenilles, appelées vannes "Stoney". La grue imposante, aujourd'hui déclassée, est utilisée pour mettre en place les batardeaux de béton stockés près du pont et que l'on place les uns sur les autres pour former une espèce de barrage voûte devant les vannes que l'on veut réparer et qui peuvent ainsi être mise "hors d'eau". Cette grue a aussi quelquefois servi à transborder des marchandises ou de petits bateaux de part et d'autre du barrage, puisque l'Ain était navigable à l'époque

Chalour 01250 Corveissiat
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Belvédère de la Tête Beguine (Chartreuse de Sélignac)

Depuis 1211 et jusqu’en 2001, des moines vécurent à Sélignac. Depuis la tête Béguine et les ruines du Château d’Arnans, deux panoramas sur la Chartreuse de Sélignac. Accès pédestre depuis le hameau d'Arnans.Dans un vallon entre Simandre et Corveissiat siège cette noble bâtisse. On la doit aux seigneurs de Coligny, qui avant de partir en croisade (vers 1200) soucieux de leur salut, donnent des terres pour construire une chartreuse. Respectez les lieux. Accès privé.

Arnans 01250 Corveissiat
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Belvédères de la chapelle de Saint Maurice d'Echazeaux

Chapelle gothique du 14e siècle au toit de pierre. Du haut de la falaise, on jouit, à plus de 250 mètres, d’un panorama sur le château de Conflans (13e) qui gardait autrefois la frontière comtoise, et sur le confluent de l’Ain et de la Valouse.Depuis la chapelle, partez à la recherche des ruines du château de Mont Didier du 13e siècle en cours de fouilles par des archéologues. Panorama remarquable. (Prudence recommandée) A proximité : Château de Conflans (propriété privée) flanqué sur un mamelon au confluant de la rivière d’Ain et de la Valouze.

St Maurice d'Echazeaux 01250 Corveissiat
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Castrum de Montdidier

Vestiges du village disparu en 1936 et du château du 12e siècle des sires de Coligny, ancien castrum surplombant la vallée de l’Ain et le passage de Thoirette.Le château de Mont Didier a été construit, entre le Xe et le XIIe siècle pour les sires de Coligny, dans le massif du Revermont. La première mention du « castrum Montis Dideri » date du XIIe siècle. Vraisemblablement ancien site fortifié gaulois lors de l’âge du fer, Montdidier s’est ensuite mué en château féodal au cours du Moyen Age. Il fut assiégé, pris et détruit, à deux reprises au moins, pendant les guerres qui opposèrent la Savoie au Dauphiné (1282/1355). Siège d’un pouvoir local important, le Château va connaître son apogée sous la domination des ducs de Savoie au XVe siècle. Jouxtant le comté de Bourgogne, il fut saccagé par les troupes de Louis XI (1479/1480). En plein coeur de l’Europe médiévale, l’édifice a été l’enjeu de luttes séculaires entre la France, la Bourgogne, la Savoie et le St Empire Romain Germanique qui s’affrontaient pour la domination territoriale. Ces enjeux frontaliers sont d’ailleurs la cause de la chute du château, il fut définitivement détruit par les hommes de Biron et de Henri IV en 1595. Il en reste les vestiges des courtines ouest ainsi que de la haute-tour, le donjon. (accès pédestre / Point de vue) Accès depuis la chapelle de St Maurice d'Echazeaux (Ain) ou le parking de Marsonna (Jura)

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Château d'Arnans

Construit sur un rocher qui domine la Chartreuse de Sélignac de près de 200 m. Panorama sur la Chartreuse de Sélignac. Aujourd'hui il ne reste plus que quelques pierres et des morceaux de tuiles. Accès pédestre uniquement depuis Arnans.

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Château de Conflans

Il domine le confluant de l'Ain et de la Valouse. Il aurait été édifié au 13e par Renaud de Bourgogne. Il fut un poste frontière entre Comté et le duché de Savoie. (privé) Pont de Thoirette, passage antique sur l'Ain surplombé par deux chateâuxRoche de Thoire Les Thoires grands souverains construisirent leur château au dessous de Thoirette, lieu de passage et de péage antique. Ils sont à l'origine de la famille de Thoire-Villars rayonnant sur une grande partie de la vallée de l'Ain et de la Dombes. En 1400, ils vendent une partie de leurs biens (Bresse, Bugey) au comte de Savoie. Pont de Thoirette Pendant plusieurs siècles, on traversa l'Ain à l'aide d'un bac, dit le bac de Christouphe. Ce n'est qu'en 1829 que fut construit un pont en (fil de) fer qui s'écroula en 1843. Un nouveau pont le remplacera légèrement décalé du 1er.

Conflans 01250 Corveissiat
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Fontaine-Noire, ENS de l'Ain

En rive droite de l'Ain, dans un méandre caractéristique, entre les villages de Corveissiat et de Bolozon, magnifique site en bordure de la rivière. Des eaux d'une couleur impréssionante en forte eau. Accès pedestre depuis le viaduc de Cize.Depuis le viaduc, longez la rivière d'Ain et ses cabanes de pêcheurs. A côté d'une petite cabane en pierre à deux pas de l'eau, on découvre ce petit ruisseau qui sort de la roche pour rejoindre l'Ain. La "fontaine Noire" fait partie de l'ENS Haute vallée de l'Ain labellisé "ENS" par le Département de l'Ain en 2019. Véritables joyaux naturels et paysagers du Département de l'Ain, les sites bénéficiant du label ENS « Espaces naturels sensibles » sont gérés de manière à préserver la biodiversité qu’ils accueillent et aménagés pour l’ouverture au public (sauf exception due la fragilité des milieux). Spéléologie : Lors d'une prospection des rives de l'Ain en 1976 la cavité est découverte par les spéléologues. Robert Durand et Jean-Louis Fantoli explorent 402m de conduits noyés jusqu'à une laminoir étroit. Le 05/06/1977, une opération interclub (Daniel Andrès, O.Bigot, Jean-Louis Fantoli et Pierre Licheron) permet de trouver la suite dans le siphon et de déboucher dans une galerie exondée terminée par une trémie. La cavité se compose principalement de deux parties, caractérisées par l'existence d'une branche siphonnante à l'aval du trajet souterrain et d'une partie semi-active à l'amont. La vasque d'entrée plonge à -3 jusqu'au départ de la galerie. Après un point bas à -7, le couloir noyé (2,5 x 5m de section), au plancher et au plafond étonnement plans et lisses, remonte au bout d'une cinquantaine de mètres dans une salle d'effondrement, exondée en partie à l'étiage. De gros blocs et dalles de rocher entravent le passage et d'épais dépôts argileux tapissent à cet endroit le sol et les parois. En amont, le conduit s'immerge totalement et plonge à -10m. Tout au long du parcours, des stalagmites et stalactites attestent d'une phase exondée de la cavité, et demeurent une des curiosités maîtresse de la Fontaine. A 170m de l'entrée, un puits de 2m de diamètre est taillé à l'emporte-pièce au beau milieu de la galerie, qui se prolonge par un laminoir de 30m de long. Le puits donne accès à -20 à une galerie basse reliée également au laminoir par une cheminée de 8m. Des lames d'érosions hérissent le conduit jusqu'à la cote 280m, dans une salle à -18. Deux options se présentent : - au fond de la salle, en hauteur, un laminoir à -10m exhale un courant perceptible. - A l'ouest, une haute diaclase recoupant perpendiculairement l'axe de la salle, débouche à l'air libre en s'y refermant. A mi-hauteur, à -5, une galerie se prolonge sur une cinquantaine de mètres jusqu'à l'air libre, à 350m de l'entrée. La galerie exondée s'oriente vers le nord durant 284m. Les eaux de trop-plein de la circulation sous-jacente y circulent. Elle se développe sur un joint de strate (4 x 1,5m), recoupée par de nombreuses fractures perpendiculaires. Un redan de 6m précède un lac baignant en son extrémité une trémie impénétrable. Température de l'eau : 10°C.

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Lac de Conflans

Ce lac se trouve au confluent de l'Ain et de la Valouse. C'est un site magnifique, au pied du château médiéval de Conflans et qui est très apprécié par les pêcheurs et les randonneurs20 ha, la "perle des perles" alimenté par la Vallouse il se jette directement dans la rivière d'Ain. Au pied d'une Maison forte, vous traquerez sandre, perche et black-bass dans des roselières et autres arbres inondés. Ce lac qui se trouve au confluent de l'Ain et de la Valouse, se trouve également à la frontière de l'Ain par rapport au Jura. C'est un beau site juste à coté du chateau médiéval de Conflans (sur la droite de la photo), près de Thoirette. Un sentier part de Conflans pour avoir ce superbe point de vue..., une fois en haut la Chapelle d'Echazeaux est également à visiter

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Point de vue des ruines de Montdidier

Vestiges du village disparu en 1936 et du château du 12e siècle des sires de Coligny, ancien castrum surplombant la vallée de l’Ain et le passage de Thoirette. Magnifique point de vue sur l'Ain (falaise à pic)L'ancienne forteresse de Montdidier a été construite entre le Xe et le XIIe siècle entre les actuels départements de l'Ain et du Jura, dans le massif du Revermont. La première mention du château date du XIIe siècle : le castrum montis dideri. Sans doute ancien site fortifié gaulois lors de l'âge du fer, Montdidier s'est ensuite mué en château féodal au cours du Moyen Age. Siège d'un pouvoir local important, le château va connaître son apogée sous la domination des ducs de Savoie au XVe siècle. En plein coeur de l'Europe médiévale, le fort a été l'enjeu de luttes séculaires entre la France, la Bourgogne, la Savoie et le Saint Empire Romain Germanique qui s'affrontaient alors pour la domination territoriale. Ces enjeux frontaliers sont d'ailleurs la cause directe de la chute du château au milieu du XVIe siècle. Quant au village de Montdidier, celui-ci sera réinvesti au milieu du XIXe siècle et ce, jusqu'à la seconde guerre mondiale. Accès pédestre depuis la RD.86 (croisement de Marsonna) ou depuis St Maurice d'Echazeaux

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Pont de Thoirette

Pendant plusieurs siècles, on traversa l'Ain à l'aide d'un bac, dit le bac de Christouphe. Ce n'est qu'en 1829 que fut construit un pont en (fil de) fer qui s'écroula en 1843. Un nouveau pont le remplacera légèrement décalé du 1er.Roche de Thoire Les Thoires grands souverains construisirent leur château au dessous de Thoirette, lieu de passage et de péage antique. Ils sont à l'origine de la famille de Thoire-Villars rayonnant sur une grande partie de la vallée de l'Ain et de la Dombes. En 1400, ils vendent une partie de leurs biens (Bresse, Bugey) au comte de Savoie. Thoirette : Thoirette faisait partie du mandement de Montdidier. En revanche le territoire était scindé en plusieurs fiefs sans justices. Ces derniers appartenanient aux grande familles noble de la région comme celle de la Balme, de Dortans, de Cornod, de Vaugrineuse. En 1196 Etienne Ier de Thoire (vers 1178 –1235) épouse Agnès de Villars. Aux terres du Bugey, entre autres Cerdon, Montréal, Arbent, Matafelon, Beauregard, Belvoir des Thoire s’ajoutent une grande partie de la Bresse avec les terres dombistes des Villars qui comprenaient les seigneuries de Villars, du Châtelard, d'Ambérieux-en-Dombes et de Trévoux. Entre 1790 et 1794, Thoirette absorbe la commune éphémère de Méligna.

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Informations complémentaires

Période d'ouverture

Toute l'année.
Fermeture de la passerelle jusqu'à nouvel ordre
(Travaux à réaliser).

Mis à jour par

Bourg-en-Bresse Destinations - Office de tourisme - 19/12/2023
www.bourgenbressedestinations.fr
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