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Paris, its heroes and legends.

Paris, its heroes and legends.
Paris, its heroes and legends.
Credit : wikimedia

The Cirkwi brief

Discover the Legends of Paris on Foot

When setting foot in Paris, one not only walks through a city but journeys through a tableau painted with the lives of heroes and legends that have sculpted its history. From the tale of Saint-Denis to the incredible saga of the four sons of Aymon, these narratives breathe life into the cobblestones beneath our feet. Presented by Balades-Fluviales-Nina-K, this walking itinerary is more than just a path across the French capital; it's an immersive experience into the heart of Paris’s spellbinding history. Let the spirit of adventure guide you through the city’s ancient realms, where every corner tells a tale.



Key Route Insights in Brief

The itinerary spans approximately 5.5 kilometers, marking a comfortable walk for enthusiasts of all calibers. With an ascent ranging from 26 to 73 meters, it gently tests one's endurance without becoming daunting. The highest elevation attained is 81 meters, granting walkers not just a physical but also a panoramic elevation. Remember, the journey fluctuates between 27 meters at its lowest point to this peak, encapsulating the geographical variety of Paris within a relatively short distance.



Seasonal Tips and Safety Advice

To truly appreciate this historical voyage through Paris, timing and preparation are key. Spring offers a milder climate, ideal for leisurely explorations, whereas autumn wraps the city in a captivating palette, perfect for photographers. Summer’s vibrancy is enticing but be mindful of the heat; stay hydrated. Winter, with its chill, demands warm attire. Regardless of the season, comfortable footwear is paramount, as is keeping an eye on personal belongings in crowded areas. Let the city’s past enchant you, but always be aware of the present.



Historical Significance of Paris

Paris is not only France’s capital but also a repository of deep historical and cultural significance. From its origins as Lutèce in the Roman era to becoming a battlefield for the souls and tales of Saints and warriors, Paris has always been at the heart of French identity. The 18th district, featuring stories of figures like Saint Denis, is a testament to the city's resilience and evolution across centuries. This region embodies the essence of French legacy, standing as a vibrant reminder of the nation's past struggles, artistic triumphs, and the unbreakable spirit of its people.



Understanding Paris’s Climate for Visitors

Paris experiences a temperate climate, with mild winters and moderately warm summers. The city’s weather patterns offer something for every traveler, but the most pleasant times for exploring are during spring (March to May) and autumn (September to November). These seasons strike a perfect balance, providing comfortable temperatures and less crowded streets. Pack accordingly, with layers for the versatility of spring and autumn days, and you'll find the city’s open arms welcoming you to discover its timeless legends under the most amiable skies.

Automatically generated.

Technical informations

This circuit was updated on: 21/02/2024
5.5 km
2 h
max. 81 m
min. 27 m

Accessibility

Styles : DiscoveryIn townUnusual
Public : Family
Themes : CulturalPatrimony

Altimetric profile

Starting point

75018 Paris
Lat : 48.8841Lng : 2.34043

Steps

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1

Les 4 fils Aymon et leur cheval.

Les 4 fils Aymon vivaient au château de leur père à Albi au temps de Charlemagne : il y avait l'aîné, Renaud au tempérament guerrier, Guichard, vaillant chevalier et peintre, Alard le troubadour, Richardet, d’une nature douce et sage – ainsi qu’une fille prénommée Bradamante. Les 4 frères avaient beau rêver d’aventures, de faits glorieux, aucun cheval ne dormait plus dans les écuries d’un château devenu misérable et tous se languissaient. Bradamante souffrait tant de cette situation, qu’un soir la fée Orlande lui apparut et lui dit : « Demain sur le mur du château dessinez l’image d’un cheval tel que le rêveraient vos frères et à midi ce vœu sera exaucé. Par la suite, une fois encore je pourrai intervenir, mais jamais plus après». Ainsi fut fait : le lendemain matin, Guichard dessina un magnifique cheval et à midi, sous leurs yeux ébahis la pierre prit vie et le dessin s’anima jusqu’à ce que devant eux, se dresse l’animal en chair et en os. Ils le nommèrent Bayard. Le cheval était si grand, si puissant qu’ils montaient tous les 4 sur son dos. Dès ce jour, ils multiplièrent les chevauchées héroïques combattant l’injustice avec la rapidité de l’éclair. De tels exploits parvinrent aux oreilles de l’empereur qui voulut voir de près ce destrier. On organisa une course à Paris où l’on verrait l’étalon à l’œuvre. Alors que la course se préparait le sage Richardet comprit que si Bayard la gagnait, Charlemagne exigerait pour lui leur cheval. Richardet souffla alors à ses frères de renoncer à gagner la course. Ils freinent donc Bayard durant l’épreuve, mais Renaud qui tient les rênes, n’en pouvant plus de tant de moqueries, lance soudain l'ordre à Bayard de reconquérir sa place. On assiste alors à ce miracle qui voit Bayard presque voler jusqu’à l’arrivée et se planter net devant l’empereur. Ce dernier, émerveillé, réclame la monture, les fils Aymon refusent, on ordonne de les prendre, ils s’enfuient. Les ruelles de Paris retentissent du martèlement des sabots, ils sont poursuivis, ne trouvent pas de sortie, tournent et retournent pour finalement s’engouffrer dans une ruelle où devant eux une charrette se renverse et stoppe leur course ! Une grêle de flèches s’abat sur eux. Richardet fait appel à la fée Orlande. Les soldats assistent alors à ce prodige : d’un bond Bayard est contre le mur de la rue et s’y enfonce ! Ainsi disparaissent-ils dans la pierre, laissant derrière eux le dessin d’une monture et de ses quatre cavaliers. La rue s’appelle toujours la Rue des 4 Fils. On dit que longtemps, le dessin est resté gravé dans la pierre, peut-être en verrez-vous la trace ?

1 rue des 4 fils 75004 Paris-3e-arrondissement
- Balades-Fluviales-Nina-K. -
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Points of interest

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Le bourreau de Saint-Denis

Au temps où Paris était romaine et s’appelait Lutèce, vivait dans la capitale un prénommé Tubaldus, avaleur de sabres. Cet homme à la forte carrure sur laquelle il posait une grande cape rouge subjuguait son public dans les foires où il se produisait : il avalait tout : depuis le glaive du légionnaire jusqu’à la longue épée du goth. Ce colosse était marié à une jeune et douce chrétienne, Laëtitia. Ce jour-là, se tenait sur le Mont Mercure (devenu Mont des Martyrs puis Montmartre), une foire à laquelle se rendit naturellement Tubaldus. Alors qu’il avait déjà avalé de nombreux objets contondants et garni largement sa bourse, des trompettes sonnent qui annoncent l’arrivée du Préfet. Ce dernier venu pour rendre justice sur le Mont Mercure, s’arrête au passage devant Tubaldus, impressionné par la prestance du bel homme et l’éclat de sa cape. Devant un tel spectateur l’avaleur fait descendre dans son gosier quelques grandes lames ce qui ne manque pas d’émerveiller le préfet qui le récompense largement… puis s’en retourne à son devoir : le jugement de trois chrétiens. Au premier de ces chrétiens le Préfet demande de sacrifier sa foi en échange de sa vie, et ce dernier sacrifie. Ainsi pour le second qui sacrifie également. Le troisième chrétien est un vieil homme à la barbe blanche : Denis, premier évêque de la capitale et Denis refuse de sacrifier sa foi. Le Préfet donne alors ordre de l’exécution… qui finit par poser problème et pour cause : le bourreau s’est enfuit ! En désespoir de cause, le Préfet porte alors son regard sur Tubaldus : s’il avale les sabres pense-t-il, il doit savoir comment les manier ! Demande est aussitôt faite à Tubaldus d’exécuter Denis. Il refuse. Il refuse ? Il sera lui aussi exécuté ! Tubaldus pense à sa femme, à la douce Laëtitia, et finalement, Tubaldus cède : il affute sa lame et tranche le cou de Denis. Le Préfet lui envoie pour sa peine une lourde bourse, mais lui ne pense qu’à fuir : il court chez lui, se jette aux pieds de sa femme en pleurant, se repent amèrement. Au cours de la nuit qui suit, la lumière se fait soudainement dans la chaumière, et Denis apparaît, sa tête dans ses mains. Il avait marché, portant sa tête en traversant ce qui est aujourd’hui Montmartre pour venir porter son pardon à l’avaleur de sabres. Ici se trouve aujourd’hui la chapelle du Martyrium qui en marque le souvenir.

9 Rue Yvonne le Tac 75018 Paris
- Balades-Fluviales-Nina-K. -
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La « Montagne » Sainte-Geneviève

An 428, Geneviève, jeune bergère, fait paître ses moutons à Nanterre, au pied du Mont Valerianus. Depuis ce promontoire, elle admire les remparts de Paris, quand un orage la surprend. Vite, elle et ses brebis regagnent le logis quand peu après, deux voyageurs frappent à sa porte et lui demandent refuge : elle les héberge et les nourrit avec le peu dont elle dispose. En récompense de ses bienfaits, les deux hommes lui offrent une médaille en cuivre, la priant simplement de ne jamais porter d’autres bijoux. Les deux voyageurs se nommaient, Loup, évêque de Troyes et Germain, évêque d’Auxerre. Quelques années plus tard, Geneviève demeure enfin à Paris quand les Huns sont annoncés aux portes de la cité. On dit du chef des Huns, Attila, que là où son cheval a posé le pied l’herbe ne repousse pas. On dit qu’ils égorgent tout, hommes, femmes, enfants, dont ils coupent les mains avec leur sabre avant de les lancer du bout de leurs lances, on dit qu’ ils dépècent les animaux vivants et les mangent crus ou attendris sous leur selle car ils ne descendent jamais de leur cheval… Paris tremble, Paris panique, Paris veut se rendre. Sur les conseils d’un fin connaisseur des Huns Paris juge que si elle se rend les barbares épargneront les parisiens. On s’apprête donc à « offrir » la Ville quand une voix de femme s’élève auprès du Préfet Aetius : « Depuis quand le loup épargne-t-il l’agneau ? Bien loin d’ouvrir les portes de la ville il faut les fermer ! ». Geneviève ne veut pas céder, Geneviève raille la couardise des hommes, elle croit à la vertu du courage et à la puissance de la foi. Devant cette force de conviction qui embrase l’auditoire, Aetius change d’avis : on ferme les portes et les hommes prennent leur poste de combat. Geneviève et les femmes montent sur un promontoire qui domine la Seine pour prier, chemin devenu « rue de la Montagne Sainte-Geneviève ». Le lendemain Attila arrive devant Paris qu’il découvre armé et rebrousse chemin.

1 rue de la montagne sainte-geneviève 75005 Paris
- Balades-Fluviales-Nina-K. -
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