Le patois champsaurin est en fait une langue à part entière dérivée de l’occitan : le « vivaro-alpin ». La toponymie locale témoigne encore de ce parler d’antan : le « Bouscatu » est un lieu boisé, la « Poureïte » un endroit où l’on cultivait les poireaux, le « Casso » un lieu pierreux, la « Poua » est la montée vers l’église…