


Avant l’introduction du cèdre, les crêtes du Luberon étaient entièrement pâturées. Aujourd’hui, les troupeaux continuent d’assurer, avec l’aide de débroussaillements, l’entretien des milieux ouverts restants. Sur la gauche, on devine bien la darille du troupeau. Ainsi, les pelouses sèches et garrigues perdurent et abritent une diversité exceptionnelle de plantes et d’insectes, de reptiles, de mammifères et d’oiseaux. Les grands rapaces des falaises et forêts voisines les utilisent comme territoire de chasse.