Hôpital puis hospice, ce bâtiment est désormais un lieu d’accueil artistique.
Au Moyen Âge, on recensait plusieurs établissements d’accueil pour les malades. On y soignait à la fois les âmes (par des prières) et les corps (par des saignées, des lavements…). Sous l’Ancien Régime, ces établissements sont financés par les riches et confiés à des religieux ou religieuses. On y accueille les déshérités, les veuves, les orphelins, les infirmes, et parfois, les pèlerins. Malgré de nombreux travaux, l’hospice ferme en 1997. Depuis, ces bâtiments ont été aménagés pour y installer la Cité de la Voix qui accueille des artistes professionnels et amateurs.