


En face, dans le vallon et sur le coteau de Malubac, chacun des arbres se cantonne dans des milieux différents. Le chêne pubescent préfère le sol profond et l’humidité du fond du vallon. Le chêne vert, moins exigeant en eau, affectionne les pentes rocailleuses et plus sèches. La garrigue s’est installée sur le tapis végétal appauvri après l’incendie de la pinède en 1952.