
Au VXIIIème siècle, les voies de communication en Corrèze sont quasi inexistantes ou difficilement praticables. En effet, le relief est important et les zones humides fréquentent. Afin de favoriser les échanges entre les villes (axe Bordeaux–Lyon) et le commerce, de nouvelles routes voient le jour dans la seconde moitié du XVIIIème. Les travaux sont dirigés par Pierre Marie Jérôme Trésaguet ingénieur en chef des ponts et chaussés collaborateur de Turgot intendant du Limousin (de 1761 à 1774).