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"La villageoise" : de calades en portails

"La villageoise" : de calades en portails
"La villageoise" : de calades en portails
"La villageoise" : de calades en portails

Description

La commune d’Ibos couvre une superficie de 3288 ha, soit le double de celle de Tarbes. Au Moyen Age, Ibos est, avec Bagnères de Bigorre, Lourdes, Tarbes, Rabastens et Vic, l’une des agglomérations les plus importantes de la province de Bigorre. Sa situation dans une vaste plaine au contact du piémont et du Béarn voisin a permis à Ibos de se développer sur le plan économique et politique. Ibos compte 254 maisons ou feux en 1313 et déjà 1660 habitants à la veille de la Révolution.
La riche architecture bigourdane du village, remontant pour l’essentiel aux XVIII° et XIX° siècles, témoignent de ce passé florissant. Nombreuses sont les habitations dotées d’un grand portail sur la rue et d’une cour pavée de galets autour de laquelle sont distribuées les dépendances.

Actuellement, Ibos compte 3050 habitants. Outre deux zones d’activités importantes, Eurocampus Pyrénées (au rond-point de l’autoroute A64) et le parc d’activités Maye Lanne, Ibos a aussi sur son territoire la zone commerciale la plus importante du secteur : Le Méridien, ainsi nommé en raison du Méridien de Greenwich qui traverse la commune.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 30/06/2022
1.6 km
1 h
max. 321 m
min. 318 m

Accessibilité

Styles : BaladeDécouverteÀ la campagne
Publics : FamillePersonnes âgéesAdolescentsAccessible avec landeau/poussette
Thématiques : CulturelPatrimoineHistoriqueReligieux

Profil altimétrique

Point de départ

1bis Place de Verdun , 65420 Ibos
Lat : 43.23309Lng : 0.00111

Points d'intérêt

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La croix hosannière

La croix des Missions, dite hosannière, mise en place en 1848 et restaurée en 2008, est le symbole chrétien de la Passion du Christ. On y trouve : - Le coq symbole du reniement de l’apôtre Pierre - Le calice portant le monogramme IHS (Iesus Hominum Salvator = Jésus sauveur des hommes) - L’inscription apposée par Pilate sur la croix INRI (Iesus Nazarenus Rex Iudaerum = Jésus de Nazareth roi des juifs) - Le voile de Véronique portant l’empreinte du visage du Christ - La couronne d’épines entourant un cœur enflammé symbole de l’amour du Christ mort pour sauver les hommes - Le soleil rappelant que le soleil s’est voilé à l’instant même de la mort de Jésus, et la lune pour l’éclipse qui s’ensuivit. - La bourse contenant 30 pièces d’argent remises à Judas pour prix de sa trahison. - Le marteau, les trois clous de la crucifixion et les tenailles de la descente de croix - La main du garde qui gifla Jésus - La tunique de Jésus, les dés avec lesquels les soldats romains la tirèrent au sort - L’échelle pour descendre le corps du supplicié - Le glaive avec lequel Pierre trancha l’oreille du serviteur du grand prêtre ; la lance ayant transpercé le flanc de Jésus pour s’assurer de sa mort ; la branche d’hysope portant, fixée à son extrémité, l’éponge de vinaigre destinée à humecter les lèvres du crucifié - La corde avec laquelle Judas s’est pendu Sur la branche gauche de la croix, à côté de la main, a disparu l’aiguière avec laquelle Ponce Pilate se lava les mains. Source : Ginette Gaye

1bis Place de Verdun 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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La Collégiale Saint-Laurent

L’histoire de la Collégiale Aux XIe-XIIe siècles, on trouve plusieurs églises sur le territoire d’Ibos mais Saint-Laurent va devenir la plus importante et le centre de la paroisse. De cette lointaine époque, l’église a conservé à ses pieds un cimetière de forme arrondie, vestige fossilisé d’un enclos ecclésial qui était ici exceptionnellement grand. Dans cet espace entouré de murs et de fossés la population pouvait trouver refuge en temps de guerres. Les derniers vestiges des fossés ont disparu au XIXe siècle mais leur présence explique le nom de « château » ou « forteresse » utilisé autrefois pour qualifier Ibos. Cette église romane a été très vite remplacée par un édifice plus vaste dont il demeure une partie au niveau de la nef. Les six chapelles toujours visibles, établies entre des contreforts, font de cette église une collégiale, c’est-à-dire un lieu de culte desservi par un collège de prêtres appelés « prébendés ». Ils tiraient en effet leurs revenus de prébendes, ensemble de revenus constitués à partir de terres et de dons faits par testament. À Ibos, on ignore la date de fondation de ce collège mais beaucoup apparaissent dans des bourgs de la région aux XIIIe et XIVe siècles. En 1342 Ibos devient le siège d’un archiprêtré, circonscription religieuse regroupant de nombreuses paroisses. Vers la même époque, le chœur actuel est mis en chantier avec l’objectif de rebâtir toute l’église. Seul le chevet sera terminé avec ses grandes baies permettant d’installer d’immenses verrières. Aux XVe et XVIe siècles, les parties hautes sont reprises et fortifiées avec chemin de ronde. En 1569, durant les guerres de Religion, la Bigorre catholique est dévastée par des troupes protestantes venues du Béarn qui est à son tour ravagé. La collégiale d’Ibos est incendiée et pillée. En 1592, elle est investie par des ultras catholiques de la Ligue qui en font leur camp retranché. Lorsqu’ils sont chassés, une partie des voûtes et des défenses sont détruites pour éviter une nouvelle occupation des lieux. Par la suite, l’église est restaurée. L’imposant clocher aux allures de donjon ne date en réalité que des années 1690. À l’époque baroque, un important mobilier est réalisé, dont il reste quelques éléments Lors de la Révolution, les prêtres prébendés quittent la collégiale qui devient par la suite simple église paroissiale. Au cours du XIXe siècle, la Collégiale est restaurée avec des éléments de style néo-gothique ; elle est l’un des premiers édifices des Hautes-Pyrénées à être classé Monument historique, en 1862. Elle conserve toujours son ancien nom de Collégiale en souvenir d’un passé prestigieux qui demeure dans son architecture. Les particularités architecturales de la Collégiale L’édifice est caractéristique du style gothique languedocien avec une nef très large, des contreforts entre lesquels sont établies des chapelles qui pouvaient être percées de grandes baies divisées par des meneaux et des remplages de pierre. Ces ouvertures, au chevet de la collégiale, avaient été en grande parties murées ; toutes ont été refaites au XIXe siècle. La calade Avant d’entrer dans la Collégiale, on peut admirer le Parvis orné d’une calade (tapis de cailloux polychromes formant des motifs) signé Guy « le Paveur » et qui date de 1875 (à l’époque on signait toujours par son prénom). La restauration de ce pavage a été réalisée en 1994 par le lycée Professionnel Agricole Adriana qui est sur notre commune, guidés par Mr Andrey Trey d’Ibos, maçon, avec des galets blancs et noirs ramassés dans l’Adour par des élèves ingénieurs de l’ENIT de Tarbes. " On remarquera à l’intérieur : - La clé de voûte du chœur, décoré de la figure de saint Laurent et de blasons. - L’imposant maître-autel galbé, en marbres variés, établi au XIXe siècle par l’artiste bordelais Jaboin. Il est encadré par deux anges adorateurs. - Les nombreux sièges alignés le long des murs du chœur et surmontés de boiseries (XVIIe-XVIIIe siècles). Y prenaient place l’archiprêtre, les prêtres de la Collégiale, d’autres prêtres, enfants de chœurs, chantres… d’où leur nombre important. - Les murs sont ornés de plusieurs grands tableaux du XIXe siècle, certains copiés d’œuvres connues par des gravures. Ils sont dus aux pinceaux de Lataste, professeur de dessin à Tarbes et au père Pibou, prêtre de Garaison. Un tableau plus petit représente le visage du Christ sur un linge (Sainte-Face). - L’ensemble remarquable des vitraux à personnages et décor d’architecture, réalisés dans les années 1850 par l’atelier Goussard, de Condom (Gers). - La statue de saint Laurent, en bois sculpté, peint et doré (XVIIe siècle). Laurent était diacre à Rome du pape Sixte II (statue placée en face). Ce saint était d’origine espagnole, son culte à Ibos montre l’importance des relations entre les deux côtés de la frontière. - La chaire à prêcher en bois sculpté et doré, ornée de médaillons. Elle est attribuée à Marc Ferrère, membre d’une importante dynastie de maîtres-sculpteurs d’Asté. - La cuve des fonts baptismaux, ancien bénitier, en marbres de Campan. - Chacune des six chapelles possède un autel dédié à un saint différent (comme les vitraux) qui renvoie parfois aux anciennes confréries de métiers qui existaient à Ibos. Sources : Association Demain la Collégiale, classe Patrimoine du collège Paul Éluard, Stéphane Abadie, Thibaut de Rouvray. VISITES Pendant les horaires d’ouverture de la mairie (du lundi au vendredi : 8h -12h et 13h15 – 18h), demandez la clé à l’accueil de la mairie

2 Rue de la Collégiale 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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L'enclos ecclésial

Sur un plan ou une vue aérienne d’Ibos, on remarque la disposition des maisons, rangées en cercle autour de la collégiale et de son cimetière ovale, indice d’un ancien enclos ecclésial. Les enclos ecclésiaux sont nés au XIe et au XIIe siècle, là où les populations rurales et leurs biens (troupeaux…) ne pouvaient être protégés par le comte de Bigorre ou ses vassaux. Ces enceintes, qui accueillent aussi le cimetière, s’appuient sur le mouvement de la Paix de Dieu qui sacralise l’espace autour des églises en interdisant à des hommes armés d’y pénétrer. À Saint-Laurent d’Ibos, le cimetière a un rayon d’une quarantaine de mètres autour de la Collégiale. Il doit correspondre à un premier état de l’enclos ecclésial, agrandi par la suite. Les rues entourant actuellement le site étaient à l’origine des fossés (avec un puits filtrant, qui récupérait une partie des eaux) comblés seulement au XIXe siècle. Ici, cas exceptionnel en Bigorre, l’enclos a été si attractif qu’il a fallu l’élargir à plusieurs reprises pour accueillir une population toujours plus importante. En lisière du premier enclos s’est ainsi ajouté un second cercle, composé de deux rangées de maisons séparées par une ruelle intérieure et lui aussi fortifié et fossoyé. Au XIIIe siècle, Ibos est alors qualifiée de castrum = château, forteresse. En 1304 il est fait mention d’une « barbacane », fortification avancée défendant l’accès à l’enclos et à l’église. Elle est assez vaste pour accueillir la réunion de la communauté qui y prend ses délibérations. Ces défenses ont été détruites à partir du XVIe siècle. Ibos est un cas particulier en Bigorre : si de nombreuses communautés ont eu un enclos ecclésial (Azereix, Juillan, Lagarde… pour ne citer que des villages voisins), Ibos est la seule qui a développé son urbanisme à partir de son enclos ecclésial.

16 Rue de la Collégiale 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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Les portails et chasses-roues

Les portails monumentaux montraient la richesse de la maison. Leurs vantaux (battants) en bois (souvent sculptés) étaient surmontés d'un toit qui les protégeait de la pluie. Vous pourrez en découvrir de nombreux exemplaires dans Ibos, le métal remplaçant parfois le bois. Les chasse-roues se remarquent en bas des piliers latéraux des portails monumentaux. Ces grosses pierres de forme arrondie, taillées ou non, servaient à écarter les roues des chariots pour éviter d’endommager les portails et les véhicules.

12 Rue de la Collégiale 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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La Chapelle Saint-Roch

Saint Roch, pèlerin du Moyen Age originaire de Montpellier était autrefois invoqué pour protégé de la peste et préserver les animaux domestique. Le culte de saint Roch s’est surtout développé en Bigorre lors d’épidémies de peste du XVIIe siècle. Cette chapelle est coiffée d’un clocheton à courbe et contrecourbe caractéristique de l’art baroque. Deux pilastres encadrent la porte et les barreaux de section carrée de la façade sont disposés en losange, ce qui favorise les jeux d’ombre et de lumière à l’intérieur. Restitué à la collectivité par un particulier en 1820, la mairie la mit hors-d’eau et, en 1847, réalisa d’important travaux intérieurs. La chapelle conserve des éléments de mobilier du XIX° siècle, en particulier un ensemble de tableaux attribué au peintre tarbais Lataste. Dans les années 1980, à l’instigation de Denis Pécassou aidé d’un groupe de bénévoles, tout l’intérieur fut orné de peintures murales. Ces décors évoquent des scènes de la vie rurale en liaison avec la religion : - la bénédiction des troupeaux du village qui se pratiquait une fois par an, devant la chapelle, le 16 aout, fête de saint Roch. - les croix du village et les rogations : le prêtre, en procession avec les fidèles, bénissait les champs en faisant halte devant les croix du village.

11 Rue de la Collégiale 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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Les murs en galets

Les galets sont le matériau presque unique des murs des maisons anciennes d’Ibos. En effet, les galets sont abondants dans la plaine de l’Adour et intéressants pour leur grande dureté. Ils ont été largement utilisés malgré la difficulté à bâtir avec des éléments aux formes arrondies. Hourdés au mortier de chaux et sable, les galets sont posés par assises successives. L’art du maçon a même été poussé à l’extrême, en faisant jouer la forme, le calibre et la couleur des galets : ils sont alors disposés en épi, en arête de poisson ou en feuille de fougère. Chaque grand galet plat est posé à l’oblique et calé par quatre plus petits, ronds, piqués dans le lit horizontal de mortier qu’ils garnissent harmonieusement

15B Rue du Huit Mai 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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La Halle

A côté de la Mairie se trouve la halle qui atteste la vocation marcadale du bourg ancien. Elle a probablement été d’abord bâtie en bois. Elle fut détruite au moment des guerres de religion au XVI° siècle et rebâtie en galets, ardoise et chêne. Elle a été restaurée en 1896 et 2012. Elle accueillait les marchés hebdomadaires jusqu’à leur déclin. Le billot de boucherie a été conservé à l’angle sud est de la halle. Elle a depuis divers usages après avoir souvent servi d’abri pour les chars de foin pendant les intempéries.

1 Rue des Platanes 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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La bascule

Sur les 469 communes (INSEE 2021) que compte les Hautes Pyrénées, quelques-unes ont réussi à conserver leur ancienne bascule publique. Des « bascules » ont été construites dans beaucoup de villages de France mais toutes n’ont pas survécu. L’histoire du « poids public » est essentiellement liée à un impôt ancien : l'octroi. L’octroi était un impôt municipal qui consistait à taxer divers produits qui entraient dans les villes (Tarbes, Bagnères, Lourdes…) en fonction de leurs poids. C’était un péage pour marchandises. Avant de se rendre au marché, il fallait donc peser : vin, sable, bestiaux de boucherie, minerais, huile, bois... Faire peser les marchandises était aussi une source de revenus pour les petites communes car c’était un service payant. Avec la suppression de l'octroi en 1943, les poids publics perdront petit à petit de leur importance. Ils seront cependant encore largement utilisés, en libre accès, par de nombreux corps de métiers : les vignerons pour peser leurs vendanges, les maçons leur sable, les paysans leurs veaux, porcs gras et même leur foin, les gendarmes pour le contrôle de la charge des véhicules… La bascule est située à côté de la mairie. Le mécanisme de pesée, bien conservé, se trouve dans la salle de réunion dite « salle de la bascule ».

1 Rue de la Halle 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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Le croix de Bélot et le Méridien de Greenwich

Sur la petite patte d’oie de la rue du Mardaing et de la rue de l’Industrie en allant vers l’ouest du village, se trouve la croix de Belot ou de Boussan, nommée du nom des maisons proches. Cette croix fut mise en place en 1895 avec un piédestal en pierre de taille et une croix en fer. Le méridien de Greenwich passe à proximité immédiate de cette croix. Lors d’une conférence internationale à Washington en 1884, le méridien de Greenwich a été choisi par toutes les nations, comme la référence horaire internationale, tous les autres méridiens se déclinant en temps à partir de cet instant 0. Cette ligne imaginaire ne passe ni sur la Collégiale, ni sur le centre commercial (nommé le Méridien). Remarque : Lors de la définition du premier système GPS en 1970, l’origine a été définie sur des critères qui l’ont située à 5,3 secondes du méridien de Greenwich, c’est-à-dire 102,4 m plus à l’est. L’origine a donc été décalée pour s’adapter à cette nouvelle technologie

1 Rue de l'Industrie 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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Le Moulin Birou

Le moulin Birou, propriété actuelle de la famille Salles-Saboth, tient son nom de celui de la maison donnant sur la rue de Greenwich à laquelle il est rattaché. Le bâtiment apparait sur le cadastre napoléonien de 1810. Il a cessé de fonctionner au XIX° siècle et conserve ses meules dans un état parfait. Par contre, l’amenée d’eau a été détournée. Il fait partie des nombreux moulins qui existaient sur le territoire communal parcouru par les rivières du Mardaing, du Souy, du Rieutord et de la Géline.

1 Rue de Greenwich 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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La Maison des Patrimoines

Vous pouvez prolonger ce moment de visite et d’histoire en poussant la porte de la Maison des Patrimoines…

4 Rue des Pyrénées 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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La Chapelle Saint-Roch

Saint Roch est le Saint patron des professions médicales, des animaux maltraités et le guérisseur des pestiférés. Le culte de Saint Roch s’est surtout développé en Bigorre lors d’épidémies de peste du XVIIe siècle. Cette chapelle est coiffée d’un clocheton à courbe et contrecourbe caractéristique de l’art baroque. Deux pilastres encadrent la porte et les barreaux de section carrée de la façade sont disposés en losange, ce qui favorise les jeux d’ombre et de lumière à l’intérieur. En 1822, la mairie la fit restaurer et réalisa d’important travaux intérieurs en 1847. Dans les années 1980, la toiture fut refaite et, à l’instigation de Denis Pécassou, aidé d’un groupe de bénévoles, tout l’intérieur fut orné de fresques murales. Ces fresques évoquent des scènes de la vie rurale en liaison avec la religion : - « les rogations » : le prêtre, en procession avec les fidèles, bénissait les champs en faisant halte devant les croix du village. - la bénédiction des troupeaux du village qui se pratiquait une fois par an.

11 Rue de la Collégiale 65420 Ibos
- Mairie Ibos -
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Auteur de la donnée

Image Mairie Ibos
proposé par Mairie Ibos
Place Verdun 65420 IBOS France

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