Forte de 70 membres, cette confrérie d’hommes laïcs qui « s’engagent à maintenir en état chapelles, oratoires et croix, à faire œuvre de solidarité, et à faire vivre la tradition et la prière » existe depuis le XIIIe siècle. Même si tout prieur l’est à vie, chaque année, la confrérie reçoit le renfort de deux nouveaux membres, choisis trois ans auparavant : l’un habitant l’adroit (l’adret, ici, le versant de la ville), l’autre l’ubac (le versant de la campagne). Il n'y a pas de distinction sociale au sein des prieurs. Avocat, charpentier, barman, …, tout le monde est logé à la même enseigne et partage les mêmes valeurs.