Circuit pour découvrir le centre-ville : Suivez les numéros : 1 : Jardin Massey, 2 : Musée Massey, 3 Le Carmel, 4 Eglise Ste Thérèse, 5 Place et Halle Marcadieu, 6 Hôtel de Ville, 7 Eglise St Jean, 8 Théâtre des Nouveautés, 9 Villa Fould,10 Haras de Tarbes, 11 Cathédrale, 12 Préfecture, 13 Musée de la Déportation, 14 Maison natale Foch
3.8 km
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max. 317 m
min. 307 m
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Accessibilité | ||||||||||
Styles : BaladeDécouverteEn ville Publics : FamilleRoutardCyclistes Thématiques : CulturelPatrimoineGrand sitesHistorique |
En toute saison : de l'animation et de la sérénité ! Cette merveille, on la doit au savoir-faire et à l'inspiration de son principal instigateur, le célèbre Placide Massey, intendant de la Reine Hortense sous l'Empire en 1808, puis responsable des plantations sous Louis-Philippe et Directeur du potager de Versailles.
Le musée massey propose deux grandes collections : Le Musée international des Hussards qui a acquis une réputation internationale, rassemble plus de 15 000 objets évoquant 400 ans d’histoire, du XVIe au XXe siècle, dans trente pays différents. La collection Beaux-Arts propose une très grande quantité de chefs-œuvres présentés dans un parcours thématique où la mythologie et les arts religieux tiennent une place importante.
Depuis quelques années, les œuvres de grands peintres ont été exposées tels Joan MIRO, Pierre SOULAGES, Francis BACON, Georges BRAQUE, Alberto GIACOMETTI mais aussi de grands photographes comme Sarah MOON ou Marc RIBOUD ainsi que des artistes contemporains régionaux de qualité.
Telle une vigie, l'église veille sur l'espace traditionnel du grand marché de la place Marcadieu. Curieusement il règne autour de cette église une atmosphère paisible a contrario de son histoire riche et mouvementée. Les religieux du mont Carmel revenus de Terre Sainte fondèrent ici un couvent en 1280 : seule la flèche en est le témoin actuel. Mise à sac par les Huguenots puis par les révolutionnaires, elle devint bien national, magasin à fourrages, prison caserne... Son état actuel rappelle un gothique languedocien à nef unique. Une statue polychrome et dorée de Térésa de Jésus, réformatrice des Carmels d'Espagne et de France rappelle la dédicataire de l'église et le souvenir de ses origines.
Ce bâtiment néo-Renaissance de 1904 dont le dôme s'érige fièrement sur la place où la statue, représentant Danton, contribue à valoriser l'image de la Révolution française.
Mystérieuse église qui rayonne pour ses trésors classiques et revisitée par des représentations locales! Si elle est occasionnellement un lieu de concert, l'église Saint-Jean reste néanmoins le vrai rendez-vous liturgique du coeur de ville.
Pour une immersion au coeur de la vie des Tarbais, le marché Brauhauban est le lieu idéal ! Totalement relookée, la Halle est devenue "the place to be" des amateurs du "manger bien". Bien plus qu’un marché quotidien, des producteurs passionnés présentent leurs étals habillés de produits de qualité et font de la Halle Brauhauban un lieu convivial et animé. Le week-end, achetez du frais et fait maison venant directement de nos petits producteurs sur le carreau, en extérieur. Prolongez le plaisir en vous laissant tenter par quelques huîtres ou autres tapas sous la Halle mais aussi par les nombreux restaurants aux terrasses ensoleillées où l’ambiance est assurée. A la nuit tombée, le quartier du marché est la bonne adresse du centre-ville pour passer une soirée animée dans l’esprit du Sud-Ouest.
Construit en 1885, c'est un théâtre à l'italienne disposant d'un parterre, de trois balcons, d'une scène classique et d'une fosse d'orchestre. Le plafond en voûte de la salle de spectacle a été habillé d'une fresque montrant Bacchus dans toute sa splendeur. Ses 500 places, son équipement phonique et technique, font de ce théâtre un lieu de choix, une véritable petite bonbonnière au cœur de la ville de Tarbes.
Trois fois maréchal, vainqueur de la Première Guerre mondiale, l'illustre tarbais représenté à cheval reste un puissant symbole. Face à la caserne du 1er Régiment des Hussards Parachutistes, la statue du maréchal Ferdinand Foch (1851-1929) trône dans une magistrale mise en scène redonnant aux Allées leur vocation de parade militaire. Foch ne voulait pas de statue de son vivant : « Nous avons mieux à faire pour le bien public » disait-il. En 1932, trois ans après sa mort, une statue de Michelet réalisée grâce à une souscription rend hommage au tarbais le plus célèbre du XX° siècle.
Si l'histoire de Tarbes nous était contée, elle retracerait pas à pas celle du haras national : un parc naturel au cœur de la ville. Les huit hectares de jardins recèlent de trésors muséographiques qui permettent de réaliser à quel point la capitale Bigourdane s'est développée aux rythmes de ses chevaux. La Maison du Cheval, installée dans un ancien manège, propose un espace muséographique sur l'image du cheval en Midi-Pyrénées, des expositions et saura combler la curiosité de tous.
Telle une forteresse sur la place historique du pouvoir, celui des évêques et des préfets, la cathédrale Notre Dame de la Sède abrite bon nombre de trésors religieux. Le XIV ème lui a apporté sa nef gothique et le XVIII ème, parmi les joyaux du lieu, le grand baldaquin baroque en marbre au-dessus de l'autel majeur.
Le bâtiment ancien qui abrite les services préfectoraux depuis la Révolution est un bel hôtel du XVIII ème et XIX ème siècles. Il est le lieu de résidence des Préfets après avoir été château fort, puis palais des Evêques.
Telle une vigie, l'église veille sur l'espace traditionnel du grand marché de la place Marcadieu.
Curieusement il règne autour de cette église une atmosphère paisible a contrario de son histoire riche et mouvementée. Les religieux du mont Carmel revenus de Terre Sainte fondèrent ici un couvent en 1280 : seule la flèche en est le témoin actuel. Mise à sac par les Huguenots puis par les révolutionnaires, elle devint bien national, magasin à fourrages, prison caserne... Son état actuel rappelle un gothique languedocien à nef unique. Une statue polychrome et dorée de Térésa de Jésus, réformatrice des Carmels d'Espagne et de France rappelle la dédicataire de l'église et le souvenir de ses origines.
Mystérieuse église qui rayonne pour ses trésors classiques et revisitée par des représentations locales !
Si elle est occasionnellement un lieu de concert, l'église Saint-Jean reste néanmoins le vrai rendez-vous liturgique du coeur de ville. Les commerces mitoyens rappellent que se tenait ici un des plus anciens marchés de la cité. Datant du XVème siècle, l'édifice actuel, de style gothique méridional, abrite un grand retable baroque du sculpteur Jean Brunel : le Baptême du Christ y est représenté. À l'instar des grands maîtres classiques, les trois apôtres peints par un artiste local contemporain, Bruno Schmeltz, sont ici des habitants des vallées, d'authentiques bergers pyrénéens.
Telle une forteresse sur la place historique du pouvoir, celui des évêques et des préfets, la cathédrale Notre Dame de la Sède abrite bon nombre de trésors religieux...
L'édifice est rude d'aspect mais attachant dès que l'on franchit sa porte. Au départ de style roman, il fut construit au XIIème siècle sur un site gallo-romain puis cimetière mérovingien. Il s'est transformé au cours des temps. Du Moyen-Âge, il a gardé son nom d'origine latine, la Sède pour « siège de l'évêque » et les 2 absides du choeur. Le XIVème lui a apporté sa nef gothique et le XVIIIème, parmi les joyaux du lieu, le grand baldaquin baroque en marbre au-dessus de l'autel majeur...
Un musée intimiste, une maison typique qui fut celle de l'enfant du pays et pourtant un rappel de l'Histoire fort et percutant !
Située à proximité de la Cathédrale de la Sède, la maison bigourdane du XVIIIe siècle où est né en 1851 le tarbais le plus célèbre au monde intéressera par son cachet architectural tout autant que par son cadre, propice à l'évocation historique...
C'est là que le vainqueur de la Grande guerre, trois fois Maréchal, vécut les douze premières années de sa vie.
Le musée présente des collections, des souvenirs et des documents qui témoignent de la grande popularité du personnage. Sa maison nous permet de mieux découvrir l'homme et son parcours hors du commun.
UNE COLLECTION UNIQUE, TÉMOIN DE L'EPOPEE MYTHIQUE DES HUSSARDS
Ce Musée offre une vision précise sur l'un des phénomènes militaires les plus insolites et les plus séduisants, aujourd'hui encore lié à un certain imaginaire. Les nouveaux espaces permettent de découvrir la grande épopée des Hussards de 1545 à 1945. Organisé de manière chronologique, le parcours met en valeur les qualités historiques et esthétiques des uniformes.
Parallèlement, le musée présente la collection Beaux-arts, dans un parcours où la mythologie et la religion font face à la peinture de paysage et à la nature morte. Tous les genres sont représentés dans cette approche encyclopédique de la peinture européenne du XVe au XXe siècle. Les expositions temporaires enrichissent la visite.
Si l'histoire de Tarbes nous était contée, elle retracerait pas à pas celle du haras national : un parc naturel au coeur de la ville, berceau de l'anglo-arabe et musée vivant !
Les neuf hectares de jardins recèlent de trésors muséographiques qui permettent de réaliser à quel point la capitale Bigourdane s'est développée aux rythmes de ses chevaux : reflet d'une ville de garnison qui expérimenta, chercha et trouva sa propre race issue de savants croisements. Collections historiques, atelier de maréchal-ferrant, selles anciennes, voitures d'attelage, écuries fastueuses, ensemble architectural de style Empire...
La Maison du Cheval, installée dans un ancien manège, propose un espace muséographique sur l'image du cheval, des expositions et saura combler la curiosité de tous.
Admirer la façade d'une maison emblématique de l'histoire tarbaise et son écrin de verdure tournés vers les Pyrénées.
Situés dans le Parc Chastellain, deux bâtiments du XIXe siècle de style anglais en briques rouges.
C'est toute l'histoire locale de la Résistance que le Musée aborde : celle des prisonniers de guerre, stalag, résistants, évadés, déportés, internés, Régiment de Bigorre, passeurs dans les Pyrénées.
Ce musée émouvant permet de comprendre les réseaux de résistance des Hautes-Pyrénées et replace Tarbes au centre de ce dispositif à l'image du Corps Franc Pommiès.