Dès le XIIè s., la plaine de Niort est couverte en partie de vignes dont les vins nouveaux sont prisés des rois François 1er et Henri IV. Puis, la production baisse jusqu'au XVIIè s. et pâtit de la crise du phylloxera à la fin du XIXè s.
Au début du XIXè s., le coteau sud de la vallée du Lambon est partagé en terres labourables et vignobles donnant, selon le préfet Dupin, des vins de très basse qualité. Avant la seconde Guerre Mondiale, Souché est réputée pour ses vins rouges, rosés et blancs ; la culture étant traitée naturellement contre les maladies avec de la bouillie bordelaise et la plantation de dahlias devant les rangs de vigne. Comme les roses, ces fleurs servent de préventif en cas de contagion, car elles sont touchées avant la vigne.
La coutume annuelle voulait que l'alambic du bouilleur de cru soit installé rue du Château d'eau afin de distiller l'alcool du vin.