Dès le milieu de l'été, ce criquet frotte ses élytres sombres aux nervures échelonnées avec ses pattes postérieures et empli l'air du son répétitif qui en résulte : dsch-trrrrrrrrrr dsch-trrrrrrrrrr dsch-trrrrrrrrrr... Qu'on le dérange de nos pas et le voilà qui s'envole bruyamment comme s'il n'était pas content.