Le développement d’une faune et d’une flore classiques est compliqué dans les tourbières. De nombreuses espèces se sont alors adaptées aux contraintes de ce milieu. Par exemple, la linaigrette, emblème du sentier, pousse en formant des touffes de plus en plus épaisses qui lui permettent ainsi de s’extirper de l’eau. La drosera se nourrit, elle, de petits insectes qu’elle attire sur ses feuilles à l’aide de gouttelettes d’un suc qu’elle produit.