Am nächsten Tag kam Renardo zurück und streifte um die Höhle der Buckligen Rückenmenschen herum. Zu seiner Überraschung war dort bereits ein anderer junger Fuchs. Sie beschnupperten sich und mochten sich. Sein neuer Freund deutete auf einen breiten Durchgang auf der rechten Seite der Großen Wand und fragte ihn: "Willst du zu den Scheeeeeeeeeee?" und ohne seine Antwort abzuwarten, zog er ihn auf den Pfad, der am Kleinen Bau vorbeiführte, dann hinunter zum Wasser, das nicht trottete, und wieder ein paar Panards* hinauf, um in den Großen Erdfall einzutreten.
Renardo n’avait jamais parcouru pareil chemin, entièrement couvert de pierres. A n’en pas douter c’était un chemin des Hommes, car il avait leur odeur. Pour ça, il n’était pas dur à suivre et c’était drôle de sauter d’une pierre à l’autre. Cela dura un moment puis ils quittèrent le Grand Eboulement.
Alors son ami se retourna vers lui :“chut ! fit-il, à partir de maintenant, c’est plein de Rats-Sans-Queue*…”. En continuant à monter au milieu des champs de Poireaux-Bleus-Brûlants*, ils entendirent souvent la fuite des Rats-Sans-Queue mais ne parvinrent pas à en attraper un seul. Par contre ils gobèrent une foule de Mange-Crottes* qui se traînaient sur le chemin, sur les traces des Bêtes Blanches. Ils parvinrent ainsi jusqu’au passage.
Weiß und Rot (Fernwanderweg)
double trait
Hin- und Rückfahrt
Naturnah