Le projet Chemins de Mémoire propose 10 circuits transfrontaliers de 35 à 80 km entre Gaume et Lorraine Belgique, Meuse, Ardennes et Meurthe et Moselle. Le long de ces circuits, vous découvrirez, grâce aux 135 points d’information, l’histoire particulière et peu connue de la Bataille des frontières d’août 1914.
Lors de cette Bataille, les troupes allemandes et françaises s’affrontèrent dans des combats sanglants au sud de la Belgique et en Lorraine. Des dizaines de milliers de soldats des deux camps sont tués ou mis hors de combat, tandis que des centaines de civils innocents sont fusillés par l’envahisseur qui détruisit systématiquement de nombreuses localités.
Là où, il y a 100 ans, la Grande Guerre n’avait laissé que champs de bataille et villages détruits, vous découvrirez aujourd’hui des paysages bucoliques et des villages pittoresques.
Fleuve, canal, lac ou étangs, l’eau y est omniprésente. Traversée par le fleuve Meuse, le Pays de Stenay-Val Dunois a une histoire très riche et dispose d’un patrimoine exceptionnel.
La citadelle de Montmédy est l'un des plus importants ouvrages du Nord-Est de la France, construite sous le règne de Charles Quint en 1545, elle est située sur un promontoire rocheux à plus de 100 mètres du niveau de la ville basse. Au 17ème siècle, Vauban modifie les remparts, élève des casernes, creuse des fossés, ceinture la ville selon ses principes défensifs. Après 1870, Séré de Rivières aménagea des casemates en vue de démultiplier le nombre de militaires présents dans la citadelle. Un circuit de promenade permet aux visiteurs d'admirer les panoramas offerts par ce point stratégique et de comprendre le travail de Charles Quint, Vauban et Séré de Rivières.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Vers 3 heures du matin, les troupes allemandes arrivent en masse et pénètrent dans le village. Aussitôt, une vive fusillade se déclenche laissant de nombreux soldats au sol. Les Allemands ripostent et bientôt un combat de rues s'établit. En moins d'une heure, plus de 200 soldats allemands sont mis hors de combat. Néanmoins, les troupes allemandes se renforcent et les coloniaux français doivent abandonner la lutte, laissant dans leur fuite une trentaine de blessés. Rendus furieux par cette résistance inattendue, les Allemands négligent de poursuivre les coloniaux et se retournent contre la population civile. Ils prétendent que ces derniers ont tiré sur eux et se ruent dans toutes les maisons. Dix-sept villageois sont exécutés sans autre forme de procès. Seuls, ceux qui se sont soigneusement cachés échappent au massacre. Les Allemands mettent alors le feu au village après l'avoir méthodiquement pillé. Seules quelques maisons demeurent indemnes. Quelques temps après, au milieu de l'incendie, des détonations se font entendre, probablement causées par des cartouches surchauffées laissées sur place. Les soldats allemands, supposant avoir à faire à des francs-tireurs, rassemblent les survivants du village et les emmènent jusqu'au pont de La Ferté-sur-Chiers. Ces civils sont alignés près du calvaire, où ils attendent trois quart d'heure avant d'être relâchés et après avoir demandé pardon à l'envahisseur.
Plusieurs symboles mémoriels judicieusement disposés dans le village d'Olizy sur Chiers rappellent le tragique épisode décrit sur le POI "Calvaire du 26 août 1914" : • Une plaque apposée sur le calvaire à l’entrée sud-est du village rappelle que des civils ont été fusillés et ensevelis à cet endroit, • La rue qui borde l’église, porte le nom de “Rue des fusillés du 26 août 1914”, • Une plaque commémorative à l’intérieur de l’église reprend le nom de tous les martyrs du village, • Une stèle dans le cimetière est dédiée aux fusillés d’Olizy. Cette stèle côtoie la sépulture de l’Abbé Lévêque, rédacteur de l’ouvrage de référence relatant les faits. • Un panneau didactique est érigé près de l’église. Source : stenay.home.blog/occupation/massacre-dolizy-sur-chiers/
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.
A Luzy Saint Martin et sur ses hauteurs ont eu lieu de terribles affrontements les 26, 27 et 28 août 1914. Après la bataille des frontières, l’armée allemande poursuivant sa percée, entreprend le passage de la Meuse avant de rejoindre la Marne. Elle est alors interceptée à Luzy par les régiments du corps colonial français. De violents engagements au fusil et à la baïonnette eurent lieu avec de sévères pertes des deux côtés. L’armée allemande, victorieuse, fit rapidement ériger 7 enclos de tailles et de factures différentes sur les lieux même du champ de bataille, rassemblant les corps des combattants allemands et français. En 1922, la plupart des soldats des deux camps furent transférés dans les cimetières français et allemands de Brieulles sur Meuse, tandis que quelques soldats allemands furent déplacés au cimetière de Dun sur Meuse. A Luzy, les monuments vides furent alors laissés à l’abandon jusqu’en 1980, où deux d’entre eux on pu être sauvegardés et entretenus. L’un est bien visible sur la colline dégagée, l’autre se trouve 150 mètres plus loin à l’entrée de la forêt
Le 27 août 1914, les colonnes allemandes, sans cesse renforcées, tentent de franchir la Meuse au niveau de Luzy et Cesse, avec des passerelles de fortune et une artillerie lourde. Un grand nombre de soldats des deux camps sont tués au cours de ces combats. Marcel Thomas, lieutenant au 72ème Régiment d’Infanterie est tué à la tête de sa section, au passage de la Meuse à Cesse, à l’âge de 28 ans. Un monument lui rend hommage. Enterrés sur place, ils seront plus tard déplacés dans l'ossuaire de Brieulles-sur-Meuse.
Situé entre le Château Fort de Sedan et les Sites de Mémoires de Verdun, le Musée de la Bière de Stenay retrace toute l’histoire des arts et traditions brassicoles, des origines (-12 000 ans) à nos jours, avec plus de 2 500 m² d'exposition. Sa collection de 50 000 œuvres lui permet de proposer un parcours didactique et ludique stimulant aussi bien la vue que le goût, l’odorat, le toucher ou l’ouïe. La visite du Musée se termine à la Taverne, lieu de vente de produits du terroir et de dégustation avec un large choix de bières artisanales et industrielles de fermentation haute, basse et spontanée. (Source : www.muséedelabiere.com) Musée de la Bière de Stenay 17 rue du moulin 55700 STENAY +33 (0)3 29 80 68 78 Contact : musee.biere@meuse.fr Site : www.museedelabiere.com Ouverture tous les jours du 1er mars au 1er décembre 7 jours -7 (jours fériés inclus) de 10h00 à 12h30 (fermeture de la billetterie à 12h00) et de 13h30 à 18h00 (fermeture de la billetterie à 17h30) La taverne ouvre ses portes à 10h15 et les ferme à 18h.
Situé entre le Musée de la Bière et le port de Plaisance, le parc de la Forge invite à la balade et à la flânerie. Ce parc fait partie des espaces autrefois occupés par les fortifications. Comme son nom l'indique, le parc de la forge était le jardin du maître de forge dont la demeure est devenue aujourd'hui centre social et culturel. Les bâtiments de l'usine se trouvaient derrière la maison. Construit dans les années 1830, ce joli parc compte encore un bel échantillon botanique : Ginko biloba, Liriodendron tulipifera, fagus sylvatica asplenifolia et purpurea, ... une serre, un bassin, une petite statue d'enfant embrassant un cygne, et plus récemment installés, quelques agrès et un tas de sable pour les bambins.
Le bureau d'information touristique située au port de plaisance est ouvert d'avril à septembre. Wifi.
65 variétés d'arbustes. 40 arbres, fleurs sèches. Jardin horticole privé paré de ses plus beaux atouts de juin à octobre : annuelles- bisannuelles - graminées - vivaces - potagères - cucurbitacées, insolites, exotiques, aromatiques, magiques. Recyclage à partir de plastiques, bois, fer... et création d’insectes. Chaque année, un thème différent. Animations ponctuelles (artistes), yourte. Visites libres ou guidées sur demande. Visites pédagogiques.
Construite en 1830 après démolition de l’ancienne sur ordre de la paroisse pour cause de vétusté avancée, cette église reprend les canons classiques très prisés du XIXe siècle. La façade a reçu un avant-corps à colonnes cannelées et chapiteaux ioniques supportant un entablement avec frise et un tympan décorés. On notera les statues de Saint-Pierre et Saint-Paul et les médaillons des quatre évangélistes au-dessus de l’entablement.
Dans la crypte, venez découvrir le portail de l'église Saint-Dagobert (9ème - 12ème siècle), la pierre mystérieuse de Stenay, la stèle du Roi perdu. Dans la salle Saint-Dagobert, vous pourrez admirer l'exposition permanente d'histoire et d'archéologie mérovingienne, histoire et légende de Saint-Dagobert II. Un centre de documentation mérovingienne est ouvert aux chercheurs et curieux. Plans de circuits de randonnées pour découvrir les environs et vous guider à la légendaire Fontaine Saint Dagobert.
Les chemins de mémoire sont 10 circuits transfrontaliers, créés à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. Ces chemins, tous carrossables en voiture, passent sur les traces de la bataille des frontières d'août 1914. Une carte et un livret traduits en plusieurs langues sont disponibles dans les maisons et offices de tourisme à Florenville et Virton côté belge ; Stenay, Doulcon, Montmédy, Damvillers, Spincourt et Longuyon côté français.