Départ : Place du Chétis Patis
Distance : 7,6 km
Signalétique : Sentier n°3 Vert fluo
À découvrir :
- La Suraudière
- Les collines vendéennes
- L'église de St Prouant
7.6 km
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max. 109 m
min. 73 m
32 m
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Style : Randonnée |
• Sortir du parking du Chétis Patis par la gauche, se diriger aussitôt à droite, rue de la Forêt, et continuer jusqu’au rond-point 500 m plus loin. • À ce rond-point, continuer tout droit direction le pôle environnemental et traverser le lieu-dit Le Guignard. Suivre cette route encore 900 m. • Au cédez le passage, tourner à gauche. 900m après, traverser la D960b et rejoindre le village Le Joblin.
• Après la départementale, poursuivre sur cette route, passer à côté du village Le Joblin puis de la Petite Motte et prendre le prochain chemin à droite au niveau du village de la Grande Motte. • Au bout du chemin, prendre à droite puis tout de suite à gauche pour prendre le chemin longeant la lisière de la forêt. • Après être sortie du bois de Grammont, tourner à droite. • 350 m plus loin, prendre à gauche et continuer tout droit sur 950 m. • À l’intersection, prendre à droit et rejoindre le cédez le passage. Traverser la route avec prudence et poursuivre en face.
•Emprunter la première rue à gauche, la rue du Complant. Marcher quelques mètres et après le virage en équerre, emprunter le chemin à gauche. • À la fin de celui-ci, poursuivre sur le chemin à droite, sortir de l’impasse et continuer tout sur la rue de la Bonnelle. • Tourner à gauche rue de l’Abbé Girardeau et rejoindre l’église 200 m plus loin. • Contourner l’église par la droite, puis poursuivre en empruntant la route en face. • Tourner à droite pour traverser le parc et rejoindre le point de départ de l’autre côté de la rue principale.
Gentilhommière typique du XVIIIème siècle. A cette époque, les familles bourgeoises protestantes disposaient de leur cimetière privé à proximité. Ici, ce dernier à la particularité d'être couvert. Aujourd'hui, le remembrement l'a isolé au milieu d'une parcelle.
L’ancienne église ayant été donnée aux protestants pour qu’ils en fassent leur lieu de culte, les catholiques décident d’en ériger une nouvelle en 1852. Les travaux commencés par Tournesac ont été terminés par Léon Ballereau en 1857. Les vitraux ont été installés en 1860. L’ensemble de style néo-gothique en forme de croix latine possède quelques éléments de style Renaissance, comme les sculptures du portail d’entrée, et les boiseries du choeur.