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Description
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Points d'intérêt
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Découvrir Libourne

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Crédit : JM LE SAUX

Description

Libourne est une bastide royale fondée en 1270 sous l’impulsion du roi d’Angleterre Henri II. Le chevalier Sir Roger de
Leyburn, nouvellement promu au cadre honorifique de Lieutenant du Roi, fut chargé de sa construction en lieu et place de
l’ancien port gallo-romain de Condatis. Au fil des siècles, Leyburn se francisa pour devenir Libourne.
Située au confluent de l’Isle et de la Dordogne, en fond d’estuaire de la Gironde, Libourne possédait la particularité d’être
le premier port de navigation maritime sur la Dordogne à près de 100 km à l’intérieur des terres ! Cette situation unique
privilégia ses échanges avec l’extérieur et le développement d’un commerce florissant dont le vin fut roi. Il a fait d’elle l’une
des bastides les plus prospères d’Aquitaine.
Une bastide était, au Moyen-Age, une ville nouvelle. Ces villes neuves étaient construites pour faciliter les échanges
commerciaux et agricoles et rassembler la population. De cette manière, les Anglais, en terre hostile, marquaient leur
présence en territoire français.
Après la Guerre de Cent ans, la ville comptait plus de 530 habitations, un splendide Hôtel de ville reconstruit à la fin du XVème
siècle, deux églises, un couvent des cordeliers et deux hôpitaux.
Dès le XVIIIème siècle, les constructions débordaient sur les murs de la ville ; des travaux furent entrepris sur l’emplacement
des fossés pour y construire des allées. Une verrerie s’y installa également en 1749.
Aux XVIIème et XVIIIème siècles, la richesse générée par le commerce du vin permit la construction d’immeubles de grande
qualité.
La ville prospèra au XIXème siècle par la construction d’une gare de chemin de fer, des chantiers de réparations de cales à
bateaux et la construction de deux ponts sur l’Isle et la Dordogne.
Libourne doit également sa notoriété à des personnages illustres, parmi lesquels le duc Decazes (Ministre de Louis XVIII),
Jules Steeg (pasteur et homme politique) ou encore le peintre René Princeteau.
Née d’un confluent, Libourne est devenue elle-même confluence : de rivières, de terres, de langues et d’hommes.
Aujourd’hui, c’est à vous qu’elle ouvre ses portes, vous qui allez pénétrer dans son histoire singulière.

Informations techniques

Ce circuit a été mis à jour le : 02/11/2020
1.5 km
1 h 30 mn
1 h
max. 10 m
min. 5 m
4 m
Style : Découverte
Thématique : Historique

Profil altimétrique

Point de départ

34 Place Abel Surchamp , 33500 Libourne
Lat : 44.91482Lng : -0.24492

Points d'intérêt

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La place Abel Surchamp et ses couverts

Toutes les bastides sont érigées sur le modèle du camp romain avec une place centrale (le forum) entourée d’arcades. Deux grands axes perpendiculaires, le cardo et le decumanus, ainsi qu’une multitude de rues secondaires forment un plan en damier géant. La place Royale de la bastide de Libourne formait un carré parfait de 55 m de côté, soit une superficie de 3 000 m2. C’était déjà autrefois un espace de rassemblement, au coeur de la cité, et le lieu de marchés, de foires et de fêtes. Le marché s’y tient toujours chaque mardi, vendredi et dimanche matin depuis 600 ans ! Et c’est l’un des plus prestigieux de la région. Les arcades (couverts ou cornières), exceptionnellement mises en valeur, avaient une double vocation originelle : celle de protéger les étals des marchands et celle d’abriter les passants. Dans un coin de la place, à l’emplacement de l’actuel marché couvert, l’église Saint-Thomas (démolie au XIXème siècle) était la deuxième de la cité après l’église Saint-Jean-Baptiste. La place actuelle, rénovée, ne comporte plus de maisons médiévales. Les plus anciennes datent du XVIème siècle avec des arcades en bossage. La plus ancienne se trouve à l’angle de la rue Fonneuve et de la rue Victor Hugo. Elle possède un haut pignon en façade et des arcades surbaissées décorées de claveaux saillants. Guilhem Cholet, potier d’étain de son état, l’habitait en 1598. Dos à l’Hôtel de Ville, vous pouvez contempler, à droite, plusieurs maisons du XVIIIème siècle, ainsi que à gauche, un très bel ensemble de maisons néo-classiques (n°27, 28, 29 et 30). La place porte aujourd’hui le nom d’un maire de Libourne, Abel Surchamp.

42 Place Abel Surchamp 33500 Libourne
- Office de tourisme du Libournais -
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La maison d'Etienne-Louis Grignan

A l’angle de la place et de la rue Victor Hugo, se trouve la très belle maison d’Etienne-Louis Grignan, négociant et bourgeois, bâtie vers 1770 (n°62). Elle présente une balustrade en fer forgé et un balcon en encorbellement de pierre.

34 Place Abel Surchamp 33500 Libourne
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Hotel de ville

Construit en 1427, l’Hôtel de Ville de Libourne est l’un des monuments les plus emblématiques de la bastide. C’est en son sein qu’avaient lieu les élections du maire et des jurats, dans la salle du conseil, chaque 22 juillet, jour de la Sainte-Madeleine. C’est aussi ici que les membres des différentes corporations venaient prêter serment en apposant leur main droite sur le Livre Velu, le livre des lois de Libourne. A cette époque, les bastides étaient dotées d’une charte de constitution et l’Hôtel de Ville, coeur du pouvoir décisionnaire, se devait d’en imposer. Dès le Moyen-Age, celui de Libourne se para d’une architecture gothique, entièrement remaniée au début du XXème siècle dans un style néogothique pur, inspiré de Viollet-le-Duc. Si vous levez la tête en y entrant, vous pourrez saluer les architectes qui vous sourient du haut des écussons à leurs effigies, placés sur les clefs de voûte principales. De la galerie, il est possible d’accéder au jardin intérieur. Au milieu, sur un socle de pierre blanche, se trouve le buste en bronze de Robert Boulin réalisé par le sculpteur Jacqueline Becher-Ferber, Premier Prix de Rome. Né en 1920 à Villandrault (Gironde), Robert Boulin était avocat, médaillé de la Résistance, maire de Libourne, député de la Gironde et ministre avant sa tragique disparition en 1979. Au deuxième étage de l’Hôtel de Ville se trouve le Musée des Beaux- Arts, fleuron de l’art libournais, dont la collection fut largement étoffée par le duc Decazes au XIXème siècle.

2 Place Abel Surchamp 33500 Libourne
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Musée des Beaux-Arts

En 1818, le Duc Decazes (1780-1860) originaire du Libournais, souhaita créer un musée à Libourne. Ce puissant ministre du roi Louis XVIII a puisé dans les réserves du Muséum Central des Arts, l’actuel Louvre, et a offert à la ville des oeuvres de sa collection personnelle. Il constitua ainsi un coeur de collection de musée exceptionnel Après 1860, et tout au long du XXème siècle, la collection s’enrichit de multiples dépôts, dons et legs. Le musée possède un important fonds d’oeuvres d’artistes originaires de la ville tels que Nicolas Gibboin, Théophile Lacaze ou encore René Princeteau, maître d’Henri de Toulouse-Lautrec. Ainsi qu’une sculpture de Rodin.

2 Place Abel Surchamp 33500 Libourne
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Le couvent des Cordeliers

Le couvent des Cordeliers a été fondé au XIIIème siècle par Edouard 1er, peu de temps après la création de la bastide de Libourne, probablement en 1287. C’était une église rectangulaire, à chevet plat, longue de 50 m et large de 15m, simplement recouverte d’une charpente. Un cloître de 20 m flanquait l’église au nord-est. Seule une partie de l’église subsiste aujourd’hui (deux chapelles) suite à sa démolition partielle pour y construire le central téléphonique en 1962. L’église du couvent a été agrandie d’un bas-côté au XVème siècle, voûté et orné de sculptures et de fresques, et divisé en quatre chapelles. A l’intérieur, se trouvait un remarquable décor de litres funéraires et des peintures murales qui ornaient le chevet, représentant la parabole de l’enfant prodigue. Mis à sac par les huguenots en 1563, le couvent a hébergé en 1581 le duc d’Alençon et la reine Marguerite de Navarre, puis lors du séjour de Louis XIV à Libourne en 1650, les évêques d’Alais (Alès) et d’Angoulême ainsi que des seigneurs de la cour. A la Révolution, après la dispersion des religieux, les bâtiments ont été vendus et détruits en grande partie. A la fin du XVIIIème siècle, la place René Princeteau a été tracée sur les jardins du couvent. C’est dans cette église des Cordeliers et son réfectoire que les habitants de la cité élisaient chaque année l’assemblée de leurs représentants, 20 bourgeois rassemblés en Jurade, d’où était issu le maire. La présence d’un couvent de Cordeliers est l’un des signes de la richesse de la bastide de Libourne.

40 Rue Jean Jacques Rousseau 33500 Libourne
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La maison Belliquet

La maison Belliquet conserve du XVème siècle une tour quadrangulaire qui abrite un escalier. La tour est flanquée à un angle d’une échauguette reposant sur un cul-de-lampe mouluré. Ce pavillon a appartenu à une grande maison dépendant du domaine royal. La tradition rapporte qu’en 1650, le cardinal Mazarin y a logé lors de son passage dans la ville accompagnant le roi, Anne d’Autriche et toute la cour. En 1659, il y a séjourné de nouveau, en route pour Saint-Jean-de-Luz où il négocia le mariage de Louis XIV avec l’Infante d’Espagne. En 1712, la plus grande partie des bâtiments anciens a été démolie, de part et d’autre de la tourelle, pour élever les deux maisons actuelles. La tour d’escalier est flanquée, à sa partie supérieure, d’une tourelle d’accès aux étages. Le portail, sur la rue, avec son vantail et l’oculus qui le surmonte, date de la fin du XVIIème siècle.

21 Rue Victor Hugo 33500 Libourne
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Boutique du XVIème siècle

Au n° 17 de la rue Victor Hugo se trouve une ancienne boutique du XVIème siècle avec ses arcades et ses fenêtres à meneaux. En se dirigeant vers la rivière, on découvre la masse imposante de la porte du Grand Port et de son pan de muraille attenant. Les murs de la ville, élevés au XIVème siècle, étaient construits avec les galets qui servaient de lest aux bateaux.

7 Rue Victor Hugo 33500 Libourne
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La Porte du Grand Port

Doyenne du confluent, la Porte du Grand Port, édifiée entre 1324 et 1330, est l’unique vestige des 9 portes qui jalonnaient les hautes murailles (15 m de haut) de la ville au Moyen-Age. Elle est flanquée de 2 tours : la tour Richard et la tour Barrée. La Tour Richard doit son nom au petit-fils d’Edouard III d’Angleterre, né à Bordeaux en 1367. Cet ensemble constitue le vestige le plus important de la muraille qui entourait Libourne et qui commença à être édifiée vers 1314, après la destruction de la ville par les Français en 1294. Autrefois appelée Grand Portail de la Mer, c’est par elle que transitaient les marchandises venues de l’arrière-pays et celles apportées par les bateaux anglais. En témoignent encore les pavés du perré de la Porte du Grand Port, constitué de petits blocs de pierre. Ces derniers servaient à lester les navires en provenance d’Angleterre et qui repartaient de Libourne chargés de barriques de vin. Ses éléments défensifs impressionnants protégeaient les habitants des attaques ennemies. En 1794, la municipalité de Libourne décidait de la démolition des portes et tours de la ville considérées comme signes de la féodalité. La Tour Richard ne dut son salut qu’au citoyen Matthieu Fontemoing dont la maison et l’atelier de menuiserie étaient adossés à celle-ci. Une maison appuyée aux deux tours, qui abritait un atelier de voilerie au XIXème, l’a de nouveau protégée de la destruction. La Porte du Grand Port forme un couloir en berceau brisé, autrefois muni d’une herse et précédée d’un assommoir et d’autres moyens de défense. Ce couloir est situé entre deux tours semi-circulaires. Au rez-dechaussée, les tours dépourvues de meurtrières abritaient un magasin voûté en berceau, dans lequel on pouvait pénétrer par une porte en plein cintre ouvrant du côté de la ville. La paroi extérieure est formée de trois pans coupés. Le premier étage, percé de meurtrières droites sans pattes, donne accès aux courtines par l’intermédiaire de petites portes en pleins cintres. Les fenêtres tournées vers la ville sont géminées et recouvertes d’un linteau droit. Pendant deux siècles, la Tour Richard conserva un aspect primitif : découverte et créneaux apparents. Au XVIIème siècle, elle fut coiffée d’une toiture semblable à celle que nous lui connaissons aujourd’hui. La destruction récente des maisons qui l’enserraient, le dégagement de sa base et la restauration d’un fragment de mur orné de mâchicoulis ont rendu tout son éclat à ce précieux vestige de la bastide libournaise.

3 Quai des Salinières 33500 Libourne
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Le port et les quais

De par sa situation privilégiée au confluent de deux rivières, l’Isle et la Dordogne, la ville a été marquée dès son origine par sa vocation portuaire qui lui a assuré sa prospérité pendant des siècles. Libourne est à la fois port de rivière et port de mer. Quel avantage considérable pour les transports que cette avancée profonde des eaux à l’intérieur des terres ! Libourne était le noeud du trafic entre les pays de la haute Dordogne et les pays d’au-delà des mers : Angleterre, Pays-Bas, Allemagne, Amérique. Le trafic du bois et des vins descendait la rivière, celui du sel venu de la mer (marais salants de l’Aunis et de la Saintonge) la remontait. Divers métiers y sont représentés : tonneliers (barricaïres) et charpentiers de marine, ateliers de corderies et de voileries qui fournissent les accessoires nécessaires à la navigation fluviale et maritime. Libourne est aussi un grenier à sel grâce au privilège accordé par Edouard III Roi d’Angleterre. Les bateaux apportant le sel de Vendée ou de Saintonge ne doivent accoster qu’à Libourne, quai des Salinières. La défaite anglaise à Castillon, lieu de la dernière bataille de la Guerre de Cent ans, mit un terme au commerce avec l’Angleterre. Au XVIIème et XVIIIème siècle l’activité du port renaît : les cargaisons de vins rejoignaient la Hollande, la Suède et l’Angleterre. Les quais, récemment rénovés, sont désormais un lieu que les Libournais se sont réappropriés. Attablés aux terrasses, ils profitent d’une vue magnifique sur la confluence. Admirer un coucher de soleil, le ballet des bateaux de croisières ou encore profiter de l’ombre des platanes... une nouvelle atmosphère de bord de mer s’est installée et une certaine douceur de vivre s’est emparée de la ville.

21 Quai Général d'Amade 33500 Libourne
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Les batisses de la rue Fonneuve

- Maison de Pierre Ichon, négociant en vin, construite en 1788 - Maison de Barthélémy Fontemoing, construite vers 1772 - Boutique du XVIème siècle avec entrée voutée surmontée d'une frise comportant un mascaron.

40 Rue Fonneuve 33500 Libourne
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Les remparts

La bastide de Libourne n’a été fortifiée que de façon tardive. La lenteur de la construction s’explique par l’ampleur des ouvrages et le peu d’empressement des rois ou de leurs représentants à y contribuer. Ce n’est qu’en 1320, au moment de la crise de la Saint-Sardos, entre les rois de France et d’Angleterre, qu’Edouard III d’Angleterre décida de fortifier la cité, jusque-là ville ouverte. On peut considérer que la bastide a complètement été ceinte vers 1330. Les remparts se développaient sur une longueur d’environ 2,5 km. D’une hauteur moyenne de 12 à 15 m, ils étaient flanqués de tours et ouverts de 6 portes donnant sur le port et de 3 sur les terres. Devenues inutiles, les fortifications ont été détruites à la Révolution ou peu après, englobées dans des propriétés privées. En plusieurs endroits de la ville subsistent quelques pans de courtine constitués de deux parements faits de matériaux hétérogènes (pierres, galets de lest) noyés dans un mortier grossier. Aujourd’hui, les portions des murs les mieux conservés n’atteignent plus que douze mètres environ et s’arrêtent au niveau des machicoulis ; les créneaux et le chemin de ronde ayant disparu. A l’intérieur de Libourne, l’efficacité de la défense se trouvait renforcée par l’existence d’un chemin qui permettait de faire le tour du périmètre interne des murs. Ce chemin existe encore, rue des Murs et son prolongement, rue Lamothe et rue des Chais. Il permettait aux défenseurs de se porter rapidement en tous points de la muraille en cas d’attaque.

16 Rue Lamothe 33500 Libourne
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L'Eglise Saint Jean-Baptiste

L’origine de l’église Saint-Jean-Baptiste est antérieure à la création de la bastide. Le sanctuaire d’origine est connu sous le nom de Saint-Jehan-de- Fozera, du nom de la paroisse, petite localité située au confluent de l’Isle et de la Dordogne. Fozera signifiant fougère en gascon. Cette église est restée le siège de la paroisse de la cité malgré l’édification de l’église Saint-Thomas à l’angle des couverts accompagnant la création de la bastide. L’église Saint-Jean-Baptiste est un édifice de la période gothique, qui remonte au XIVème siècle, considérablement remanié en 1837. Au début du XVème siècle, deux doubles bas-côtés sont ajoutés et le chevet est déplacé à 23 m plus à l’est. Le nouvel édifice mesure 24,5 m sur 53 m. Les petites nefs sont divisées en sept travées par des murailles. Ces travaux terminés, l’église est consacrée à Saint-Jean-Baptiste. Au XIXème siècle, les murs qui séparaient les chapelles sont percés de portes en ogives afin de réaliser des galeries qui sont achevées au début de 1838. La chapelle de la Vierge date de 1841 et le clocher de style néo-gothique de 1853-1859, fut édifiée sous l’impulsion du cardinal Donnet. On y trouve une chapelle dédiée à la Sainte-Epine, relique sainte attribuée de la couronne du Christ. Elle aurait été offerte à la ville par Charlemagne en 811.

52 Rue Jules Simon 33500 Libourne
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Auteur de la donnée

Place Abel Surchamp 33500 Libourne France

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