12 - Erretzü VTT

Lorsque la route tourne à droite pour franchir un pont et monter (2,3 km), abandonner le goudron et continuer tout droit sur le chemin empierré en bordure du ruisseau d’Etcheberry. Ignorer plus loin à gauche un chemin herbeux (3 km), emprunté au retour, et rouler encore tout droit en fond de vallée. A l’intersection en Y de Paillet (3,8 km), sous un gros platane, opter pour le chemin de gauche. Il s’élève rapidement, en deux larges courbes, dans une fougeraie plantée de quelques chênes. A la sortie du second lacet, le mont Erretzü se dévoile ; poursuivre sur le large chemin de terre qui parcourt son flanc sud et ondule au passage de sources. Frôler une grange et, par une petite descente, atteindre l’intersection du petit col d’Erretzü.

A l’intersection de quatre chemins du col d’Erretzü (4,9 km), tourner à gauche sur le chemin ascendant. Après la rampe initiale et un passage sur dalles pour couper un ruisselet, le chemin continue en traversée sur la droite (vue sur le Barétous), toujours exigeant pour surmonter les quelques zones rocheuses, avec un final délicat sur 50 m donnant accès au col d’Ourgaray (5,6 km). Ignorer ici le balisage pédestre (qui monte à gauche) et poursuivre en face sur une sente entre les fougères, sur le versant opposé. Suivre longuement cette trace quasi-horizontale qui traverse deux vallons du versant est. A une intersection de sentiers en crête (6,7 km), continuer encore en face sur le chemin herbeux (légèrement ascendant au début) pour continuer à tourner autour de l’Erretzü. Il entre dans un petit bois (7,2 km), avant d’entamer une courte descente franche pour traverser un ruisseau. Continuer à traverser sur l’unique trace forestière, qui remonte continuellement, jusqu’à déboucher sur un chemin herbeux : le suivre vers la droite. Après une cuvette, il monte dans les fougères jusqu’à rencontrer un chemin empierré (8,6 km) : virer à gauche et très vite à droite pour monter sur ce chemin jusqu’à un replat, au nord de l’Erretzü.

Sur le replat herbeux d’Oholegi (8,8 km), la vue est remarquable sur le dôme de la Madeleine (antenne et chapelle). Sans monter à gauche (cabane), choisir le deuxième sentier à droite (presque en face), pour descendre dans l’herbe face à la Madeleine. Le sentier dessine rapidement une courbe à gauche et descend entre les ajoncs, en proposant plusieurs « ateliers » techniques : blocs fuyants, traversée sur dalles dans un bosquet, courbes en graviers et petites marches (prudence). Parvenir ainsi aux abords des maisons d’Haritxabaleta (9,7 km) : sans prendre le goudron, bifurquer complètement à gauche sur le chemin et, 100 m après, au Y, monter à gauche sur le chemin herbeux. Un sentier traverse ensuite un petit bois (zones techniques au passage des ruisseaux), puis ressort à découvert pour descendre vers un chemin de terre. Le suivre vers la gauche, en direction d’un gros chêne solitaire.

Le chêne solitaire de Goyhenlepoue est voisin d’une intersection (10,9 km) : virer franchement à gauche pour monter un instant le long d’une clôture (ignorer le sentier pédestre) et, après la cabane (bar) et le ruisselet, poursuivre sur le bon sentier à flanc de montagne, face au pic d’Arguibelle (vue sur les monts entourant Tardets). Sur le replat suivant (11,6 km), quitter le sentier de ceinture pour rouler à droite dans l’herbe, vers le bout du plateau, à 100 m de là. Appuyer alors à droite pour trouver le départ d’un sentier ; il descend entre les fougères en une grande courbe. Sur la bosse suivante, continuer en face sur une nouvelle trace, d’abord à plat, puis en descente plus franche. En bas (12,5 km), retrouver le chemin emprunté à l’aller ; le suivre vers la droite en fond de vallon pour retrouver la petite route initiale et le centre de Tardets. A la quincaillerie, aller tout droit jusqu’à la place (pharmacie), puis choisir la ruelle de Rancot pour plonger directement vers le parking du lavoir.