Immergé dans la forêt des Maures, le village de Collobrières a toujours vécu des ressources de celle-ci : pâturage, élevage, exploitation du bois, du liège. C’est un enfant du pays, Aumeran qui alla chercher en Espagne le secret de la transformation du liège en bouchon. En 1850, la commune comptait 17 bouchonneries et 3 scieries.